Les 3.200 travailleurs du port n'encourent ni risque de licenciement ni incidences sur les salaires. Les 3.200 travailleurs du port n'encourent ni risque de licenciement ni incidences sur les salaires. La direction du port d'Alger vient de confirmer, par la voix de son premier responsable, l'avancée des négociations avec une entreprise émiratie pour la concession du terminal container du port d'Alger. L'information a été déjà donnée à l'issue de la visite d'Etat du souverain émirati en Algerie. Elle permet de clarifier les concepts et rassurer les travailleurs quant à la privatisation de l'entreprise portuaire. « Le port d'Alger ne sera pas privatisé et la gestion du terminal des containers, régie par le code du commerce, fait l'objet de négociations entamées avec la société émiratie des ports de Dubaï, dans la perspective de lui confier la gestion par concession », avait annoncé le directeur général du port d'Alger, M. Abdelhak Berouaï sur les ondes de la Chaîne III. Le premier responsable a tenu par là à souligner le statut juridique du terminal container, dont la gestion est régie par le code de commerce et devient par conséquent éligible à la privatisation surtout que les raisons du recours à la concession sont motivés par « l'incapacité du port à assurer une gestion optimale du terminal » a tenu à préciser le Dg du port d'Alger. Les 3.200 travailleurs du port n'encourent ni risque de licenciement ni incidences sur les salaires. Le port d'Alger ne dispose pas de « moyens nécessaires » pour gérer qualitativement cette activité connexe faute d'outils modernes répondant aux normes internationales. Il attend beaucoup de l'entreprise concessionnaire qui s'engagera, au terme du contrat, devant finaliser l'opération de modernisation des installations à un savoir-faire garantissant une rentabilité optimale de cet espace économique. Le tout, assure, le DG, du port, est d'en finir avec l'organisation actuelle qui a montré ses limites et les effets d'une mauvaise gestion de cet espace pénalisante pour les opérateurs économiques et responsable de pertes financières importantes. Une situation que déplore ce responsable qui s'attend par ailleurs à une réduction conséquente du temps de souffrance des bateaux au port. L'objectif à court terme est d'arriver à une réduction substantielle des délais de déchargement des cargaisons des navires, qui dépassent actuellement les 5 jours, a-t-il soutenu. Les engagements de l'entreprise émiratie portent par ailleurs sur la réduction du temps de l'enlèvement des marchandises et une augmentation du flux commercial. Le nombre de containers qui transitent par le port d'Alger devra passer de 500.000 à 800.000 par an à l'horizon 2015, soit une hausse de 80% des marchandises, « ce qui contribuera à augmenter les bénéfices de l'entreprise », selon M. Berouaï. Abordant le volet relatif au transport des voyageurs, le premier responsable du port a annoncé la mise en place d'un nouveau plan de réorganisation de l'activité voyage qui permettra d'augmenter le nombre de voyageurs à 500.000 au lieu des 370.000 actuellement. La direction du port d'Alger vient de confirmer, par la voix de son premier responsable, l'avancée des négociations avec une entreprise émiratie pour la concession du terminal container du port d'Alger. L'information a été déjà donnée à l'issue de la visite d'Etat du souverain émirati en Algerie. Elle permet de clarifier les concepts et rassurer les travailleurs quant à la privatisation de l'entreprise portuaire. « Le port d'Alger ne sera pas privatisé et la gestion du terminal des containers, régie par le code du commerce, fait l'objet de négociations entamées avec la société émiratie des ports de Dubaï, dans la perspective de lui confier la gestion par concession », avait annoncé le directeur général du port d'Alger, M. Abdelhak Berouaï sur les ondes de la Chaîne III. Le premier responsable a tenu par là à souligner le statut juridique du terminal container, dont la gestion est régie par le code de commerce et devient par conséquent éligible à la privatisation surtout que les raisons du recours à la concession sont motivés par « l'incapacité du port à assurer une gestion optimale du terminal » a tenu à préciser le Dg du port d'Alger. Les 3.200 travailleurs du port n'encourent ni risque de licenciement ni incidences sur les salaires. Le port d'Alger ne dispose pas de « moyens nécessaires » pour gérer qualitativement cette activité connexe faute d'outils modernes répondant aux normes internationales. Il attend beaucoup de l'entreprise concessionnaire qui s'engagera, au terme du contrat, devant finaliser l'opération de modernisation des installations à un savoir-faire garantissant une rentabilité optimale de cet espace économique. Le tout, assure, le DG, du port, est d'en finir avec l'organisation actuelle qui a montré ses limites et les effets d'une mauvaise gestion de cet espace pénalisante pour les opérateurs économiques et responsable de pertes financières importantes. Une situation que déplore ce responsable qui s'attend par ailleurs à une réduction conséquente du temps de souffrance des bateaux au port. L'objectif à court terme est d'arriver à une réduction substantielle des délais de déchargement des cargaisons des navires, qui dépassent actuellement les 5 jours, a-t-il soutenu. Les engagements de l'entreprise émiratie portent par ailleurs sur la réduction du temps de l'enlèvement des marchandises et une augmentation du flux commercial. Le nombre de containers qui transitent par le port d'Alger devra passer de 500.000 à 800.000 par an à l'horizon 2015, soit une hausse de 80% des marchandises, « ce qui contribuera à augmenter les bénéfices de l'entreprise », selon M. Berouaï. Abordant le volet relatif au transport des voyageurs, le premier responsable du port a annoncé la mise en place d'un nouveau plan de réorganisation de l'activité voyage qui permettra d'augmenter le nombre de voyageurs à 500.000 au lieu des 370.000 actuellement.