Très satisfait de la tournure des événements, Belkhadem a annoncé l'installation prochaine d'un groupe de travail qui devrait entériner le choix du parti pour la candidature de Bouteflika à un troisième mandat. Très satisfait de la tournure des événements, Belkhadem a annoncé l'installation prochaine d'un groupe de travail qui devrait entériner le choix du parti pour la candidature de Bouteflika à un troisième mandat. Jamais le secrétaire général du FLN n‘a été aussi précis et clair concernant la présidence du parti comme il l‘a été hier lors de la conférence de presse animée à l‘issue de la fin des travaux de la session de l‘instance exécutive. «Bien sûr que le Président de la République est attentif aux affaires du parti parce qu‘il est son président» a-t-il martelé avant de lire – c‘est une première – l‘article 33 des statuts du parti élaboré lors du 8e congrès bis du début 2005. Cet article stipule que « le président peut convoquer un congrès extraordinaire ou ordinaire, comme il peut présider la réunion du Conseil national et de l‘instance exécutive ». Par ces propos, Belkhadem voulait sans doute mettre un terme aux spéculations sur la nature de la présidence du parti par le chef de l‘Etat que d‘aucuns, d‘ailleurs, qualifiaient de présidence honorifique. Belkhadem n‘ignore pas que ses clarifications expliquent en grande partie le forcing qu‘il fait autour de la question de la révision de la Constitution et son corollaire le 3e mandat pour l‘actuel locataire d‘El-Mouradia. Un point qui figure à la première place des priorités tracées par l‘instance exécutive à travers sa déclaration de politique générale adoptée, hier, par les présents à cette session qui s‘est ouverte samedi dernier. Dans son discours de clôture, Belkhadem a déclaré que « notre choix trouve son fondement dans la nouvelle situation dans laquelle se place l‘Algérie qui est sortie de son isolement et dans les nombreuses réalisations, à l‘exemple de la modernisation des infrastructures de base et le lancement de plusieurs grands projets comme celui de l‘autoroute Est-Ouest ». Belkhadem est revenu sur les dernières turbulences connues par le parti en estimant que «ceux qui s‘attendaient à un clash entre les cadres du parti ont perdu leurs illusions car le parti a l‘habitude des débats et des idées contradictoires». Très satisfait de la tournure des événements, ou il a réussi à prendre le dessus sur ses détracteurs, Belkhadem, qui a annoncé l‘installation prochaine d‘un groupe de travail pour la préparation de la session du conseil national et par la suite du congrès extraordinaire qui devrait entériner le choix du parti pour la candidature de Bouteflika à un troisième mandat, n‘a pas manqué de décocher, comme il l‘a fait la veille, des fléchettes notamment en direction du RND. «Nous sommes les maîtres de la maison et personne ne peut nous disputer cette évidence» a-t-il indiqué en faisant référence aux principes de la proclamation du 1er Novembre. Le conférencier a réitéré la volonté du parti de sanctionner les militants et cadres qui ont enfreint la discipline partisane, notamment lors des élections législatives et locales. «Nous attendons les rapports des mouhafadhas avant de transmettre les dossiers aux commissions de discipline» a-t-il affirmé avant d‘ajouter que «les statuts du parti seront scrupuleusement appliqués». La composante du secrétariat exécutif a vu la nomination d‘un nouveau membre, en l‘occurrence le sénateur Madani Bradai, et ce en remplacement de Abdelkader Bounekraf qui a jeté l‘éponge dernièrement. Belkhadem a révélé que le budget de fonctionnement de l‘année 2007 a été de 6 milliards de centimes et le parti n‘a consommé que 5 milliards de cette somme indiquant que le milliard restant sera consacré au congrés extraordinaire. Dans sa résolution, la commission des finances recommande la modernisation de la gestion du parti, la nécessité de faire l‘inventaire de ses biens immobiliers ainsi que la collecte des archives inhérentes à son histoire. Le FLN, selon ce rapport, veut aussi se doter d‘un nouveau siège national à la mesure de la place qu‘il occupe sur la scène politique. Jamais le secrétaire général du FLN n‘a été aussi précis et clair concernant la présidence du parti comme il l‘a été hier lors de la conférence de presse animée à l‘issue de la fin des travaux de la session de l‘instance exécutive. «Bien sûr que le Président de la République est attentif aux affaires du parti parce qu‘il est son président» a-t-il martelé avant de lire – c‘est une première – l‘article 33 des statuts du parti élaboré lors du 8e congrès bis du début 2005. Cet article stipule que « le président peut convoquer un congrès extraordinaire ou ordinaire, comme il peut présider la réunion du Conseil national et de l‘instance exécutive ». Par ces propos, Belkhadem voulait sans doute mettre un terme aux spéculations sur la nature de la présidence du parti par le chef de l‘Etat que d‘aucuns, d‘ailleurs, qualifiaient de présidence honorifique. Belkhadem n‘ignore pas que ses clarifications expliquent en grande partie le forcing qu‘il fait autour de la question de la révision de la Constitution et son corollaire le 3e mandat pour l‘actuel locataire d‘El-Mouradia. Un point qui figure à la première place des priorités tracées par l‘instance exécutive à travers sa déclaration de politique générale adoptée, hier, par les présents à cette session qui s‘est ouverte samedi dernier. Dans son discours de clôture, Belkhadem a déclaré que « notre choix trouve son fondement dans la nouvelle situation dans laquelle se place l‘Algérie qui est sortie de son isolement et dans les nombreuses réalisations, à l‘exemple de la modernisation des infrastructures de base et le lancement de plusieurs grands projets comme celui de l‘autoroute Est-Ouest ». Belkhadem est revenu sur les dernières turbulences connues par le parti en estimant que «ceux qui s‘attendaient à un clash entre les cadres du parti ont perdu leurs illusions car le parti a l‘habitude des débats et des idées contradictoires». Très satisfait de la tournure des événements, ou il a réussi à prendre le dessus sur ses détracteurs, Belkhadem, qui a annoncé l‘installation prochaine d‘un groupe de travail pour la préparation de la session du conseil national et par la suite du congrès extraordinaire qui devrait entériner le choix du parti pour la candidature de Bouteflika à un troisième mandat, n‘a pas manqué de décocher, comme il l‘a fait la veille, des fléchettes notamment en direction du RND. «Nous sommes les maîtres de la maison et personne ne peut nous disputer cette évidence» a-t-il indiqué en faisant référence aux principes de la proclamation du 1er Novembre. Le conférencier a réitéré la volonté du parti de sanctionner les militants et cadres qui ont enfreint la discipline partisane, notamment lors des élections législatives et locales. «Nous attendons les rapports des mouhafadhas avant de transmettre les dossiers aux commissions de discipline» a-t-il affirmé avant d‘ajouter que «les statuts du parti seront scrupuleusement appliqués». La composante du secrétariat exécutif a vu la nomination d‘un nouveau membre, en l‘occurrence le sénateur Madani Bradai, et ce en remplacement de Abdelkader Bounekraf qui a jeté l‘éponge dernièrement. Belkhadem a révélé que le budget de fonctionnement de l‘année 2007 a été de 6 milliards de centimes et le parti n‘a consommé que 5 milliards de cette somme indiquant que le milliard restant sera consacré au congrés extraordinaire. Dans sa résolution, la commission des finances recommande la modernisation de la gestion du parti, la nécessité de faire l‘inventaire de ses biens immobiliers ainsi que la collecte des archives inhérentes à son histoire. Le FLN, selon ce rapport, veut aussi se doter d‘un nouveau siège national à la mesure de la place qu‘il occupe sur la scène politique.