Le Syndicat autonome des personnels de l'administration publique (Snapap) ne mettra pas finalement à exécution son mot d'ordre de grève. Prévue normalement pour aujourd'hui et demain cette grève de deux jours, reconductible chaque semaine, a été en effet ajournée. Cette décision du Snapap, rendue publique hier, est motivée par la réponse positive du gouvernement à l'une des doléances du syndicat. En effet la direction générale de la Fonction publique a annoncé, ces derniers jours, que le régime indemnitaire des corps communs entrera en vigueur dès le mois en cours. Le Snapap avait pour rappel brandi cette menace de débrayage suite aux retards enregistrés non seulement dans la promulgation des statuts particuliers de plusieurs catégories de l'administration publique, mais aussi, par conséquent, du régime indemnitaire. Le syndicat, qui a menacé de débrayer au cas où le gouvernement ne fait rien durant ce mois de juin a aussi annoncé, par le biais d'un communiqué rendu public hier, qu'il s'attend à ce que le que le gouvernement promulgue dans le plus brefs délais les statuts particuliers et le régime indemnitaire des secteurs de la Santé, (les paramédicaux et les médecins), le secteur de la Formation professionnelle (les enseignants), le secteur de l'Enseignement supérieur, la Protection civile, ainsi que les secteurs de l'Agriculture, des Finances, mais aussi celui des communes. En fait le Snapap souhaite que le gouvernement agisse concrètement et promulgue ces textes au cours du mois de juillet prochain. Faute de quoi, le bureau national du Snapap, relève le communiqué signé de la main du président du syndicat Rachid Malaoui, brandit la menace de déclencher une grève de deux jours reconductible chaque semaine pour les journées des 16 et 17 juillet prochain. Le Snapap, qui a demandé aux travailleurs de se préparer pour cette action, estime enfin que c'est la seule alternative pour la satisfaction «des revendications légitimes et l'amélioration du pouvoir d'achat». Le Syndicat autonome des personnels de l'administration publique (Snapap) ne mettra pas finalement à exécution son mot d'ordre de grève. Prévue normalement pour aujourd'hui et demain cette grève de deux jours, reconductible chaque semaine, a été en effet ajournée. Cette décision du Snapap, rendue publique hier, est motivée par la réponse positive du gouvernement à l'une des doléances du syndicat. En effet la direction générale de la Fonction publique a annoncé, ces derniers jours, que le régime indemnitaire des corps communs entrera en vigueur dès le mois en cours. Le Snapap avait pour rappel brandi cette menace de débrayage suite aux retards enregistrés non seulement dans la promulgation des statuts particuliers de plusieurs catégories de l'administration publique, mais aussi, par conséquent, du régime indemnitaire. Le syndicat, qui a menacé de débrayer au cas où le gouvernement ne fait rien durant ce mois de juin a aussi annoncé, par le biais d'un communiqué rendu public hier, qu'il s'attend à ce que le que le gouvernement promulgue dans le plus brefs délais les statuts particuliers et le régime indemnitaire des secteurs de la Santé, (les paramédicaux et les médecins), le secteur de la Formation professionnelle (les enseignants), le secteur de l'Enseignement supérieur, la Protection civile, ainsi que les secteurs de l'Agriculture, des Finances, mais aussi celui des communes. En fait le Snapap souhaite que le gouvernement agisse concrètement et promulgue ces textes au cours du mois de juillet prochain. Faute de quoi, le bureau national du Snapap, relève le communiqué signé de la main du président du syndicat Rachid Malaoui, brandit la menace de déclencher une grève de deux jours reconductible chaque semaine pour les journées des 16 et 17 juillet prochain. Le Snapap, qui a demandé aux travailleurs de se préparer pour cette action, estime enfin que c'est la seule alternative pour la satisfaction «des revendications légitimes et l'amélioration du pouvoir d'achat».