La fréquence de la gravité et le coût des AVC en font un problème de santé publique considérable, 2e ou 3e cause de mortalité à l'échelon mondial, première cause de handicap grave acquis chez l'adulte. Dans le monde, chaque année, environ 20 millions de malades sont frappés d'un AVC et 5 millions d'entre eux en décèdent. En Algérie, durant les deux dernières années, les AVC sont la principale cause de décès après les affections cardiaques et les cancers. C'est une étude, qui a été faite par les spécialistes en la matière, au niveau du service de neurologie du CHU de Blida. Les onzièmes Entretiens Médico-Chirurgicaux, organisés hier, au niveau de l'hôtel militaire de Blida, initiés par le professeur Mohamed Arezki, président du Conseil Scientifique du Centre Hospitalo-Universitaire ont réuni plusieurs professeurs et médecins. Divers thèmes ont été débattus, tels les infarctus du myocarde et cérébraux, les hémorragies cérébrales et les greffes d'organes. Dans un entretien accordé a la presse locale, le Professeur, M. Arezki, a développé l'objet de cette rencontre : «C'est une reprise au niveau du CHU de Blida, la pathologie artérielle, est la première cause des décès dans tous les pays du monde, plus que le cancer. Les chiffres de l'OMS, avancent 52% de mortalité chez l'adulte, qui se rapportent à la pathologie artérielle et à l'infarctus du myocarde. A signaler qu'il existe un service cardio au CHU de Blida avec une unité appelée STROKE, neuro-vasculaire les seules structures en Algérie». La première communication du maître-assistant, Ould Chabane du service de neurologie, portée sur les incidences des AVC, dira à ce sujet, "l'incidence dans notre étude rejoint les chiffres retrouvée dans la littérature. On note par contre que l'incidence des AVC a tendance à diminuer dans les pays industrialisés alors que celle-ci est en forte progression en Algérie". Le conférencier a longuement expliqué les raisons de mortalité dues à cette maladie et la prise en charge du patient au moment de son admission au service des urgences. «Tous les patients présentant une symptomatologie évoquant un AVC sont reçus au niveau de notre structure d'urgence par un neurologue qui confirme le diagnostic d'AVC après un interrogatoire et un examen TDM crânien sans produit de contraste. Le recrutement des patients pour notre étude a débuté du 1er janvier 2006 au 30 octobre 2007. Ce recrutement sur 2 ans nous a permis d'évaluer la fréquence des AVC ischémiques par rapport aux hémorragiques, la moyenne d'âge, le sexe ratio, la fréquence de l'HTA et du diabète (...). Les services de cradiologie méritent d'être développés dans notre pays, les (UUCV) peuvent naître au niveau de tous les CHU d'Algérie, une politique préventive des AVC devrait être menée par les pouvoirs publics comme le dépistage, le traitement des facteurs de risques des AVC (HTA, le diabète, l'excès pondéral, tabagisme, alcoolisme, etc. La fréquence de la gravité et le coût des AVC en font un problème de santé publique considérable, 2e ou 3e cause de mortalité à l'échelon mondial, première cause de handicap grave acquis chez l'adulte. Dans le monde, chaque année, environ 20 millions de malades sont frappés d'un AVC et 5 millions d'entre eux en décèdent. En Algérie, durant les deux dernières années, les AVC sont la principale cause de décès après les affections cardiaques et les cancers. C'est une étude, qui a été faite par les spécialistes en la matière, au niveau du service de neurologie du CHU de Blida. Les onzièmes Entretiens Médico-Chirurgicaux, organisés hier, au niveau de l'hôtel militaire de Blida, initiés par le professeur Mohamed Arezki, président du Conseil Scientifique du Centre Hospitalo-Universitaire ont réuni plusieurs professeurs et médecins. Divers thèmes ont été débattus, tels les infarctus du myocarde et cérébraux, les hémorragies cérébrales et les greffes d'organes. Dans un entretien accordé a la presse locale, le Professeur, M. Arezki, a développé l'objet de cette rencontre : «C'est une reprise au niveau du CHU de Blida, la pathologie artérielle, est la première cause des décès dans tous les pays du monde, plus que le cancer. Les chiffres de l'OMS, avancent 52% de mortalité chez l'adulte, qui se rapportent à la pathologie artérielle et à l'infarctus du myocarde. A signaler qu'il existe un service cardio au CHU de Blida avec une unité appelée STROKE, neuro-vasculaire les seules structures en Algérie». La première communication du maître-assistant, Ould Chabane du service de neurologie, portée sur les incidences des AVC, dira à ce sujet, "l'incidence dans notre étude rejoint les chiffres retrouvée dans la littérature. On note par contre que l'incidence des AVC a tendance à diminuer dans les pays industrialisés alors que celle-ci est en forte progression en Algérie". Le conférencier a longuement expliqué les raisons de mortalité dues à cette maladie et la prise en charge du patient au moment de son admission au service des urgences. «Tous les patients présentant une symptomatologie évoquant un AVC sont reçus au niveau de notre structure d'urgence par un neurologue qui confirme le diagnostic d'AVC après un interrogatoire et un examen TDM crânien sans produit de contraste. Le recrutement des patients pour notre étude a débuté du 1er janvier 2006 au 30 octobre 2007. Ce recrutement sur 2 ans nous a permis d'évaluer la fréquence des AVC ischémiques par rapport aux hémorragiques, la moyenne d'âge, le sexe ratio, la fréquence de l'HTA et du diabète (...). Les services de cradiologie méritent d'être développés dans notre pays, les (UUCV) peuvent naître au niveau de tous les CHU d'Algérie, une politique préventive des AVC devrait être menée par les pouvoirs publics comme le dépistage, le traitement des facteurs de risques des AVC (HTA, le diabète, l'excès pondéral, tabagisme, alcoolisme, etc.