Entamée jeudi dernier par les élèves des classes de terminales des lycées du chef-lieu de wilaya, la contestation a pris de l'ampleur en ce début de semaine puisque la protesta a fait tache d'huile au niveau des vingt-neuf établissements scolaires de l'enseignement secondaire. Déterminés à boycotter leurs cours, les protestataires exigent la révision du programme jugé lourd et fastidieux, un enseignement de qualité, avec le temps nécessaire pour assimiler les leçons et décrient les cours de soutiens dispensés gratuitement dans les lycées, car les professeurs ne seraient pas motivés. Le mouvement s'est durci au niveau du lycée Mahmoud Benmahmoud qui a formé deux générations puisque les élèves devant préparer le baccalauréat avaient voulu entreprendre une marche en ville pour crier leur colère et leur ras-le-bol. Cette action n'a pu être concrétisée puisque des renforts d'agents de la sûreté de wilaya avaient été déployés pour empêcher de fâcheux dépassements. Il faut souligner que les lycées du 1er Novembre, Bournaïch, Benhamouda et Chaâlel n'ont pas été épargnés puisque les contestataires agissent de concert grâce à leurs communications téléphoniques par portable. La situation s'est quelque peu calmée en début d'après-midi car un dialogue constructif a pu être établi avec le directeur de l'éducation qui a tenu à rassurer les jeunes grévistes soucieux de leur avenir. Entamée jeudi dernier par les élèves des classes de terminales des lycées du chef-lieu de wilaya, la contestation a pris de l'ampleur en ce début de semaine puisque la protesta a fait tache d'huile au niveau des vingt-neuf établissements scolaires de l'enseignement secondaire. Déterminés à boycotter leurs cours, les protestataires exigent la révision du programme jugé lourd et fastidieux, un enseignement de qualité, avec le temps nécessaire pour assimiler les leçons et décrient les cours de soutiens dispensés gratuitement dans les lycées, car les professeurs ne seraient pas motivés. Le mouvement s'est durci au niveau du lycée Mahmoud Benmahmoud qui a formé deux générations puisque les élèves devant préparer le baccalauréat avaient voulu entreprendre une marche en ville pour crier leur colère et leur ras-le-bol. Cette action n'a pu être concrétisée puisque des renforts d'agents de la sûreté de wilaya avaient été déployés pour empêcher de fâcheux dépassements. Il faut souligner que les lycées du 1er Novembre, Bournaïch, Benhamouda et Chaâlel n'ont pas été épargnés puisque les contestataires agissent de concert grâce à leurs communications téléphoniques par portable. La situation s'est quelque peu calmée en début d'après-midi car un dialogue constructif a pu être établi avec le directeur de l'éducation qui a tenu à rassurer les jeunes grévistes soucieux de leur avenir.