Une première à tous points de vue et un fait inédit qui mérite de figurer sur les annales des élections locales qui se sont déroulées jusque-là dans notre pays. . A un mandat près (intermède 2005-2007), le fils succède à son père à la tête de l'importante ville de Chéraga. Nazim Chermat, 26 ans, du Mouvement El-Islah, reprend d'une belle manière le siège précédemment occupé par son paternel, Mohamed, qui fut ce temps-là apparenté RND. Bon sang ne saurait mentir, dit-on. Le «tourisme politique» s'est profondément ancré dans le paysage politique local. N'empêche que la popularité acquise par l'ex-président d'APC de Chéraga ne s'est pas estompée après son retrait par rapport aux affaires de la cité. Elle a été toute au bénéfice du jeune Nazim qui voit son heure de gloire arriver. C'est aussi toute cette popularité toujours intacte qui a fait que toutes les félicitations ont été adressées au père, à l'issue de la fin de la cérémonie d'installation du nouveau P/APC, ignorant superbement la présence de ce dernier. Comme quoi, il est toujours difficile d'être le fils de son père et, à plus forte raison, de le remplacer. Une première à tous points de vue et un fait inédit qui mérite de figurer sur les annales des élections locales qui se sont déroulées jusque-là dans notre pays. . A un mandat près (intermède 2005-2007), le fils succède à son père à la tête de l'importante ville de Chéraga. Nazim Chermat, 26 ans, du Mouvement El-Islah, reprend d'une belle manière le siège précédemment occupé par son paternel, Mohamed, qui fut ce temps-là apparenté RND. Bon sang ne saurait mentir, dit-on. Le «tourisme politique» s'est profondément ancré dans le paysage politique local. N'empêche que la popularité acquise par l'ex-président d'APC de Chéraga ne s'est pas estompée après son retrait par rapport aux affaires de la cité. Elle a été toute au bénéfice du jeune Nazim qui voit son heure de gloire arriver. C'est aussi toute cette popularité toujours intacte qui a fait que toutes les félicitations ont été adressées au père, à l'issue de la fin de la cérémonie d'installation du nouveau P/APC, ignorant superbement la présence de ce dernier. Comme quoi, il est toujours difficile d'être le fils de son père et, à plus forte raison, de le remplacer.