Jeudi, en début d'après-midi, la vaste esplanade de l'Hôtel de ville de Guelma était investie par quelque centaines de citoyens, en majorité des jeunes, qui scandaie des slogans hostiles au nouveau président de l'Assemblée populaire communale du chef-lieu de wilaya, d'obédience FLN. Cette contestation populaire a été maîtrisée par les services de sécurité qui ont dispersé les manifestants. Le scrutin du 29 novembre qui s'était déroulé dans la sérénité, a généré une APC plurielle au sein de la ville du 8-Mai-1945 à savoir 6 élus FLN, 4 MSP, 3 RND, 3 PT, 3 Alliance Nahda Islah, 2 FNA et 2 RCD, soit au total (7) sept formations politiques pour 23 sièges. Conformément à la loi électorale, il échoit au parti ayant glané le maximum de sièges, en l'occurrence le FLN, de présider l'exécutif communal. Le wali, accompagné des autorités locales a présidé la cérémonie d'installation du maire et ce, dans un climat tendu0 et hostile. Faute de consensus, deux candidats du FLN s'étaient portés candidats à la présidence de l'APC et c'est l'ancien maire intérimaire, Rachid Allami, qui l'emporte par deux voix contre une, selon le choix des élus de l'ex-parti unique. Jeudi, en début d'après-midi, la vaste esplanade de l'Hôtel de ville de Guelma était investie par quelque centaines de citoyens, en majorité des jeunes, qui scandaie des slogans hostiles au nouveau président de l'Assemblée populaire communale du chef-lieu de wilaya, d'obédience FLN. Cette contestation populaire a été maîtrisée par les services de sécurité qui ont dispersé les manifestants. Le scrutin du 29 novembre qui s'était déroulé dans la sérénité, a généré une APC plurielle au sein de la ville du 8-Mai-1945 à savoir 6 élus FLN, 4 MSP, 3 RND, 3 PT, 3 Alliance Nahda Islah, 2 FNA et 2 RCD, soit au total (7) sept formations politiques pour 23 sièges. Conformément à la loi électorale, il échoit au parti ayant glané le maximum de sièges, en l'occurrence le FLN, de présider l'exécutif communal. Le wali, accompagné des autorités locales a présidé la cérémonie d'installation du maire et ce, dans un climat tendu0 et hostile. Faute de consensus, deux candidats du FLN s'étaient portés candidats à la présidence de l'APC et c'est l'ancien maire intérimaire, Rachid Allami, qui l'emporte par deux voix contre une, selon le choix des élus de l'ex-parti unique.