Intervenant à la clôture de la session d'automne de l'APN, Ziari s'est longuement attardé sur les «bienfaits» de la révision de la Constitution. Intervenant à la clôture de la session d'automne de l'APN, Ziari s'est longuement attardé sur les «bienfaits» de la révision de la Constitution. La session parlementaire d'automne s'est achevée, hier, par les traditionnels discours des présidents des deux Chambres. Discours-bilan pour Abdelaziz Ziari qui a longuement rappelé les activités de l'Assemblée populaire nationale au cours de cette législature. Intervenant à la clôture de la session d'automne de l'APN, Ziari s'est longuement attardé sur les «bienfaits» de la révision de la Constitution qui «consolidera davantage l'édification d'institutions constitutionnelles fortes pouvant garantir les acquis de la nation dont la justice sociale et renforcer le processus démocratique dans le pays». Le peuple, selon lui, veut choisir ses représentants «sans limitation de mandats électoraux», précisant que cette limitation était parmi les conditions imposées de l'extérieur à certains pays africains durant les années 1990, «sous le prétexte du principe de l'alternance au pouvoir». Lui emboîtant le pas, le président du Sénat est catégorique quand il affirme que la révision de la Constitution «n'est plus une revendication exclusive d'une classe politique donnée ni d'une catégorie ou d'un groupe déterminé de la société», car, toujours selon lui, il y va de «l'intérêt du pays et de la nation». Donc, la révision de la Constitution s'impose du moins pour corriger ses incohérences et clarifier les pouvoirs et les prérogatives des institutions-clés du pays. Pour revenir à cette session de l'APN, Ziari assure que son institution a eu «une activité législative très honorable» durant ces cinq mois. L'APN «a adopté» plusieurs textes de loi, venus «parachever les réformes engagées ces dernières années». Dans le cadre de l'action de contrôle parlementaire, nulle trace de rapports de commissions d'enquête parlementaires. Ziari est revenu également sur les élections locales de novembre dernier qui ont permis, a-t-il dit, de renforcer le processus démocratique dans le pays, et de consacrer le pluralisme politique. Le président de l'APN a, d'autre part, mis l'accent sur la nécessité de la lutte contre le terrorisme, un phénomène dont le peuple algérien connaît le degré de menace et il continuera à le combattre de toutes ses forces. La session parlementaire d'automne s'est achevée, hier, par les traditionnels discours des présidents des deux Chambres. Discours-bilan pour Abdelaziz Ziari qui a longuement rappelé les activités de l'Assemblée populaire nationale au cours de cette législature. Intervenant à la clôture de la session d'automne de l'APN, Ziari s'est longuement attardé sur les «bienfaits» de la révision de la Constitution qui «consolidera davantage l'édification d'institutions constitutionnelles fortes pouvant garantir les acquis de la nation dont la justice sociale et renforcer le processus démocratique dans le pays». Le peuple, selon lui, veut choisir ses représentants «sans limitation de mandats électoraux», précisant que cette limitation était parmi les conditions imposées de l'extérieur à certains pays africains durant les années 1990, «sous le prétexte du principe de l'alternance au pouvoir». Lui emboîtant le pas, le président du Sénat est catégorique quand il affirme que la révision de la Constitution «n'est plus une revendication exclusive d'une classe politique donnée ni d'une catégorie ou d'un groupe déterminé de la société», car, toujours selon lui, il y va de «l'intérêt du pays et de la nation». Donc, la révision de la Constitution s'impose du moins pour corriger ses incohérences et clarifier les pouvoirs et les prérogatives des institutions-clés du pays. Pour revenir à cette session de l'APN, Ziari assure que son institution a eu «une activité législative très honorable» durant ces cinq mois. L'APN «a adopté» plusieurs textes de loi, venus «parachever les réformes engagées ces dernières années». Dans le cadre de l'action de contrôle parlementaire, nulle trace de rapports de commissions d'enquête parlementaires. Ziari est revenu également sur les élections locales de novembre dernier qui ont permis, a-t-il dit, de renforcer le processus démocratique dans le pays, et de consacrer le pluralisme politique. Le président de l'APN a, d'autre part, mis l'accent sur la nécessité de la lutte contre le terrorisme, un phénomène dont le peuple algérien connaît le degré de menace et il continuera à le combattre de toutes ses forces.