Le Parti des travailleurs ne participera pas aux sénatoriales qui auront lieu fin décembre de l'année courante. Le Parti des travailleurs ne participera pas aux sénatoriales qui auront lieu fin décembre de l'année courante. Le parti de Louisa Hanoune désertera-t-il ou contactera-t-il des alliances avec des partis politiques à l'occasion de ces joutes électorales ? L'expectative est de mise au sein de la formation politique et, pour tout le moins, l'alliance avec des partis politiques est exclue. «Le mot alliance n'existe pas dans la terminologie du PT», a affirmé Ramdane Taazibt, contacté hier par nos soins. Selon le responsable du PT, «chaque parti a son programme et ses principes», soulignant qu', «il peut y avoir un accord politique sur une plate-forme qui pourrait rapprocher les deux partis par exemple la défense des intérêts des travailleurs». Dans tous les cas, le parti, «n'est pas à la recherche de candidats», affirme Ramdane Taazibt que assure que «si des candidats s'approchent de nos élus, ce sera dans la transparence la plus totale», soutenant que jusqu'à présent, «aucune proposition n'a été faite à nos élus». Le membre de la direction centrale du parti insiste sur le fait qu' «il n'y aura pas de secret», si un accord politique est conclu avec des candidats à l'élection sénatoriale. La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, a accusé, récemment à l'occasion de la clôture d'une réunion de deux jours du comité central du parti, certains partis politiques de «tentatives de corruption» sur les élus de son parti en prévision des prochaines sénatoriales, objets de marchandage et d'achats de voix. Les raisons qui poussent le Parti des travailleurs à bouder le renouvellement partiel de la composante de la chambre haute du Parlement sont faciles à décrypter. Le parti qui milite pour une chambre unique est contre le bicaméralisme, comme l'a maintes fois affirmé la secrétaire générale et plaide pour l'élection d'une véritable Assemblée constituante, élue au suffrage universel. Là aussi, les raisons sont simples à déchiffrer. Le Sénat n'est doté d'aucune prérogative si ce n'est celle d'adopter ou de rejeter les textes de loi tels que votés par l'APN sans débat aucun ni possibilité d'introduire des amendements. «Ce n'est pas la compétence des hommes et des femmes qui sont des gens respectables qui siègent au Sénat qui est mise en cause, ce sont des raisons politiques» assure-t-il, confiant. Et sur ce cas, Ramdane Taazibt rappelle que son parti va déposer la semaine prochaine une plainte au Conseil d'Etat. Une plainte introduite contre le président de l'Assemblée populaire nationale qui refuse de verser les indemnités de certains députés apparentés au PT. Le parti de Louisa Hanoune désertera-t-il ou contactera-t-il des alliances avec des partis politiques à l'occasion de ces joutes électorales ? L'expectative est de mise au sein de la formation politique et, pour tout le moins, l'alliance avec des partis politiques est exclue. «Le mot alliance n'existe pas dans la terminologie du PT», a affirmé Ramdane Taazibt, contacté hier par nos soins. Selon le responsable du PT, «chaque parti a son programme et ses principes», soulignant qu', «il peut y avoir un accord politique sur une plate-forme qui pourrait rapprocher les deux partis par exemple la défense des intérêts des travailleurs». Dans tous les cas, le parti, «n'est pas à la recherche de candidats», affirme Ramdane Taazibt que assure que «si des candidats s'approchent de nos élus, ce sera dans la transparence la plus totale», soutenant que jusqu'à présent, «aucune proposition n'a été faite à nos élus». Le membre de la direction centrale du parti insiste sur le fait qu' «il n'y aura pas de secret», si un accord politique est conclu avec des candidats à l'élection sénatoriale. La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, a accusé, récemment à l'occasion de la clôture d'une réunion de deux jours du comité central du parti, certains partis politiques de «tentatives de corruption» sur les élus de son parti en prévision des prochaines sénatoriales, objets de marchandage et d'achats de voix. Les raisons qui poussent le Parti des travailleurs à bouder le renouvellement partiel de la composante de la chambre haute du Parlement sont faciles à décrypter. Le parti qui milite pour une chambre unique est contre le bicaméralisme, comme l'a maintes fois affirmé la secrétaire générale et plaide pour l'élection d'une véritable Assemblée constituante, élue au suffrage universel. Là aussi, les raisons sont simples à déchiffrer. Le Sénat n'est doté d'aucune prérogative si ce n'est celle d'adopter ou de rejeter les textes de loi tels que votés par l'APN sans débat aucun ni possibilité d'introduire des amendements. «Ce n'est pas la compétence des hommes et des femmes qui sont des gens respectables qui siègent au Sénat qui est mise en cause, ce sont des raisons politiques» assure-t-il, confiant. Et sur ce cas, Ramdane Taazibt rappelle que son parti va déposer la semaine prochaine une plainte au Conseil d'Etat. Une plainte introduite contre le président de l'Assemblée populaire nationale qui refuse de verser les indemnités de certains députés apparentés au PT.