Les chauffeurs de taxi menacent de déclencher un mouvement de grève si les autorités concernées ne répondent pas à leurs doléances. Les chauffeurs de taxi menacent de déclencher un mouvement de grève si les autorités concernées ne répondent pas à leurs doléances. Le président de la Commission nationale des chauffeurs de taxis, M. Hocine Aït Braham a évoqué, une fois de plus, les revendications des chauffeurs de taxi en soulignant que «l'Administration reste insensible à nos problèmes». Contacté par nos soins, Aït Braham a affirmé que face à cette situation, les chauffeurs de taxi menacent de déclencher un mouvement de grève si les autorités concernées ne répondent pas à leurs doléances. «Le recours à une grève nationale des chauffeurs de taxi est fort probable si les autorités restent insensibles à nos doléances», a souligné M. Aït Braham, en précisant qu'auparavant «les chauffeurs de taxi ont sollicité l'effacement de leurs dettes auprès des ministères des Transports et des Finances ainsi que de l'administration des impôts mais rien de concret n'a été fait». Sur leur liste de revendications, les chauffeurs de taxi se plaignent du poids de la dette fiscale qui les accable et les empêche de travailler normalement. «La majorité des chauffeurs de taxi traînent des dettes de 30 à 60 millions de centimes chacun et actuellement des milliers de conducteurs de taxi attendent toujours le règlement de leurs problèmes», a fait savoir M. Aït Braham ajoutant que «l'effacement de ces dettes accumulées depuis 1992 reste la principale revendication des chauffeurs de taxi». «Nous demandons, encore une fois, une amnistie fiscale pour tous les conducteurs en activité depuis 1992 à ce jour» a-t-il plaidé. A cela s'ajoute la revendication de l'élaboration d'un statut particulier définissant et régulant le métier de chauffeur de taxi en Algérie. «Sous la législation actuelle, rien n'est clair (…) Depuis 2003, le taux d'impôts à payer est de l'ordre de 12% du chiffre d'affaires. Mais il est à préciser que personne ne sait exactement combien nous gagnons, ce qui est incompréhensible», dira M. Aït Braham. Afin d'organiser les démarches entreprises par les chauffeurs de taxi, M. Aït Braham a indiqué que la Commission nationale des chauffeurs de taxi a tenu deux réunions, la première ayant regroupé les chauffeurs de taxi de la région Ouest, la deuxième tenue en janvier, à Alger, ayant été consacrée aux conducteurs de la région Centre. «Une troisième réunion sera prochainement organisée à Skikda et regroupera les chauffeurs de taxi de la région Est», a-t-il déclaré. Lors de ces rencontres, les chauffeurs de taxi ont exprimé leur mécontentement vis-à-vis de leur situation actuelle. «La tenue de ces rencontres nous a permis de nous organiser et surtout de nous mettre d'accord sur la plate-forme de revendications et sur les démarches à suivre, au cas où l'administration continue à ignorer nos problèmes», a indiqué M. Aït Braham. Le président de la Commission nationale des chauffeurs de taxis, M. Hocine Aït Braham a évoqué, une fois de plus, les revendications des chauffeurs de taxi en soulignant que «l'Administration reste insensible à nos problèmes». Contacté par nos soins, Aït Braham a affirmé que face à cette situation, les chauffeurs de taxi menacent de déclencher un mouvement de grève si les autorités concernées ne répondent pas à leurs doléances. «Le recours à une grève nationale des chauffeurs de taxi est fort probable si les autorités restent insensibles à nos doléances», a souligné M. Aït Braham, en précisant qu'auparavant «les chauffeurs de taxi ont sollicité l'effacement de leurs dettes auprès des ministères des Transports et des Finances ainsi que de l'administration des impôts mais rien de concret n'a été fait». Sur leur liste de revendications, les chauffeurs de taxi se plaignent du poids de la dette fiscale qui les accable et les empêche de travailler normalement. «La majorité des chauffeurs de taxi traînent des dettes de 30 à 60 millions de centimes chacun et actuellement des milliers de conducteurs de taxi attendent toujours le règlement de leurs problèmes», a fait savoir M. Aït Braham ajoutant que «l'effacement de ces dettes accumulées depuis 1992 reste la principale revendication des chauffeurs de taxi». «Nous demandons, encore une fois, une amnistie fiscale pour tous les conducteurs en activité depuis 1992 à ce jour» a-t-il plaidé. A cela s'ajoute la revendication de l'élaboration d'un statut particulier définissant et régulant le métier de chauffeur de taxi en Algérie. «Sous la législation actuelle, rien n'est clair (…) Depuis 2003, le taux d'impôts à payer est de l'ordre de 12% du chiffre d'affaires. Mais il est à préciser que personne ne sait exactement combien nous gagnons, ce qui est incompréhensible», dira M. Aït Braham. Afin d'organiser les démarches entreprises par les chauffeurs de taxi, M. Aït Braham a indiqué que la Commission nationale des chauffeurs de taxi a tenu deux réunions, la première ayant regroupé les chauffeurs de taxi de la région Ouest, la deuxième tenue en janvier, à Alger, ayant été consacrée aux conducteurs de la région Centre. «Une troisième réunion sera prochainement organisée à Skikda et regroupera les chauffeurs de taxi de la région Est», a-t-il déclaré. Lors de ces rencontres, les chauffeurs de taxi ont exprimé leur mécontentement vis-à-vis de leur situation actuelle. «La tenue de ces rencontres nous a permis de nous organiser et surtout de nous mettre d'accord sur la plate-forme de revendications et sur les démarches à suivre, au cas où l'administration continue à ignorer nos problèmes», a indiqué M. Aït Braham.