La Coordination nationale des enfants de chouhada se lance à son tour dans la campagne pour l'amendement de la Constitution et le soutien du Président de la République pour un troisième mandat. Le secrétaire général de la Coordination nationale des enfants de chouhada (CNEC), Khaled Bounedjma, a annoncé, lundi, au cours d'un point de presse tenu à Alger, le lancement d'une campagne nationale pour soutenir l'amendement de la Constitution et un troisième mandat pour le président de la République. La campagne débutera le 3 janvier 2008, a déclaré le SG de la CNEC au cours de cette conférence consacrée à la présentation du bilan de la CNEC de l'année 2007 et de son programme pour l'année 2008. Il souligne dans ce cadre les raisons qui ont poussé la CNEC à réitérer son soutien à un troisième mandat pour le chef de l'Etat. Le conseil national de la CNEC est convaincu, dit-il, que le troisième mandat du Président Bouteflika « permettra la réalisation du progrès socio-économique par la mise en œuvre du programme présidentiel ». Il révèle que le CN de la CNEC avait décidé, lors de sa réunion les 11 et 12 décembre, l'organisation de cette campagne. Abordant la situation de la CNEC, Khaled Bounedjma a passé en revue le bilan de la coordination de l'année 2007, le qualifiant de « positif ». Des résultats importants, affirme-t-il, ont été obtenus, citant notamment la prochaine mise en œuvre totale du statut du chahid et du moudjahid, et ce, à partir du mois de janvier et l'augmentation de la pension des filles de chouhada de 2.000 DA, outre la pension qui sera allouée aux enfants de chouhada chômeurs, handicapés et sans revenus dont la valeur n'a pas été encore fixée. Par ailleurs, Khaled Bounedjma, abordant la question de la repentance de la France par rapport à ses crimes commis en Algérie, a indiqué que la reconnaissance par le président français Sarkozy que le système colonialiste était "injuste" et que d'ignobles crimes avaient été commis lors de la Guerre de Libération, est "une autre victoire". Il appelle, dans ce cadre, à la poursuite des efforts pour arracher une reconnaissance officielle et pertinente. La Coordination nationale des enfants de chouhada se lance à son tour dans la campagne pour l'amendement de la Constitution et le soutien du Président de la République pour un troisième mandat. Le secrétaire général de la Coordination nationale des enfants de chouhada (CNEC), Khaled Bounedjma, a annoncé, lundi, au cours d'un point de presse tenu à Alger, le lancement d'une campagne nationale pour soutenir l'amendement de la Constitution et un troisième mandat pour le président de la République. La campagne débutera le 3 janvier 2008, a déclaré le SG de la CNEC au cours de cette conférence consacrée à la présentation du bilan de la CNEC de l'année 2007 et de son programme pour l'année 2008. Il souligne dans ce cadre les raisons qui ont poussé la CNEC à réitérer son soutien à un troisième mandat pour le chef de l'Etat. Le conseil national de la CNEC est convaincu, dit-il, que le troisième mandat du Président Bouteflika « permettra la réalisation du progrès socio-économique par la mise en œuvre du programme présidentiel ». Il révèle que le CN de la CNEC avait décidé, lors de sa réunion les 11 et 12 décembre, l'organisation de cette campagne. Abordant la situation de la CNEC, Khaled Bounedjma a passé en revue le bilan de la coordination de l'année 2007, le qualifiant de « positif ». Des résultats importants, affirme-t-il, ont été obtenus, citant notamment la prochaine mise en œuvre totale du statut du chahid et du moudjahid, et ce, à partir du mois de janvier et l'augmentation de la pension des filles de chouhada de 2.000 DA, outre la pension qui sera allouée aux enfants de chouhada chômeurs, handicapés et sans revenus dont la valeur n'a pas été encore fixée. Par ailleurs, Khaled Bounedjma, abordant la question de la repentance de la France par rapport à ses crimes commis en Algérie, a indiqué que la reconnaissance par le président français Sarkozy que le système colonialiste était "injuste" et que d'ignobles crimes avaient été commis lors de la Guerre de Libération, est "une autre victoire". Il appelle, dans ce cadre, à la poursuite des efforts pour arracher une reconnaissance officielle et pertinente.