Armé seulement de la franchise verbale dénuée du style guindé, Hakim Metref appuie son argument littéraire sur les travers d'un monde obnubilé et corrompu par les voluptés factices du modernisme consumériste. Son recueil de poèmes caricature le mimétisme aveugle, les épaisses volutes de la médiocrité intellectuelle et autre mauvais goût que cultive le collectif. Armé seulement de la franchise verbale dénuée du style guindé, Hakim Metref appuie son argument littéraire sur les travers d'un monde obnubilé et corrompu par les voluptés factices du modernisme consumériste. Son recueil de poèmes caricature le mimétisme aveugle, les épaisses volutes de la médiocrité intellectuelle et autre mauvais goût que cultive le collectif. Mémoires d'un cœur est le titre d'un recueil de poèmes du jeune poète en verve, Hakim Metref, qui vient de paraître sous les presses de l'éditeur Grand Alger livres, dans la collection Azurs. C'est le premier coup d'essai d'un poète qui taquine la muse en osant dire et consigner des textes qu'il offre au lecteur, tels des lambeaux teintés de sang d'un cœur, oppressé, dévoré, voire consumé par les maux de l'air du temps. En parcourant les vers, construits sur une métrique légère et une rime consonante conférant une légère onction de candeur, le poète laisse émerger un for intérieur fort agité. Au fil des strophes de la quarantaine de poèmes égrenés sous forme de distique, quatrain, sizain ou huitain, le lecteur saisit la détresse d'une âme endolorie. Dompteur de mots, le poète nous invite à son exil intérieur, dont le verbe se veut tantôt embrasé, tantôt caustique, mais parfois des notes embaumées de douceur inattendue sont exhumées. Armé seulement de la franchise verbale dénuée du style guindé, Hakim Metref appuie son argument littéraire sur les travers d'un monde obnubilé et corrompu par les voluptés factices du modernisme consumériste. Une mémoire de cœur au fond de laquelle sont tapies les sensations pénibles que nourrissent le mimétisme aveugle, l'hypocrisie religieuse, les épaisses volutes de la médiocrité intellectuelle et autre mauvais goût cultivé par le collectif. Amour, folie, tristesse, résignation, rébellion et coups de gueule intempestifs nous édifient sur les sentiments qui secouent l'âme du poète. ''Triste réalité'', ''Pandémonium'' (cité de la corruption et du désordre), ''Idées brûlées'', ''Damnation'', ''Beauté funèbre'', ''Adieu enfance'', ''Rupture'', ''la Taverne de l'oubli'', ''la Bête humaine'', ''Lettre d'exil'', ''la Colombe'' sont autant de poèmes qui rendent vive l'expression de sa pensée. Une pensée dont les images allégoriques et les périphrases accrochent le lecteur qui se laisse conduire dans un univers de charge émotive et de désirs insoupçonnés. *Mémoires d'un cœur de Hakim Metref, éd. GAL, collec. Azurs 75p. pp : 180 DA Mémoires d'un cœur est le titre d'un recueil de poèmes du jeune poète en verve, Hakim Metref, qui vient de paraître sous les presses de l'éditeur Grand Alger livres, dans la collection Azurs. C'est le premier coup d'essai d'un poète qui taquine la muse en osant dire et consigner des textes qu'il offre au lecteur, tels des lambeaux teintés de sang d'un cœur, oppressé, dévoré, voire consumé par les maux de l'air du temps. En parcourant les vers, construits sur une métrique légère et une rime consonante conférant une légère onction de candeur, le poète laisse émerger un for intérieur fort agité. Au fil des strophes de la quarantaine de poèmes égrenés sous forme de distique, quatrain, sizain ou huitain, le lecteur saisit la détresse d'une âme endolorie. Dompteur de mots, le poète nous invite à son exil intérieur, dont le verbe se veut tantôt embrasé, tantôt caustique, mais parfois des notes embaumées de douceur inattendue sont exhumées. Armé seulement de la franchise verbale dénuée du style guindé, Hakim Metref appuie son argument littéraire sur les travers d'un monde obnubilé et corrompu par les voluptés factices du modernisme consumériste. Une mémoire de cœur au fond de laquelle sont tapies les sensations pénibles que nourrissent le mimétisme aveugle, l'hypocrisie religieuse, les épaisses volutes de la médiocrité intellectuelle et autre mauvais goût cultivé par le collectif. Amour, folie, tristesse, résignation, rébellion et coups de gueule intempestifs nous édifient sur les sentiments qui secouent l'âme du poète. ''Triste réalité'', ''Pandémonium'' (cité de la corruption et du désordre), ''Idées brûlées'', ''Damnation'', ''Beauté funèbre'', ''Adieu enfance'', ''Rupture'', ''la Taverne de l'oubli'', ''la Bête humaine'', ''Lettre d'exil'', ''la Colombe'' sont autant de poèmes qui rendent vive l'expression de sa pensée. Une pensée dont les images allégoriques et les périphrases accrochent le lecteur qui se laisse conduire dans un univers de charge émotive et de désirs insoupçonnés. *Mémoires d'un cœur de Hakim Metref, éd. GAL, collec. Azurs 75p. pp : 180 DA