Aït Ahmed renouvelé sa confiance à son SG, Karim Tabbou, qui a déposé sa démission au lendemain des résultats mitigés de son parti, aux élections locales du 29 novembre dernier. Aït Ahmed renouvelé sa confiance à son SG, Karim Tabbou, qui a déposé sa démission au lendemain des résultats mitigés de son parti, aux élections locales du 29 novembre dernier. Aït Ahmed a finalement tranché en faveur de son SG, Karim Tabbou, démissionnaire au lendemain des élections locales du 29 novembre dernier, en le maintenant à son poste de premier secrétaire du parti. Alors que tout le monde attendait un désaveu clair de la part de Aït Ahmed envers son SG, Karim Tabbou, «parce qu'il ne pouvait supporter un tel échec», selon un membre du conseil national, le président du parti, Aït Ahmed, a au contraire renouvelé sa confiance à son SG, Karim Tabbou qui a déposé sa démission au lendemain des résultats mitigés de son parti aux élections locales du 29 novembre dernier. Ce dernier a été même reconduit à son poste par le président, Hocine Aït Ahmed. Dans une lettre adressée le jour même aux membres du conseil national réunis jeudi dernier en session extraordinaire, le vieux leader du FFS a forcé la main aux membres du conseil pour confirmer dans son poste de premier secrétaire, Karim Tabbou pour «accomplir les missions qui attendent le parti», selon les termes de la lettre adressée au conseil national. Selon toujours cette correspondance, Karim Tabbou «a su remplir des missions importantes» comme «la remise en ordre du parti et la mobilisation de la base militante en vue de forcer l'ouverture politique et mettre fin à la politique des sables mouvants ». Le président du parti va encore plus loin en attribuant des bons points à son SG : «J'apprécie toujours sa contribution décisive à la tenue des échéances internes (...) Aujourd'hui, j'apprécie également la remise spontanée et responsable de son mandat. C'est un acte moral, militant et politique», a-t-il tenu à préciser à l'ensemble des membres du conseil qui n'avaient pas ménagé le SG lors de cette rencontre, selon une source interne. La majorité des membres du conseil national «avait mis l'échec» de ces élections sur le dos de Karim Tabbou et émis des «critiques acerbes» envers ce dernier, ajoute encore notre source qui ne comprend pas pourquoi le président a maintenu sa confiance en un responsable qui «a failli totalement à sa mission». Profitant de cette rencontre, le président du FFS a aussi exhorté les dirigeants actuels à «mettre en œuvre les résolutions du 4e congrès, à évaluer en profondeur les conséquences des événements de 2001 et des dernières tentatives de déstabilisation du parti, à mettre fin à la rébellion et autres activités fractionnelles dans le parti et enfin à continuer le processus d'assainissement politique des structures». En clair, le président du FFS conforte son SG dans ses choix stratégiques et lui donne carte blanche pour continuer son travail d'exclusion des éléments réfractaires. Le président du FFS somme, enfin, le premier secrétaire du parti à désigner le «plus urgemment» les membres du secrétariat national, tâche qui a été laissée de côté depuis la fin du 4e congrès tenu en octobre dernier. Aït Ahmed a finalement tranché en faveur de son SG, Karim Tabbou, démissionnaire au lendemain des élections locales du 29 novembre dernier, en le maintenant à son poste de premier secrétaire du parti. Alors que tout le monde attendait un désaveu clair de la part de Aït Ahmed envers son SG, Karim Tabbou, «parce qu'il ne pouvait supporter un tel échec», selon un membre du conseil national, le président du parti, Aït Ahmed, a au contraire renouvelé sa confiance à son SG, Karim Tabbou qui a déposé sa démission au lendemain des résultats mitigés de son parti aux élections locales du 29 novembre dernier. Ce dernier a été même reconduit à son poste par le président, Hocine Aït Ahmed. Dans une lettre adressée le jour même aux membres du conseil national réunis jeudi dernier en session extraordinaire, le vieux leader du FFS a forcé la main aux membres du conseil pour confirmer dans son poste de premier secrétaire, Karim Tabbou pour «accomplir les missions qui attendent le parti», selon les termes de la lettre adressée au conseil national. Selon toujours cette correspondance, Karim Tabbou «a su remplir des missions importantes» comme «la remise en ordre du parti et la mobilisation de la base militante en vue de forcer l'ouverture politique et mettre fin à la politique des sables mouvants ». Le président du parti va encore plus loin en attribuant des bons points à son SG : «J'apprécie toujours sa contribution décisive à la tenue des échéances internes (...) Aujourd'hui, j'apprécie également la remise spontanée et responsable de son mandat. C'est un acte moral, militant et politique», a-t-il tenu à préciser à l'ensemble des membres du conseil qui n'avaient pas ménagé le SG lors de cette rencontre, selon une source interne. La majorité des membres du conseil national «avait mis l'échec» de ces élections sur le dos de Karim Tabbou et émis des «critiques acerbes» envers ce dernier, ajoute encore notre source qui ne comprend pas pourquoi le président a maintenu sa confiance en un responsable qui «a failli totalement à sa mission». Profitant de cette rencontre, le président du FFS a aussi exhorté les dirigeants actuels à «mettre en œuvre les résolutions du 4e congrès, à évaluer en profondeur les conséquences des événements de 2001 et des dernières tentatives de déstabilisation du parti, à mettre fin à la rébellion et autres activités fractionnelles dans le parti et enfin à continuer le processus d'assainissement politique des structures». En clair, le président du FFS conforte son SG dans ses choix stratégiques et lui donne carte blanche pour continuer son travail d'exclusion des éléments réfractaires. Le président du FFS somme, enfin, le premier secrétaire du parti à désigner le «plus urgemment» les membres du secrétariat national, tâche qui a été laissée de côté depuis la fin du 4e congrès tenu en octobre dernier.