Les messages de consternation et de soutien des chefs d'Etat et organisations internationales continuent d'affluer sur le bureau du président de la République. Ils comportent l'expression de rejet du terrorisme et de dénonciation des actes ignobles dont ont été victimes des citoyens innocents. Les messages de consternation et de soutien des chefs d'Etat et organisations internationales continuent d'affluer sur le bureau du président de la République. Ils comportent l'expression de rejet du terrorisme et de dénonciation des actes ignobles dont ont été victimes des citoyens innocents. L'Otan a fait part de l'engagement de ses membres à combattre, avec l'Algérie, «son partenaire dans le dialogue méditerranéen», le terrorisme international. Le Président Bouteflika a reçu un appel téléphonique du président américain G. Bush qui l'a assuré de toute sa compassion et de la détermination de son pays à éradiquer ce phénomène transfrontalier. M. Vladimir Poutine, le président russe, a confirmé de son côté, à l'occasion, «la détermination de la Russie à renforcer la coopération avec l'Algérie amie dans le domaine de la lutte contre les nouveaux défis et menaces» dont l'extrémisme et le terrorisme, ainsi que dans les questions «de maintien du développement durable, de la stabilité et de la sécurité pour les peuples de la région et du monde entier». L'Egypte a condamné avec ferveur ce lâche attentat qualifié par le président Moubarek d'«actes criminels odieux», qui «visent le chaos et la déstabilisation de l'Algérie», exhortant le conseil de sécurité d'affronter «ce phénomène mondial». Le Canada, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Maxime Bernier, a condamné avec «fermeté» les «lâches» attentats terroristes et dit «continuer à appuyer les efforts des autorités algériennes pour combattre le terrorisme et ramener la paix en Algérie». Le vice-président du Conseil italien et ministre des Affaires étrangères, Massimo d'Alema, a, dans un message à son homologue algérien, M. Mourad Medelci, rappelé encore une fois «sa désapprobation la plus ferme». Avec la même fermeté, l'Espagne a été du côté de l'Algérie pour exprimer sa «consternation» face à ces actes et manifesté sa solidarité et son engagement à coopérer avec l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme. La consternation a également gagné les pays d'Europe dont la France, qui ont manifesté à l'égard de l'Algérie toute la sympathie qui sied à de pareils moments en réitérant le rejet de ces pratiques odieuses et en se déclarant aux côtés de l'Algérie dans la condamnation du terrorisme, «avec fermeté», a écrit par ailleurs le Premier ministre portugais, M. José Socrates. «Je suis sûr que cet acte barbare ne parviendra pas à atteindre le courage et la détermination de l'Algérie dans la voie de la réconciliation». Le Mali, par la voix de son président Amadou Toumani Touré, a réagi à la nouvelle de ce double attentat «avec stupeur et consternation», soulignant que «ces ignobles et barbares actes que rien ne saurait justifier renforcent notre détermination à lutter contre le terrorisme sous toutes ses formes». L'Otan a fait part de l'engagement de ses membres à combattre, avec l'Algérie, «son partenaire dans le dialogue méditerranéen», le terrorisme international. Le Président Bouteflika a reçu un appel téléphonique du président américain G. Bush qui l'a assuré de toute sa compassion et de la détermination de son pays à éradiquer ce phénomène transfrontalier. M. Vladimir Poutine, le président russe, a confirmé de son côté, à l'occasion, «la détermination de la Russie à renforcer la coopération avec l'Algérie amie dans le domaine de la lutte contre les nouveaux défis et menaces» dont l'extrémisme et le terrorisme, ainsi que dans les questions «de maintien du développement durable, de la stabilité et de la sécurité pour les peuples de la région et du monde entier». L'Egypte a condamné avec ferveur ce lâche attentat qualifié par le président Moubarek d'«actes criminels odieux», qui «visent le chaos et la déstabilisation de l'Algérie», exhortant le conseil de sécurité d'affronter «ce phénomène mondial». Le Canada, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Maxime Bernier, a condamné avec «fermeté» les «lâches» attentats terroristes et dit «continuer à appuyer les efforts des autorités algériennes pour combattre le terrorisme et ramener la paix en Algérie». Le vice-président du Conseil italien et ministre des Affaires étrangères, Massimo d'Alema, a, dans un message à son homologue algérien, M. Mourad Medelci, rappelé encore une fois «sa désapprobation la plus ferme». Avec la même fermeté, l'Espagne a été du côté de l'Algérie pour exprimer sa «consternation» face à ces actes et manifesté sa solidarité et son engagement à coopérer avec l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme. La consternation a également gagné les pays d'Europe dont la France, qui ont manifesté à l'égard de l'Algérie toute la sympathie qui sied à de pareils moments en réitérant le rejet de ces pratiques odieuses et en se déclarant aux côtés de l'Algérie dans la condamnation du terrorisme, «avec fermeté», a écrit par ailleurs le Premier ministre portugais, M. José Socrates. «Je suis sûr que cet acte barbare ne parviendra pas à atteindre le courage et la détermination de l'Algérie dans la voie de la réconciliation». Le Mali, par la voix de son président Amadou Toumani Touré, a réagi à la nouvelle de ce double attentat «avec stupeur et consternation», soulignant que «ces ignobles et barbares actes que rien ne saurait justifier renforcent notre détermination à lutter contre le terrorisme sous toutes ses formes».