Mohamed El-Korso, n'a, apparemment, pas été bien inspiré de répondre aux questions d'El-Khabar. Notre confrère l'a fait réagir sur les propos tenus par le ministre des Moudjahidine sur les origines juives de Nicolas Sarkozy. Présenté par El-Khabar comme président de la fondation du 8 Mai 1945, El-Korso a apporté un soutien sans faille au ministre des Moudjahidine. Mais cette sortie n'est pas du goût de la Fondation 8-Mai 1945, dont le « vrai » président, Kheiredine Boukrissa, dans un communiqué rendu public hier, s'en prend brutalement à El-Korso en l'accusant d'avoir usurpé une fonction qu'il n'occupe pas. Boukhrissa reproche à El-Korso d'être « infatué (vaniteux) de sa personne et en mal de publicité». Le président de la Fondation a fait montre d'une assez grande méchanceté pour corriger El-Korso dont, l'«initiative n'engage que sa personne ». Tout en soulignant que les « rapports entre l'Algérie et un pays étranger (relèvent) de la seule compétence des instances idoines », Boukhrissa qualifie la réaction d'El-Korso, de «combats d'arrière-garde» et de « djihad aux relents revanchards ». Il ne compte pas s'arrêter à une simple réprimande, puisqu'il assure qu'une plainte a été déposée « pour mettre un terme à cette malhonnêteté récurrente d'usurpation et d'utilisation illégale et éhontée du sigle de la Fondation du 8-Mai 1945 ». Mohamed El-Korso, n'a, apparemment, pas été bien inspiré de répondre aux questions d'El-Khabar. Notre confrère l'a fait réagir sur les propos tenus par le ministre des Moudjahidine sur les origines juives de Nicolas Sarkozy. Présenté par El-Khabar comme président de la fondation du 8 Mai 1945, El-Korso a apporté un soutien sans faille au ministre des Moudjahidine. Mais cette sortie n'est pas du goût de la Fondation 8-Mai 1945, dont le « vrai » président, Kheiredine Boukrissa, dans un communiqué rendu public hier, s'en prend brutalement à El-Korso en l'accusant d'avoir usurpé une fonction qu'il n'occupe pas. Boukhrissa reproche à El-Korso d'être « infatué (vaniteux) de sa personne et en mal de publicité». Le président de la Fondation a fait montre d'une assez grande méchanceté pour corriger El-Korso dont, l'«initiative n'engage que sa personne ». Tout en soulignant que les « rapports entre l'Algérie et un pays étranger (relèvent) de la seule compétence des instances idoines », Boukhrissa qualifie la réaction d'El-Korso, de «combats d'arrière-garde» et de « djihad aux relents revanchards ». Il ne compte pas s'arrêter à une simple réprimande, puisqu'il assure qu'une plainte a été déposée « pour mettre un terme à cette malhonnêteté récurrente d'usurpation et d'utilisation illégale et éhontée du sigle de la Fondation du 8-Mai 1945 ».