Le ministre de la Poste et des TIC, Boudjemaâ Haichour, vient d'indiquer que «le taux de pénétration pondéré des TIC au sein des PME algériennes est de l'ordre de 44,66 %. Le ministre de la Poste et des TIC, Boudjemaâ Haichour, vient d'indiquer que «le taux de pénétration pondéré des TIC au sein des PME algériennes est de l'ordre de 44,66 %. En l'espace de deux mois, le taux de pénétration des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans les petites et moyennes entreprises algériennes (PME) est passé de 31,89 % à près de 45 %. En effet, le ministre de la Poste et des TIC, Boudjemaâ Haichour, vient d'indiquer que «le taux de pénétration pondéré des TIC au sein des PME algériennes est de l'ordre de 44,66 %. C'est en fait, l'indice d'une étude en voie d'achèvement pilotée par le centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD). Les moyens utilisés pour mener cette pratique expérimentale et empirique en pleine vogue actuellement en Algérie, sont notamment l'Internet, l'accès ADSL, les réseaux intranet et extranet, le téléphone fixe et surtout le portable (usage généralisé chez de nombreux citoyens), le micro-ordinateur et enfin les portails et les sites web. Le ministre a précisé que «la part globale des investissements consentis pour les PME aux TIC dépasse 6,70 % et concernent, principalement, la gestion des ressources humaines (28%) et la comptabilité (25%). Les grandes villes à forte concentration de PME versées dans la production de biens technologiques, tels que les pôles industriels de Sétif, Béjaïa, Bordj Bou-Arréridj, Sidi Bel-Abbès et Tlemcen, connaissent un taux élevé d'utilisation des TIC». En tant que potentiel de croissance économique et générateur de richesses et de nouveaux emplois, il est indéniable que le secteur de la PME participe activement au développement local et durable. Car, la propension accrue à la compétitivité de ces PME continue à les propulser à un niveau d'accumulation permanent des richesses et des revenus, compte tenu de leurs capacités productives en hausse. Désormais, les opérateurs économiques et les entrepreneurs du secteur privé, et à leur tête, le responsable du forum des chefs d'entreprise (FCE), reconnaissent que, le décollage économique dans le contexte de l'économie de marché et la croissance, ne pourraient provenir que du côté des PME-PMI, considérés comme un véritable vecteur de développement. Par ailleurs, les TIC jouent le rôle de catalyseur dans le domaine du marketing management. Le ministre de la PME et de l'artisanat, Mustapha Benbada, a mis en exergue l'importance de l'enquête réalisée par le CREAD, en décembre 2007, et qui a permis de déterminer l'indice global de pénétration des TIC dans les PME. Il a estimé que «les résultats de cette enquête constituent un précieux paramètre économique susceptible d'éclairer les pouvoirs publics sur le niveau technologique atteint par nos entreprises, particulièrement, à la veille du lancement du nouveau programme MEDA-PME II». Selon Abedou Abderrahmane, chef de projet au CREAD, cette enquête a contribué à savoir à quel point le visage et la configuration de la PME ont changé dans le sens de la modernité. «Contrairement aux préjugés sur la PME, où certains estiment qu'elle était réduite à l'entreprise familiale, fragile et cloisonnée, celle-ci se modernise pour devenir une entité économique fiable», a-t-il indiqué. L'indice global de pénétration des TIC au sein des PME a été estimé à 31,89% à l'échelle nationale, lors de cette enquête datant de la fin de l'année 2007. En l'espace de deux mois, le taux de pénétration des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans les petites et moyennes entreprises algériennes (PME) est passé de 31,89 % à près de 45 %. En effet, le ministre de la Poste et des TIC, Boudjemaâ Haichour, vient d'indiquer que «le taux de pénétration pondéré des TIC au sein des PME algériennes est de l'ordre de 44,66 %. C'est en fait, l'indice d'une étude en voie d'achèvement pilotée par le centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD). Les moyens utilisés pour mener cette pratique expérimentale et empirique en pleine vogue actuellement en Algérie, sont notamment l'Internet, l'accès ADSL, les réseaux intranet et extranet, le téléphone fixe et surtout le portable (usage généralisé chez de nombreux citoyens), le micro-ordinateur et enfin les portails et les sites web. Le ministre a précisé que «la part globale des investissements consentis pour les PME aux TIC dépasse 6,70 % et concernent, principalement, la gestion des ressources humaines (28%) et la comptabilité (25%). Les grandes villes à forte concentration de PME versées dans la production de biens technologiques, tels que les pôles industriels de Sétif, Béjaïa, Bordj Bou-Arréridj, Sidi Bel-Abbès et Tlemcen, connaissent un taux élevé d'utilisation des TIC». En tant que potentiel de croissance économique et générateur de richesses et de nouveaux emplois, il est indéniable que le secteur de la PME participe activement au développement local et durable. Car, la propension accrue à la compétitivité de ces PME continue à les propulser à un niveau d'accumulation permanent des richesses et des revenus, compte tenu de leurs capacités productives en hausse. Désormais, les opérateurs économiques et les entrepreneurs du secteur privé, et à leur tête, le responsable du forum des chefs d'entreprise (FCE), reconnaissent que, le décollage économique dans le contexte de l'économie de marché et la croissance, ne pourraient provenir que du côté des PME-PMI, considérés comme un véritable vecteur de développement. Par ailleurs, les TIC jouent le rôle de catalyseur dans le domaine du marketing management. Le ministre de la PME et de l'artisanat, Mustapha Benbada, a mis en exergue l'importance de l'enquête réalisée par le CREAD, en décembre 2007, et qui a permis de déterminer l'indice global de pénétration des TIC dans les PME. Il a estimé que «les résultats de cette enquête constituent un précieux paramètre économique susceptible d'éclairer les pouvoirs publics sur le niveau technologique atteint par nos entreprises, particulièrement, à la veille du lancement du nouveau programme MEDA-PME II». Selon Abedou Abderrahmane, chef de projet au CREAD, cette enquête a contribué à savoir à quel point le visage et la configuration de la PME ont changé dans le sens de la modernité. «Contrairement aux préjugés sur la PME, où certains estiment qu'elle était réduite à l'entreprise familiale, fragile et cloisonnée, celle-ci se modernise pour devenir une entité économique fiable», a-t-il indiqué. L'indice global de pénétration des TIC au sein des PME a été estimé à 31,89% à l'échelle nationale, lors de cette enquête datant de la fin de l'année 2007.