La fugue ferait partie des pathologies de l'inadaptation. La fugue peut être due au milieu familial (surprotégeant ou rejetant), ou au milieu socio-économique (influence de la rue, univers asociaux, marginaux, d'exclus,) 90% des fugueurs proviendraient de milieux peu aisés, mais cela est controversé. Peut-être les milieux aisés prennent-ils plus de précautions pour que la fugue ne se sache pas. La société est certainement une cause, car il y a peu de communication, d'écoute, c'est une société de consommation. La fugue serait plutôt un acte de révolte et d'autonomie. A part le milieu, on peut dire que la fugue provient d'une pathologie individuelle, d'un ensemble de facteurs constitutionnels innés ou acquis. La fugue à répétition peut procéder de tendances paranoïaques, le jeune se croyant sans cesse incompris et révolté. Le nombre est difficile à évaluer. Cependant, on constate qu'environ deux fois plus de garçons que de filles fuguent. Après une fugue, le jeune a souvent changé, il a mûri. Un des dangers est qu'il puisse y avoir pris goût. Après une fugue, un suivi n'est pas toujours nécessaire, mais parfois les parents s'estiment dépassés. Parfois aussi le jeune doit être orienté vers une institution spécialisée. Dans tous les cas, la fugue comme la tentative de suicide est un signal qui doit être entendu. L'action à mener peut être de plusieurs types : le modèle explicatif, la prise en charge institutionnelle et le modèle thérapeutique. La fugue ferait partie des pathologies de l'inadaptation. La fugue peut être due au milieu familial (surprotégeant ou rejetant), ou au milieu socio-économique (influence de la rue, univers asociaux, marginaux, d'exclus,) 90% des fugueurs proviendraient de milieux peu aisés, mais cela est controversé. Peut-être les milieux aisés prennent-ils plus de précautions pour que la fugue ne se sache pas. La société est certainement une cause, car il y a peu de communication, d'écoute, c'est une société de consommation. La fugue serait plutôt un acte de révolte et d'autonomie. A part le milieu, on peut dire que la fugue provient d'une pathologie individuelle, d'un ensemble de facteurs constitutionnels innés ou acquis. La fugue à répétition peut procéder de tendances paranoïaques, le jeune se croyant sans cesse incompris et révolté. Le nombre est difficile à évaluer. Cependant, on constate qu'environ deux fois plus de garçons que de filles fuguent. Après une fugue, le jeune a souvent changé, il a mûri. Un des dangers est qu'il puisse y avoir pris goût. Après une fugue, un suivi n'est pas toujours nécessaire, mais parfois les parents s'estiment dépassés. Parfois aussi le jeune doit être orienté vers une institution spécialisée. Dans tous les cas, la fugue comme la tentative de suicide est un signal qui doit être entendu. L'action à mener peut être de plusieurs types : le modèle explicatif, la prise en charge institutionnelle et le modèle thérapeutique.