Dès janvier 2008, Cévital n'aura d'autre choix que de réajuster ses prix proportionnellement à la hausse des prix de la matière première, ce qui aura comme conséquence une hausse de 75 DA sur chaque bidon de 5 litres. Dès janvier 2008, Cévital n'aura d'autre choix que de réajuster ses prix proportionnellement à la hausse des prix de la matière première, ce qui aura comme conséquence une hausse de 75 DA sur chaque bidon de 5 litres. «Si l'Etat ne consent pas à supprimer la TVA, les prix des huiles connaîtront une augmentation dès le début de l'année prochaine » de l'ordre de 75 DA sur chaque bidon de 5 litres, prévient Issad Rebrab. Le PDG de Cévital a réclamé, carrément une exonération de la TVA concernant les huiles végétales. A ce titre, il dira que Cévital a su faire de bons achats par anticipation, c'est-à-dire avant la flambée des prix des huiles brutes (matière première) sur le marché international, lui permettant par là de proposer des prix inférieurs aux prix pratiqués sur le marché mondial. Il faut savoir à titre indicatif que les prix de l'huile de soja sont passés de 605,25 dollars à 1.035 dollars la tonne, soit une hausse de 98%, alors que les prix de l'huile de tournesol sont passés de 625 dollars à 1.300 dollars la tonne, ce qui correspond à une augmentation de 100 %. Néanmoins, le PDG de Cévital précise que cette hausse brutale n'a pas eu d'effet sur les prix pratiqués sur le marché du fait que son groupe dispose d'un stock de matière première acquis avant la hausse des prix. Cependant, Rebrab avertit que « dès que ce même stock sera épuisé, c'est-à-dire dès janvier 2008, Cévital n'aura d'autre choix que de réajuster ses prix proportionnellement à la hausse des prix de la matière première ce qui aura comme conséquence une hausse de 75 DA sur chaque bidon de 5 litres ». Toutefois, selon lui, la seule condition pour faire face à cette situation de crise et en vue de stabiliser les prix et protéger le consommateur des fluctuations du marché international, est de supprimer la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les huiles alimentaires ce qui aurait comme effet immédiat de neutraliser en partie les augmentations. Se défendant d'exercer des pressions sur les pouvoirs publics du fait que le groupe Cévital détient 75% de parts de marché, Rebrab refuse de parler de monopole préférant plutôt soumettre des propositions au gouvernement afin de soulager le consommateur de la hausse des prix qu'il subit. « Il est clair que Cévital n'a aucune emprise ni aucun pouvoir sur le prix de détail et qu'il appartient de ce fait aux différents intervenants, distributeurs et gouvernement à travers la suppression de la TVA, d'intervenir chacun en ce qui le concerne pour alléger la pression sur le consommateur et faire ainsi face à la spéculation, le cas échéant », a-t-il soutenu. Notons que la question de la diminution de la TVA a été maintes fois soumise par le patron de Cévital aux pouvoir publics, mais il convient de signaler que c'est la première fois que Rebrab appelle à supprimer la taxe sur la valeur ajoutée sur les huiles végétales à l'instar des autres produits de première nécessité comme la semoule ou la farine qui bénéficient de surcroît de subventions accordées par l'Etat pour soutenir les prix. Pour autant, M. Rebrab dira à ce sujet : « Nous ne demandons pas de subventions, mais juste la suppression de la TVA » qui est de 17%, faut-il le rappeler. En outre, le premier responsable de Cévital indique que les prix actuels sont inférieurs aux prix du marché mondial. Il en veut pour preuve le prix du bidon de 5 litres d'huile de soja qui est vendu (sortie usine) à l'équivalent de 505 DA TTC soit une hausse de 5% par rapport à nos prix . «Si l'Etat ne consent pas à supprimer la TVA, les prix des huiles connaîtront une augmentation dès le début de l'année prochaine » de l'ordre de 75 DA sur chaque bidon de 5 litres, prévient Issad Rebrab. Le PDG de Cévital a réclamé, carrément une exonération de la TVA concernant les huiles végétales. A ce titre, il dira que Cévital a su faire de bons achats par anticipation, c'est-à-dire avant la flambée des prix des huiles brutes (matière première) sur le marché international, lui permettant par là de proposer des prix inférieurs aux prix pratiqués sur le marché mondial. Il faut savoir à titre indicatif que les prix de l'huile de soja sont passés de 605,25 dollars à 1.035 dollars la tonne, soit une hausse de 98%, alors que les prix de l'huile de tournesol sont passés de 625 dollars à 1.300 dollars la tonne, ce qui correspond à une augmentation de 100 %. Néanmoins, le PDG de Cévital précise que cette hausse brutale n'a pas eu d'effet sur les prix pratiqués sur le marché du fait que son groupe dispose d'un stock de matière première acquis avant la hausse des prix. Cependant, Rebrab avertit que « dès que ce même stock sera épuisé, c'est-à-dire dès janvier 2008, Cévital n'aura d'autre choix que de réajuster ses prix proportionnellement à la hausse des prix de la matière première ce qui aura comme conséquence une hausse de 75 DA sur chaque bidon de 5 litres ». Toutefois, selon lui, la seule condition pour faire face à cette situation de crise et en vue de stabiliser les prix et protéger le consommateur des fluctuations du marché international, est de supprimer la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les huiles alimentaires ce qui aurait comme effet immédiat de neutraliser en partie les augmentations. Se défendant d'exercer des pressions sur les pouvoirs publics du fait que le groupe Cévital détient 75% de parts de marché, Rebrab refuse de parler de monopole préférant plutôt soumettre des propositions au gouvernement afin de soulager le consommateur de la hausse des prix qu'il subit. « Il est clair que Cévital n'a aucune emprise ni aucun pouvoir sur le prix de détail et qu'il appartient de ce fait aux différents intervenants, distributeurs et gouvernement à travers la suppression de la TVA, d'intervenir chacun en ce qui le concerne pour alléger la pression sur le consommateur et faire ainsi face à la spéculation, le cas échéant », a-t-il soutenu. Notons que la question de la diminution de la TVA a été maintes fois soumise par le patron de Cévital aux pouvoir publics, mais il convient de signaler que c'est la première fois que Rebrab appelle à supprimer la taxe sur la valeur ajoutée sur les huiles végétales à l'instar des autres produits de première nécessité comme la semoule ou la farine qui bénéficient de surcroît de subventions accordées par l'Etat pour soutenir les prix. Pour autant, M. Rebrab dira à ce sujet : « Nous ne demandons pas de subventions, mais juste la suppression de la TVA » qui est de 17%, faut-il le rappeler. En outre, le premier responsable de Cévital indique que les prix actuels sont inférieurs aux prix du marché mondial. Il en veut pour preuve le prix du bidon de 5 litres d'huile de soja qui est vendu (sortie usine) à l'équivalent de 505 DA TTC soit une hausse de 5% par rapport à nos prix .