«Il existe encore 3.000 décharges anarchiques sur une surface de 150.000 hectares au niveau national», a indiqué Mme Benhaddadi, chargée de la cellule de communication à l'Agence nationale des déchets (AND). Cette agence affirme qu'environ 8,5 millions de tonnes de déchets dont 1,5 million de déchets industriels sur tout le territoire national restent à traiter, relevant, par ailleurs, que la quantité de déchets ménagers produite quotidiennement est de 0,75 kg par individu dans les grandes villes, contre 0,50 kg dans les villes de moyenne densité. Ces déchets, constitués en grande partie de papier, de plastique (emballage et boîtes de conserves) ou de métal, représentent 760.000 tonnes par an pouvant être valorisées par un bénéfice financier de 3,5 milliards de dinars, d'après l'interlocutrice. Pour faire face à cette situation, l'AND qui a pour tâche de développer l'opération de la collecte, du transport, du traitement, de valorisation et de tri des déchets, a mis en place un système dénommé Eco-collecte pour permettre de réduire la densité de ces déchets, son influence sur l'environnement et pouvoir ainsi gérer ce phénomène. Le projet en question, ajoute la même source, dont la mise en œuvre avait été lancée à Annaba en coordination avec l'entreprise technique allemande (GTZ), concerne cinq villes pilotes dont Staouèli à Alger, Annaba, Tlemcen, Ghardaïa et Djelfa. Pour mener à bien ce projet, des moyens techniques modernes et développés, entre autres, des bennes pour la collecte et le tri des déchets, des moyens de transport ainsi que la construction de centre d'enfouissement technique, sont nécessaires, explique Mme Benhaddadi. Elle annonce, dans le même sens, la construction de 80 centres du genre au niveau national, dont 20 sont déjà opérationnels. Mme Benhaddadi insiste sur l'importance de l'application des lois en vigueur sur la gestion, la collecte, le tri et l'élimination des déchets ménagers pour contraindre tout contrevenant aux dispositions en la matière qui sanctionne les citoyens contrevenants, d'une amende, le but étant de réduire, un tant soit peu, la pollution de l'environnement. M «Il existe encore 3.000 décharges anarchiques sur une surface de 150.000 hectares au niveau national», a indiqué Mme Benhaddadi, chargée de la cellule de communication à l'Agence nationale des déchets (AND). Cette agence affirme qu'environ 8,5 millions de tonnes de déchets dont 1,5 million de déchets industriels sur tout le territoire national restent à traiter, relevant, par ailleurs, que la quantité de déchets ménagers produite quotidiennement est de 0,75 kg par individu dans les grandes villes, contre 0,50 kg dans les villes de moyenne densité. Ces déchets, constitués en grande partie de papier, de plastique (emballage et boîtes de conserves) ou de métal, représentent 760.000 tonnes par an pouvant être valorisées par un bénéfice financier de 3,5 milliards de dinars, d'après l'interlocutrice. Pour faire face à cette situation, l'AND qui a pour tâche de développer l'opération de la collecte, du transport, du traitement, de valorisation et de tri des déchets, a mis en place un système dénommé Eco-collecte pour permettre de réduire la densité de ces déchets, son influence sur l'environnement et pouvoir ainsi gérer ce phénomène. Le projet en question, ajoute la même source, dont la mise en œuvre avait été lancée à Annaba en coordination avec l'entreprise technique allemande (GTZ), concerne cinq villes pilotes dont Staouèli à Alger, Annaba, Tlemcen, Ghardaïa et Djelfa. Pour mener à bien ce projet, des moyens techniques modernes et développés, entre autres, des bennes pour la collecte et le tri des déchets, des moyens de transport ainsi que la construction de centre d'enfouissement technique, sont nécessaires, explique Mme Benhaddadi. Elle annonce, dans le même sens, la construction de 80 centres du genre au niveau national, dont 20 sont déjà opérationnels. Mme Benhaddadi insiste sur l'importance de l'application des lois en vigueur sur la gestion, la collecte, le tri et l'élimination des déchets ménagers pour contraindre tout contrevenant aux dispositions en la matière qui sanctionne les citoyens contrevenants, d'une amende, le but étant de réduire, un tant soit peu, la pollution de l'environnement. M