Le mouvement de grève initié par les douze syndicats autonomes semble avoir été suivi à Chlef et le taux de participation va crescendo. Si aux environs de 10 heures il affichait 42% en ce premier jour, deux heures après, soit vers midi, il est passé à 56%. Le secteur de l'enseignement est en tête de liste avec 75% pour les établissements scolaires et 55% pour l'université. Quant aux autres organismes, ce sont les APC et le siège de la wilaya qui viennent en deuxième et troisième place avec respectivement 46 et 42%. Les directions et les daïras pour leur part enregistrent des taux de 35% et 28%. Selon les animateurs du mouvement de protestation, le deuxième jour verra certainement une plus forte participation en vue d'une paralysie totale des organismes de l'administration publique. Une prévision que semblent partager des grévistes que nous avons rencontrés à la porte de la cité administrative et qui nous ont paru convaincus par les revendications énoncées dans l'appel lancé par la Coordination nationale des syndicats autonomes et qui met en avant le mépris affiché par les pouvoirs publics à l'égard de leurs doléances. Enfin et d'après ce que nous avons constaté sur le terrain, ceux qui ont hésité en ce premier jour de rejoindre leurs camarades paraissent décidés de se joindre au mouvement. Le mouvement de grève initié par les douze syndicats autonomes semble avoir été suivi à Chlef et le taux de participation va crescendo. Si aux environs de 10 heures il affichait 42% en ce premier jour, deux heures après, soit vers midi, il est passé à 56%. Le secteur de l'enseignement est en tête de liste avec 75% pour les établissements scolaires et 55% pour l'université. Quant aux autres organismes, ce sont les APC et le siège de la wilaya qui viennent en deuxième et troisième place avec respectivement 46 et 42%. Les directions et les daïras pour leur part enregistrent des taux de 35% et 28%. Selon les animateurs du mouvement de protestation, le deuxième jour verra certainement une plus forte participation en vue d'une paralysie totale des organismes de l'administration publique. Une prévision que semblent partager des grévistes que nous avons rencontrés à la porte de la cité administrative et qui nous ont paru convaincus par les revendications énoncées dans l'appel lancé par la Coordination nationale des syndicats autonomes et qui met en avant le mépris affiché par les pouvoirs publics à l'égard de leurs doléances. Enfin et d'après ce que nous avons constaté sur le terrain, ceux qui ont hésité en ce premier jour de rejoindre leurs camarades paraissent décidés de se joindre au mouvement.