Le secrétaire général de la Ligue au Liban, M. Amr Moussa, devait poursuivre hier, à Beyrouth sa médiation dans la crise libanaise à la veille d'une réunion du Parlement prévue pour élire un nouveau président de la République. M. Moussa, qui s'est rendu à plusieurs reprises ces dernières semaines dans le pays du Cèdre dans le cadre de ses efforts de médiation, tente d'aplanir les divergences entre l'opposition et la majorité parlementaire sur la question du futur Chef de l'Etat dans le cadre d'un plan de conciliation initié par la Ligue arabe. Le poste de président est vacant depuis la fin du mandat de Emile Lahoud le 23 novembre dernier. Les institutions du pays sont également paralysées depuis plus d'un an à la suite de la démission de tous les ministres de l'opposition qui réclame plus de pouvoir. L'initiative arabe, adoptée par les ministres des Affaires étrangères de la Ligue le 5 janvier dernier au Caire, porte notamment sur l'élection immédiate du général Michel Sleimane à la présidence, la formation d'un gouvernement d'union nationale sans minorité de blocage, et l'élaboration d'une nouvelle loi électorale. Le député Saad Hariri, l'ancien président Amine Gemayel et l'ancien général Michel Aoun, ont pris part à la réunion tenue ce dimanche, et qui intervient à la veille de la séance parlementaire prévue pour élire un président de la République. Le secrétaire général de la Ligue au Liban, M. Amr Moussa, devait poursuivre hier, à Beyrouth sa médiation dans la crise libanaise à la veille d'une réunion du Parlement prévue pour élire un nouveau président de la République. M. Moussa, qui s'est rendu à plusieurs reprises ces dernières semaines dans le pays du Cèdre dans le cadre de ses efforts de médiation, tente d'aplanir les divergences entre l'opposition et la majorité parlementaire sur la question du futur Chef de l'Etat dans le cadre d'un plan de conciliation initié par la Ligue arabe. Le poste de président est vacant depuis la fin du mandat de Emile Lahoud le 23 novembre dernier. Les institutions du pays sont également paralysées depuis plus d'un an à la suite de la démission de tous les ministres de l'opposition qui réclame plus de pouvoir. L'initiative arabe, adoptée par les ministres des Affaires étrangères de la Ligue le 5 janvier dernier au Caire, porte notamment sur l'élection immédiate du général Michel Sleimane à la présidence, la formation d'un gouvernement d'union nationale sans minorité de blocage, et l'élaboration d'une nouvelle loi électorale. Le député Saad Hariri, l'ancien président Amine Gemayel et l'ancien général Michel Aoun, ont pris part à la réunion tenue ce dimanche, et qui intervient à la veille de la séance parlementaire prévue pour élire un président de la République.