La Société nationale de transport ferroviaire veut garder son statut de société publique et écarte, à cet effet, toute tentative d'ouverture de son capital aux investisseurs privés, étrangers ou nationaux. C'est du moins ce qu'a affirmé, hier, le PDG de la SNTF, M. Abdelhamid Lalaïmia. Le responsable souligne que l'entreprise s'est engagée dans la réalisation d'un ambitieux programme de développement visant la modernisation du rail en Algérie et l'amélioration de la qualité de ses services. «Aujourd'hui, l'entreprise avance d'une manière satisfaisante dans la réalisation des projets tracés dans le cadre de ce programme, sans être obligée d'avoir recours à l'ouverture de son capital», a indiqué M. Lalaïmia. Concernant la gestion des infrastructures de la société, le premier responsable de la SNTF a affirmé que l'entreprise peut effectivement faire appel à d'autres entreprises étrangères ou nationales. « La SNTF travaille en étroite collaboration avec des partenaires privés, étrangers et nationaux, pour le développement de ses services afin de mieux répondre aux attentes des voyageurs», explique-t-il. Toujours sur le registre de la privatisation, M. Lalaïmia a tenu à rappeler que la SNTF a procédé à la privatisation de plusieurs filiales à l'instar de l'entreprise Infra-Rail, une filiale à 100% SNTF pour laquelle l'entreprise SNTF a reçu neuf manifestations d'intérêt. M. Lalaïmia a souligné que l'ouverture des plis techniques concernant cette filiale aura lieu le mercredi prochain. «Les entreprises intéressées par Infra-Rail sont originaires de France, d'Italie, d'Espagne et de Turquie », a indiqué le responsable. L'autre filiale de la SNTF candidate à la privatisation est Seti-Rail dont une manifestation d'intérêt sera prochainement lancée, informe-t-il. Concernant les parts de marché relatif au transport des marchandises et des voyageurs, M. Lalaïmia affirme qu'elles restent marginales comparées aux volumes de marchandises et de voyageurs transportés au niveau national. « La part du marché de la SNTF est estimée actuellement à 15%, soit plus de 85% de parts de marché attribuées au transport routier» a déclaré M. Lalaïmia. Cela dit, le responsable a souligné que grâce à ces multiples projets en cours de réalisation, la SNTF prévoit à l'horizon 2012 une meilleure part de marché avec 80 millions de voyageurs et 15 millions de tonnes de marchandises transportés annuellement. Sur le volet tarification, le responsable affirme qu'une augmentation du prix du ticket de train reste à l'ordre du jour. « La SNTF est une entreprise commerciale prestataire de services, donc les prix doivent être rentables et le voyageur doit payer ces multiples services», affirme le responsable. Evoquant les actes de vandalisme perpétrés sur les trains et les cas de vol de câbles électriques, le responsable en a estimé les pertes à plus de 2 millions d'euros. « Les pertes financières ne sont pas importantes en comparaison avec les préjudices causés directement sur le train, notamment les retards ou l'arrêt temporaire de travail, suite aux vols de câbles électriques». La Société nationale de transport ferroviaire veut garder son statut de société publique et écarte, à cet effet, toute tentative d'ouverture de son capital aux investisseurs privés, étrangers ou nationaux. C'est du moins ce qu'a affirmé, hier, le PDG de la SNTF, M. Abdelhamid Lalaïmia. Le responsable souligne que l'entreprise s'est engagée dans la réalisation d'un ambitieux programme de développement visant la modernisation du rail en Algérie et l'amélioration de la qualité de ses services. «Aujourd'hui, l'entreprise avance d'une manière satisfaisante dans la réalisation des projets tracés dans le cadre de ce programme, sans être obligée d'avoir recours à l'ouverture de son capital», a indiqué M. Lalaïmia. Concernant la gestion des infrastructures de la société, le premier responsable de la SNTF a affirmé que l'entreprise peut effectivement faire appel à d'autres entreprises étrangères ou nationales. « La SNTF travaille en étroite collaboration avec des partenaires privés, étrangers et nationaux, pour le développement de ses services afin de mieux répondre aux attentes des voyageurs», explique-t-il. Toujours sur le registre de la privatisation, M. Lalaïmia a tenu à rappeler que la SNTF a procédé à la privatisation de plusieurs filiales à l'instar de l'entreprise Infra-Rail, une filiale à 100% SNTF pour laquelle l'entreprise SNTF a reçu neuf manifestations d'intérêt. M. Lalaïmia a souligné que l'ouverture des plis techniques concernant cette filiale aura lieu le mercredi prochain. «Les entreprises intéressées par Infra-Rail sont originaires de France, d'Italie, d'Espagne et de Turquie », a indiqué le responsable. L'autre filiale de la SNTF candidate à la privatisation est Seti-Rail dont une manifestation d'intérêt sera prochainement lancée, informe-t-il. Concernant les parts de marché relatif au transport des marchandises et des voyageurs, M. Lalaïmia affirme qu'elles restent marginales comparées aux volumes de marchandises et de voyageurs transportés au niveau national. « La part du marché de la SNTF est estimée actuellement à 15%, soit plus de 85% de parts de marché attribuées au transport routier» a déclaré M. Lalaïmia. Cela dit, le responsable a souligné que grâce à ces multiples projets en cours de réalisation, la SNTF prévoit à l'horizon 2012 une meilleure part de marché avec 80 millions de voyageurs et 15 millions de tonnes de marchandises transportés annuellement. Sur le volet tarification, le responsable affirme qu'une augmentation du prix du ticket de train reste à l'ordre du jour. « La SNTF est une entreprise commerciale prestataire de services, donc les prix doivent être rentables et le voyageur doit payer ces multiples services», affirme le responsable. Evoquant les actes de vandalisme perpétrés sur les trains et les cas de vol de câbles électriques, le responsable en a estimé les pertes à plus de 2 millions d'euros. « Les pertes financières ne sont pas importantes en comparaison avec les préjudices causés directement sur le train, notamment les retards ou l'arrêt temporaire de travail, suite aux vols de câbles électriques».