Une série d'attaques a frappé hier, plusieurs villes irakiennes faisant au total 25 morts et des dizaines de blessés en dépit de plusieurs mesures de sécurité prises en vue de sortir le pays du cycle des violences qui ont augmenté de nouveau depuis le mois de février après quelques mois d'apaisement. La capitale irakienne a été secouée hier, par un attentat à la voiture piégée garée dans le quartier Bab al-Mouazam, près d'un bâtiment appartenant au ministère du Travail coûtant la vie à 15 personnes et en blessant 35 autres, selon des responsables de sécurité. Dans la même journée, l'inspecteur général de la police de la province de Dhi Qar (sud), le colonel Qassem Obeid, a été tué en plein centre de Bassorah, dans le Sud de l'Irak, lorsque son convoi est tombé dans une embuscade tendue par des hommes armés qui dirigent fréquemment leurs attaques contre les forces de l'ordre. Ces attaques interviennent au lendemain de la mort de cinq personnes tuées dans l'explosion d'une bombe au passage de plusieurs voitures près de Baaqouba, au nord de Baghdad. Cet attentat a également fait 40 blessés. Par ailleurs, les corps de quatorze cadavres ligotés ont été découverts récemment dans une fosse commune près de la ville de Samarra dans le Nord de Baghdad, selon le commandement américain, qui a précisé que les victimes sont, «des membres des services de sécurité irakiens et des groupes paramilitaires» mobilisés par l'armée américaine pour combattre Al-Qaïda. Cette recrudescence des actes de violence en Irak a été enregistrée au moment où les forces de sécurité irakiennes ont lancé des opérations de recherche pour retrouver l'archevêque chaldéen de Mossoul enlevé vendredi dernier par des hommes armés dans cette ville du Nord de l'Irak. Une série d'attaques a frappé hier, plusieurs villes irakiennes faisant au total 25 morts et des dizaines de blessés en dépit de plusieurs mesures de sécurité prises en vue de sortir le pays du cycle des violences qui ont augmenté de nouveau depuis le mois de février après quelques mois d'apaisement. La capitale irakienne a été secouée hier, par un attentat à la voiture piégée garée dans le quartier Bab al-Mouazam, près d'un bâtiment appartenant au ministère du Travail coûtant la vie à 15 personnes et en blessant 35 autres, selon des responsables de sécurité. Dans la même journée, l'inspecteur général de la police de la province de Dhi Qar (sud), le colonel Qassem Obeid, a été tué en plein centre de Bassorah, dans le Sud de l'Irak, lorsque son convoi est tombé dans une embuscade tendue par des hommes armés qui dirigent fréquemment leurs attaques contre les forces de l'ordre. Ces attaques interviennent au lendemain de la mort de cinq personnes tuées dans l'explosion d'une bombe au passage de plusieurs voitures près de Baaqouba, au nord de Baghdad. Cet attentat a également fait 40 blessés. Par ailleurs, les corps de quatorze cadavres ligotés ont été découverts récemment dans une fosse commune près de la ville de Samarra dans le Nord de Baghdad, selon le commandement américain, qui a précisé que les victimes sont, «des membres des services de sécurité irakiens et des groupes paramilitaires» mobilisés par l'armée américaine pour combattre Al-Qaïda. Cette recrudescence des actes de violence en Irak a été enregistrée au moment où les forces de sécurité irakiennes ont lancé des opérations de recherche pour retrouver l'archevêque chaldéen de Mossoul enlevé vendredi dernier par des hommes armés dans cette ville du Nord de l'Irak.