Le Dr Mouloud Zemouchi, du service de gynécologie obstétrique du CHU de Blida, a appelé vendredi à la nécessité d'éviter la césarienne dans le cas où le bébé se présente par le siège. Lors du 11e congrès de gynécologie et obstétrique, le Dr Zemouchi a précisé qu'un bébé sur cinq se présente par le siège lors de l'accouchement et que certains bébés souffrent de traumatismes et de complications qui les accompagnent toute leur vie. "Beaucoup de ces complications apparaissent le plus souvent après une césarienne d'autant que certains médecins ne sont pas formés dans le domaine et ignorent les problèmes liés à ces accouchements lorsque le bébé se présente par le siège", a souligné la même source. Le spécialiste a rappelé que dans 95 accouchements effectués à l'hôpital de Blida en 2006, les accouchements par césarienne ont reculé de 100 % à 79% chez les primipares, de 27 % pour les femmes qui ont déjà enfanté et de 60 % chez les femmes ayant déjà accouché par césarienne. L'intervenant a encouragé les médecins obstétriciens à suivre la même méthode soit, éviter la césarienne pour préserver la santé reproductive des femmes, notamment les jeunes, car la césarienne limite le taux de procréation. Les spécialistes ont évoqué les pathologies des femmes de plus de 40 ans, à savoir le prolapsus (descente d'organes), soulignant les différentes techniques de traitement de cette pathologie dont la ceinture. Le Dr Zemouchi a imputé cette maladie à plusieurs facteurs dont l'âge de la femme, les accouchements fréquents, les accouchements dystociques et l'utilisation des forceps. La même source a précisé que la médecine moderne est une médecine préventive qui a contribué à faire reculer cette maladie en Algérie. Il dira à titre d'exemple que le CHU de Blida a enregistré entre 50 et 60 cas de prolapsus. Le Dr Iyad Switi, gynécologue obstétricien à l'hôpital de Bologhine, a, pour sa part, souligné que les spécialistes traitent durant ce congrès annuel de deux jours, des accouchements extra-utérins, leur traitement et la prise en charge des femmes enceintes diabétiques et hypertendues ainsi que les nouveautés en matière de coeliochirurgie. Le Dr Mouloud Zemouchi, du service de gynécologie obstétrique du CHU de Blida, a appelé vendredi à la nécessité d'éviter la césarienne dans le cas où le bébé se présente par le siège. Lors du 11e congrès de gynécologie et obstétrique, le Dr Zemouchi a précisé qu'un bébé sur cinq se présente par le siège lors de l'accouchement et que certains bébés souffrent de traumatismes et de complications qui les accompagnent toute leur vie. "Beaucoup de ces complications apparaissent le plus souvent après une césarienne d'autant que certains médecins ne sont pas formés dans le domaine et ignorent les problèmes liés à ces accouchements lorsque le bébé se présente par le siège", a souligné la même source. Le spécialiste a rappelé que dans 95 accouchements effectués à l'hôpital de Blida en 2006, les accouchements par césarienne ont reculé de 100 % à 79% chez les primipares, de 27 % pour les femmes qui ont déjà enfanté et de 60 % chez les femmes ayant déjà accouché par césarienne. L'intervenant a encouragé les médecins obstétriciens à suivre la même méthode soit, éviter la césarienne pour préserver la santé reproductive des femmes, notamment les jeunes, car la césarienne limite le taux de procréation. Les spécialistes ont évoqué les pathologies des femmes de plus de 40 ans, à savoir le prolapsus (descente d'organes), soulignant les différentes techniques de traitement de cette pathologie dont la ceinture. Le Dr Zemouchi a imputé cette maladie à plusieurs facteurs dont l'âge de la femme, les accouchements fréquents, les accouchements dystociques et l'utilisation des forceps. La même source a précisé que la médecine moderne est une médecine préventive qui a contribué à faire reculer cette maladie en Algérie. Il dira à titre d'exemple que le CHU de Blida a enregistré entre 50 et 60 cas de prolapsus. Le Dr Iyad Switi, gynécologue obstétricien à l'hôpital de Bologhine, a, pour sa part, souligné que les spécialistes traitent durant ce congrès annuel de deux jours, des accouchements extra-utérins, leur traitement et la prise en charge des femmes enceintes diabétiques et hypertendues ainsi que les nouveautés en matière de coeliochirurgie.