Le Syndicat national de la Fonction publique (SNAPAP) salue la dynamique des paramédicaux qui vont observer une grève nationale de trois jours, prévue à partir de demain. Le bureau du Conseil national du syndicat qui s'est réuni exprime, dans un communiqué rendu public, sa solidarité et son soutient «indéfectible» à la grève nationale des paramédicaux et appelle à une coordination de syndicats revendicatifs, tout en adhérant avec force à cette dynamique syndicale. Car, selon le SNAPAP, seul un mouvement syndical d'envergure national construit dans le rassemblement le plus large possible, peut imposer aux pouvoirs publics la satisfaction des revendications socioprofessionnelles des personnels de la santé et «d'arrêter la politique de deux poids deux mesures», lit-on dans le communiqué. La situation socioprofessionnelle des personnels du secteur de la santé est caractérisée, selon le SNAPAP, par un pouvoir d'achat qui se détériore «dangereusement » de jour en jour. Et de poursuivre que l'amélioration du pouvoir d'achat, le libre exercice des activités syndicales et du droit de grève constituent pour les travailleurs un minimum pour espérer à une vie digne. En outre, le SNAPAP déplore les mauvaises conditions dans lequelles évoluent les travailleurs de la santé publique. Les réformes mises en œuvre par le ministère de la Santé, explique-t-on, «ne font qu'approfondir la discrimination et la division entre le personnel du secteur». A cet effet, le SNAPAP lance un appel à la mobilisation de tout le personnel de la santé publique afin de tenir des assemblées générales sur les lieux de travail. Ces dernières, selon le SNAPAP, permettront de se concerter sur une action d'envergure nationale dont la forme et la date seront arrêtées par le prochain Conseil national pour exiger la satisfaction de leurs revendications. Rappelons que les principales revendications ont trait à l'augmentation des salaires et la revalorisation du régime indemnitaire, à l'ouverture du dialogue avec les syndicats autonomes sur la révision du statut particulier des travailleurs communaux, à l'intégration des vacataires et contractuels et enfin aux libertés syndicales. Le SNAPAP a salué, par ailleurs, les fonctionnaires pour «leur mobilisation et leur détermination» durant la grève nationale de trois jours. Cette dernière a été initiée par l'Intersyndicale autonome de la Fonction publique. Au cours du rassemblement observé le 12 février dernier, note le communiqué du SNAPAP, les cadres syndicaux des différents syndicats autonomes «ont brisé le mur de la peur imposé aux fonctionnaires». Le Syndicat national de la Fonction publique (SNAPAP) salue la dynamique des paramédicaux qui vont observer une grève nationale de trois jours, prévue à partir de demain. Le bureau du Conseil national du syndicat qui s'est réuni exprime, dans un communiqué rendu public, sa solidarité et son soutient «indéfectible» à la grève nationale des paramédicaux et appelle à une coordination de syndicats revendicatifs, tout en adhérant avec force à cette dynamique syndicale. Car, selon le SNAPAP, seul un mouvement syndical d'envergure national construit dans le rassemblement le plus large possible, peut imposer aux pouvoirs publics la satisfaction des revendications socioprofessionnelles des personnels de la santé et «d'arrêter la politique de deux poids deux mesures», lit-on dans le communiqué. La situation socioprofessionnelle des personnels du secteur de la santé est caractérisée, selon le SNAPAP, par un pouvoir d'achat qui se détériore «dangereusement » de jour en jour. Et de poursuivre que l'amélioration du pouvoir d'achat, le libre exercice des activités syndicales et du droit de grève constituent pour les travailleurs un minimum pour espérer à une vie digne. En outre, le SNAPAP déplore les mauvaises conditions dans lequelles évoluent les travailleurs de la santé publique. Les réformes mises en œuvre par le ministère de la Santé, explique-t-on, «ne font qu'approfondir la discrimination et la division entre le personnel du secteur». A cet effet, le SNAPAP lance un appel à la mobilisation de tout le personnel de la santé publique afin de tenir des assemblées générales sur les lieux de travail. Ces dernières, selon le SNAPAP, permettront de se concerter sur une action d'envergure nationale dont la forme et la date seront arrêtées par le prochain Conseil national pour exiger la satisfaction de leurs revendications. Rappelons que les principales revendications ont trait à l'augmentation des salaires et la revalorisation du régime indemnitaire, à l'ouverture du dialogue avec les syndicats autonomes sur la révision du statut particulier des travailleurs communaux, à l'intégration des vacataires et contractuels et enfin aux libertés syndicales. Le SNAPAP a salué, par ailleurs, les fonctionnaires pour «leur mobilisation et leur détermination» durant la grève nationale de trois jours. Cette dernière a été initiée par l'Intersyndicale autonome de la Fonction publique. Au cours du rassemblement observé le 12 février dernier, note le communiqué du SNAPAP, les cadres syndicaux des différents syndicats autonomes «ont brisé le mur de la peur imposé aux fonctionnaires».