les deux pays ont identifié des possibilités « extrêmement encourageantes » de coopération dans le secteur de l'énergie, où des sociétés mixtes vont bientôt voir le jour pour favoriser le partenariat dans le domaine de l'exploration et de la liquéfaction du gaz. les deux pays ont identifié des possibilités « extrêmement encourageantes » de coopération dans le secteur de l'énergie, où des sociétés mixtes vont bientôt voir le jour pour favoriser le partenariat dans le domaine de l'exploration et de la liquéfaction du gaz. Les travaux de la commission mixte algéro-egyptienne ont été sanctionnés, hier, par la signature d'une vingtaine d'accords de coopération et de partenariat dans de nombreux domaines d'activité. Ces accords portent à la fois sur des secteurs stratégiques comme le commerce, l'industrie, l'investissement, l'environnement, le transport, ainsi que sur la coopération dans des domaines touchant directement les citoyens, à savoir la santé, l'éducation, l'enseignement supérieur, la recherche scientifique, la culture et le sport. Les deux parties ont souligné, à cette occasion, leur détermination à promouvoir les relations économiques et à lever tous les obstacles pouvant entraver cette démarche. Le chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, a exprimé « l'entière disponibilité » de l'Algérie à exploiter tous les moyens à l'effet de bâtir des relations de « haut niveau » avec l'Egypte, notamment, à travers la promotion des conventions existantes et la mise en œuvre d'autres "selon une vision stratégique". Il a également souligné l'importance des investissements égyptiens dans des domaines stratégiques en Algérie, appelant à les renforcer davantage pour en couvrir d'autres. Ainsi, les deux pays ont pu identifier des possibilités « extrêmement encourageantes » de coopération dans le secteur de l'énergie, où des sociétés mixtes vont bientôt voir le jour pour favoriser le partenariat dans le domaine de l'exploration et de la liquéfaction du gaz. L'autre secteur de coopération retenu par les deux pays, et considéré parmi les "plus développé", est celui de l'industrie, compte tenu de la présence égyptienne dans le domaine des matériaux de construction et l'intention affichée par les entreprises égyptiennes de développer d'autres filières industrielles, en particulier, la sidérurgie et l'aluminium. Le bâtiment et les travaux publics figurent également parmi les secteurs où l'investissement arabe est présent depuis quelques années dans sa conception la plus large, à la fois, à usage d'habitation mais aussi hôtelier et touristique. L'Egypte est le premier partenaire de l'Algérie dans le domaine de l'investissement hors hydrocarbures. Les échanges commerciaux entre les deux pays se sont multipliés par dix lors des sept dernières années, et ont atteint 4 milliards de dollars en 2007, un chiffre qui devrait passer à 5 milliards de dollars en 2008, selon des prévisions économiques. La mise en place d'un Conseil d'affaires algéro-égyptien devrait accompagner la nouvelle dynamique des relations économiques entre les deux pays. Ceci d'autant que plus de 20 entreprises égyptiennes des secteurs des télécommunications, de l'énergie, de la sidérurgie et du bâtiment ont fait part de leur intention de développer des projets de partenariat avec des entreprises algériennes. Il s'agit, notamment, d'une cimenterie dans la wilaya de Djelfa pour un montant de 400 millions de dollars, de la cimenterie de Zahana (Mascara) pour un montant de près de 45 millions de dollars dans le cadre de l'ouverture de 35% de son capital, la réalisation d'un complexe sidérurgique à Djendjen (Jijel) par le groupe industriel égyptien « El Izz » pour un montant de 2 milliards de dollars et du méga-projet du complexe d'ammoniac à Arzew pour un montant de 2,2 milliards de dollars. Par ailleurs, des hommes d'affaires égyptiens ont souligné que le climat d'investissement en Algérie s'est « considérablement amélioré », estimant que l'opportunité de renforcer davantage les investissements égyptiens en Algérie est « plus que jamais offerte ». Les travaux de la commission mixte algéro-egyptienne ont été sanctionnés, hier, par la signature d'une vingtaine d'accords de coopération et de partenariat dans de nombreux domaines d'activité. Ces accords portent à la fois sur des secteurs stratégiques comme le commerce, l'industrie, l'investissement, l'environnement, le transport, ainsi que sur la coopération dans des domaines touchant directement les citoyens, à savoir la santé, l'éducation, l'enseignement supérieur, la recherche scientifique, la culture et le sport. Les deux parties ont souligné, à cette occasion, leur détermination à promouvoir les relations économiques et à lever tous les obstacles pouvant entraver cette démarche. Le chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, a exprimé « l'entière disponibilité » de l'Algérie à exploiter tous les moyens à l'effet de bâtir des relations de « haut niveau » avec l'Egypte, notamment, à travers la promotion des conventions existantes et la mise en œuvre d'autres "selon une vision stratégique". Il a également souligné l'importance des investissements égyptiens dans des domaines stratégiques en Algérie, appelant à les renforcer davantage pour en couvrir d'autres. Ainsi, les deux pays ont pu identifier des possibilités « extrêmement encourageantes » de coopération dans le secteur de l'énergie, où des sociétés mixtes vont bientôt voir le jour pour favoriser le partenariat dans le domaine de l'exploration et de la liquéfaction du gaz. L'autre secteur de coopération retenu par les deux pays, et considéré parmi les "plus développé", est celui de l'industrie, compte tenu de la présence égyptienne dans le domaine des matériaux de construction et l'intention affichée par les entreprises égyptiennes de développer d'autres filières industrielles, en particulier, la sidérurgie et l'aluminium. Le bâtiment et les travaux publics figurent également parmi les secteurs où l'investissement arabe est présent depuis quelques années dans sa conception la plus large, à la fois, à usage d'habitation mais aussi hôtelier et touristique. L'Egypte est le premier partenaire de l'Algérie dans le domaine de l'investissement hors hydrocarbures. Les échanges commerciaux entre les deux pays se sont multipliés par dix lors des sept dernières années, et ont atteint 4 milliards de dollars en 2007, un chiffre qui devrait passer à 5 milliards de dollars en 2008, selon des prévisions économiques. La mise en place d'un Conseil d'affaires algéro-égyptien devrait accompagner la nouvelle dynamique des relations économiques entre les deux pays. Ceci d'autant que plus de 20 entreprises égyptiennes des secteurs des télécommunications, de l'énergie, de la sidérurgie et du bâtiment ont fait part de leur intention de développer des projets de partenariat avec des entreprises algériennes. Il s'agit, notamment, d'une cimenterie dans la wilaya de Djelfa pour un montant de 400 millions de dollars, de la cimenterie de Zahana (Mascara) pour un montant de près de 45 millions de dollars dans le cadre de l'ouverture de 35% de son capital, la réalisation d'un complexe sidérurgique à Djendjen (Jijel) par le groupe industriel égyptien « El Izz » pour un montant de 2 milliards de dollars et du méga-projet du complexe d'ammoniac à Arzew pour un montant de 2,2 milliards de dollars. Par ailleurs, des hommes d'affaires égyptiens ont souligné que le climat d'investissement en Algérie s'est « considérablement amélioré », estimant que l'opportunité de renforcer davantage les investissements égyptiens en Algérie est « plus que jamais offerte ».