Le Parti des travailleurs, qui a fait état de l'existence, dans de nombreuses wilayas, de propositions d'alliances au sein des assemblées élues, émanant de certains partis politiques recommande à ses élus de ne pas engager le parti dans ces alliances «sans principes». Le Parti des travailleurs, qui a fait état de l'existence, dans de nombreuses wilayas, de propositions d'alliances au sein des assemblées élues, émanant de certains partis politiques recommande à ses élus de ne pas engager le parti dans ces alliances «sans principes». Dans un communiqué rendu public hier, le secrétariat national du parti indique avoir été informé par ses responsables locaux et élus aux APC et APW de cet état de fait et rapporte que ces derniers ont signalé que parfois ces démarches « s'apparentent à de la pression, voire même à du harcèlement ». A ce propos, le parti de Louisa Hanoune, tout en rappelant qu'une alliance « est un programme commun à deux ou plusieurs formations politiques sur le terrain électoral avec des listes communes » pour « gouverner ensemble ou pour gérer des assemblées locales », estime que cela « ne saurait s'appliquer à la situation engendrée par des élections dans lesquelles des programmes totalement différents ont été portés par des listes partisanes distinctes ». Pour le PT, il s'agit plutôt de « protocoles d'accords politiques publics sur des questions précises sur lesquels s'engagent à œuvrer ensemble des élus de différents partis dans le cadre de l'unité d'action (…) qui préserve le multipartisme ». « En effet, les accords secrets, sans principes, pour se partager les postes, dissolvent non seulement les engagements électoraux des différents partis, mais peuvent glisser sur le terrain de la corruption », constate le PT qui rappelle que c'est à la direction politique du parti de discuter les éventuels accords politiques devant être déclinés au plan APC et APW. Se disant « soucieux » du respect du mandat par ses élus, qu'ils soient majoritaires ou minoritaires dans les assemblées élues, le Parti des travailleurs annonce une réunion de son comité central pour ce week-end pour « évaluer la campagne et les résultats du scrutin » et pour « définir la démarche sur la question des accords politiques ». Dans un communiqué rendu public hier, le secrétariat national du parti indique avoir été informé par ses responsables locaux et élus aux APC et APW de cet état de fait et rapporte que ces derniers ont signalé que parfois ces démarches « s'apparentent à de la pression, voire même à du harcèlement ». A ce propos, le parti de Louisa Hanoune, tout en rappelant qu'une alliance « est un programme commun à deux ou plusieurs formations politiques sur le terrain électoral avec des listes communes » pour « gouverner ensemble ou pour gérer des assemblées locales », estime que cela « ne saurait s'appliquer à la situation engendrée par des élections dans lesquelles des programmes totalement différents ont été portés par des listes partisanes distinctes ». Pour le PT, il s'agit plutôt de « protocoles d'accords politiques publics sur des questions précises sur lesquels s'engagent à œuvrer ensemble des élus de différents partis dans le cadre de l'unité d'action (…) qui préserve le multipartisme ». « En effet, les accords secrets, sans principes, pour se partager les postes, dissolvent non seulement les engagements électoraux des différents partis, mais peuvent glisser sur le terrain de la corruption », constate le PT qui rappelle que c'est à la direction politique du parti de discuter les éventuels accords politiques devant être déclinés au plan APC et APW. Se disant « soucieux » du respect du mandat par ses élus, qu'ils soient majoritaires ou minoritaires dans les assemblées élues, le Parti des travailleurs annonce une réunion de son comité central pour ce week-end pour « évaluer la campagne et les résultats du scrutin » et pour « définir la démarche sur la question des accords politiques ».