Pas moins de 64 émigrés clandestins algériens ont été arrêtés par les gardes-côtes au large des côtes de Beni-Saf (w. Aïn-Témouchent) durant les journées de mercredi et jeudi. Dans la région de Béni-Saf, 26 «harragas» ont été interceptés alors qu'ils tentaient de prendre le large à bord de deux embarcations de fortune, l'une chargée de 9 jeunes clandestins originaires d'Oran, et l'autre transportant 17 autres de diverses régions du pays. Dans la wilaya d'El Taref, plus précisément à El Kala, une paisible petite ville côtière, 20 «harragas» ont également été appréhendés par les gardes-côtes, à 80 miles au nord de cette localité. Ces jeunes, intrépides et risquant leur vie, ont bravé le froid glacial marin et la mer agitée en cette période où généralement, les conditions climatiques sont défavorables, pour une aventure, aussi dangereuse, en mer. C'est grâce à un cargo étranger que ces «harragas» ont été signalés aux gardes-frontières algériens qui se sont, aussitôt, lancés à leur recherche et leur localisation. Par ailleurs, 18 autres émigrés clandestins ont été arrêtés, au petit matin, sur les plages d'Annaba (Sidi Salem et Seybouse) alors qu'ils s'apprêtaient à partir dans l'inconnu, sachant que de nombreux clandestins s'égarent souvent dans la Méditerranée. Les forces navales algériennes font état de l'arrestation de 1.500 émigrés clandestins en 2007 contre 1.016 en 2006. De leur côté, les gardes-côtes italiens ont récupéré 40 algériens, mercredi soir, non loin de la Sardaigne, où les eaux territoriales de ce pays sont souvent submergés par des émigrés clandestins en provenance des pays du Maghreb et des pays africains sub-sahariens. Ces aventuriers, dont l'âge varie entre 20 et 30 ans, ont tenté de gagner l'île italienne de Lampedusa à bord d'une embarcation de fabrication artisanale. Les autorités italiennes ont également signalé l'arrestation de 23 autres «harragas» algériens durant la journée de jeudi, à bord de deux embarcations de fortune. Un récent bilan du ministère italien de l'Intérieur indique que 16.482 émigrés, probablement en provenance de Libye, ont débarqué illégalement sur les côtes italiennes durant l'année 2007. Ce chiffre est en baisse par rapport à l'année 2006 où plus de 20.920 personnes ont été dénombrées. La région d'Alger et de Tizi Ouzou comptent également plusieurs «harragas» dont certains sont portés disparus jusqu'à présent, tandis que d'autres ont, soit réussi à s'introduire clandestinement en Italie, soit ont été arrêtés par les autorités portuaires de ce pays. Pas moins de 64 émigrés clandestins algériens ont été arrêtés par les gardes-côtes au large des côtes de Beni-Saf (w. Aïn-Témouchent) durant les journées de mercredi et jeudi. Dans la région de Béni-Saf, 26 «harragas» ont été interceptés alors qu'ils tentaient de prendre le large à bord de deux embarcations de fortune, l'une chargée de 9 jeunes clandestins originaires d'Oran, et l'autre transportant 17 autres de diverses régions du pays. Dans la wilaya d'El Taref, plus précisément à El Kala, une paisible petite ville côtière, 20 «harragas» ont également été appréhendés par les gardes-côtes, à 80 miles au nord de cette localité. Ces jeunes, intrépides et risquant leur vie, ont bravé le froid glacial marin et la mer agitée en cette période où généralement, les conditions climatiques sont défavorables, pour une aventure, aussi dangereuse, en mer. C'est grâce à un cargo étranger que ces «harragas» ont été signalés aux gardes-frontières algériens qui se sont, aussitôt, lancés à leur recherche et leur localisation. Par ailleurs, 18 autres émigrés clandestins ont été arrêtés, au petit matin, sur les plages d'Annaba (Sidi Salem et Seybouse) alors qu'ils s'apprêtaient à partir dans l'inconnu, sachant que de nombreux clandestins s'égarent souvent dans la Méditerranée. Les forces navales algériennes font état de l'arrestation de 1.500 émigrés clandestins en 2007 contre 1.016 en 2006. De leur côté, les gardes-côtes italiens ont récupéré 40 algériens, mercredi soir, non loin de la Sardaigne, où les eaux territoriales de ce pays sont souvent submergés par des émigrés clandestins en provenance des pays du Maghreb et des pays africains sub-sahariens. Ces aventuriers, dont l'âge varie entre 20 et 30 ans, ont tenté de gagner l'île italienne de Lampedusa à bord d'une embarcation de fabrication artisanale. Les autorités italiennes ont également signalé l'arrestation de 23 autres «harragas» algériens durant la journée de jeudi, à bord de deux embarcations de fortune. Un récent bilan du ministère italien de l'Intérieur indique que 16.482 émigrés, probablement en provenance de Libye, ont débarqué illégalement sur les côtes italiennes durant l'année 2007. Ce chiffre est en baisse par rapport à l'année 2006 où plus de 20.920 personnes ont été dénombrées. La région d'Alger et de Tizi Ouzou comptent également plusieurs «harragas» dont certains sont portés disparus jusqu'à présent, tandis que d'autres ont, soit réussi à s'introduire clandestinement en Italie, soit ont été arrêtés par les autorités portuaires de ce pays.