La ministre de la Culture et le SG de l'UGTA ont paraphé, hier, un procès-verbal sanctionnant les travaux de la commission mixte chargée de la préparation du statut particulier des fonctionnaires de la culture. Celui de l'artiste, dira Khalida Toumi, «se trouve au niveau de la chefferie du gouvernement». Le document signé conjointement par le ministre de la Culture et le patron de l'Union générale des travailleurs algériens constitue, selon Toumi, «une première étape pour rassurer les travailleurs de la Fonction publique qu'aucun problème n'existe entre le partenaire social et le ministère», mettant l'accent, en outre, sur la nécessité de «corriger certains points dans l'actuel statut des fonctionnaires de la culture», sujet, a-t-elle dit, «de beaucoup de plaintes de la part des travailleurs». Faisant dans le détail, la ministre indiqua que «ces corrections concernent, notamment, le cas des guides touristiques locaux dans les parcs nationaux de l'Ahaggar et du Tassili au Sud du pays, qui assurent leur fonction avec le titre de gardien», car, a expliqué la ministre, «ils n'ont pas de diplômes les qualifiant de guides, mais seulement parce qu'ils sont de vrais connaisseurs de la région». La ministre a, dans ce sillage, annoncé le projet de création à l'avenir de trois parcs nationaux de Tindouf, de l'Atlas saharien et de Gourara. Il est à préciser que le document signé par la tutelle et le partenaire social va dans le sens de la revalorisation et l'harmonisation du cadre de travail des fonctionnaires du secteur culturel, comme ceux des musées, des établissements de formation à caractère culturel (conservatoires et instituts) et des parcs nationaux protégeant le patrimoine national. Interpellée par les professionnels de l'information sur le statut de l'artiste, Toumi devait répondre : «C'est un projet qui se trouve au niveau de la chefferie du gouvernement et nous attendons qu'il soit programmé.» Une attente que les artistes ont appris à «chanter en silence». La ministre de la Culture et le SG de l'UGTA ont paraphé, hier, un procès-verbal sanctionnant les travaux de la commission mixte chargée de la préparation du statut particulier des fonctionnaires de la culture. Celui de l'artiste, dira Khalida Toumi, «se trouve au niveau de la chefferie du gouvernement». Le document signé conjointement par le ministre de la Culture et le patron de l'Union générale des travailleurs algériens constitue, selon Toumi, «une première étape pour rassurer les travailleurs de la Fonction publique qu'aucun problème n'existe entre le partenaire social et le ministère», mettant l'accent, en outre, sur la nécessité de «corriger certains points dans l'actuel statut des fonctionnaires de la culture», sujet, a-t-elle dit, «de beaucoup de plaintes de la part des travailleurs». Faisant dans le détail, la ministre indiqua que «ces corrections concernent, notamment, le cas des guides touristiques locaux dans les parcs nationaux de l'Ahaggar et du Tassili au Sud du pays, qui assurent leur fonction avec le titre de gardien», car, a expliqué la ministre, «ils n'ont pas de diplômes les qualifiant de guides, mais seulement parce qu'ils sont de vrais connaisseurs de la région». La ministre a, dans ce sillage, annoncé le projet de création à l'avenir de trois parcs nationaux de Tindouf, de l'Atlas saharien et de Gourara. Il est à préciser que le document signé par la tutelle et le partenaire social va dans le sens de la revalorisation et l'harmonisation du cadre de travail des fonctionnaires du secteur culturel, comme ceux des musées, des établissements de formation à caractère culturel (conservatoires et instituts) et des parcs nationaux protégeant le patrimoine national. Interpellée par les professionnels de l'information sur le statut de l'artiste, Toumi devait répondre : «C'est un projet qui se trouve au niveau de la chefferie du gouvernement et nous attendons qu'il soit programmé.» Une attente que les artistes ont appris à «chanter en silence».