En vue de sortir de l'impasse, les six pays chargés du dossier nucléaire iranien ont demandé la tenue d'une rencontre entre le haut représentant de l'Union européenne pour la diplomatie Javier Solana et le négociateur du nucléaire iranien Saïd Jalili, également secrétaire du Conseil national de sécurité iranien. En réaction au durcissement des sanctions à l'encontre de Téhéran, la Chine s'est dit prête à travailler avec toutes les parties pour contribuer à la «solution pacifique» du problème nucléaire iranien. L'ambassadeur chinois à l'Onu Wang Guangya, a assuré que «ces nouvelles mesures ne vont pas affecter les activités normales économiques et financières entre l'Iran et d'autres pays» soulignant que «toutes les mesures de sanction sont réversibles». Quant à la Russie, elle appelle «à de nouvelles approches dans les négociations avec l'Iran». Pour sa part, l'Indonésie estime que le moment «n'est pas opportun» pour frapper l'Iran de nouvelles sanctions, alors que le dernier rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (l'AIEA) sur le programme nucléaire de Téhéran fait état de progrés en matière de coopération entre les deux parties. Par ailleurs, les Etats-Unis qui figurent parmi les pays reprochant à Téhéran de vouloir se doter de l'arme nucléaire, se sont félicités de la résolution 1803 du Conseil de sécurité de l'Onu. Pour le Japon, s'exprimant par la voix de son chef de la diplomatie, Masahiko Komura, «tous les pays ont le droit d'utiliser le nucléaire à des fins pacifiques, mais cela ne peut être accompli qu'après avoir convaincu la communauté internationale» demandant ainsi à l'Iran d'agir en ce sens. En vue de sortir de l'impasse, les six pays chargés du dossier nucléaire iranien ont demandé la tenue d'une rencontre entre le haut représentant de l'Union européenne pour la diplomatie Javier Solana et le négociateur du nucléaire iranien Saïd Jalili, également secrétaire du Conseil national de sécurité iranien. En réaction au durcissement des sanctions à l'encontre de Téhéran, la Chine s'est dit prête à travailler avec toutes les parties pour contribuer à la «solution pacifique» du problème nucléaire iranien. L'ambassadeur chinois à l'Onu Wang Guangya, a assuré que «ces nouvelles mesures ne vont pas affecter les activités normales économiques et financières entre l'Iran et d'autres pays» soulignant que «toutes les mesures de sanction sont réversibles». Quant à la Russie, elle appelle «à de nouvelles approches dans les négociations avec l'Iran». Pour sa part, l'Indonésie estime que le moment «n'est pas opportun» pour frapper l'Iran de nouvelles sanctions, alors que le dernier rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (l'AIEA) sur le programme nucléaire de Téhéran fait état de progrés en matière de coopération entre les deux parties. Par ailleurs, les Etats-Unis qui figurent parmi les pays reprochant à Téhéran de vouloir se doter de l'arme nucléaire, se sont félicités de la résolution 1803 du Conseil de sécurité de l'Onu. Pour le Japon, s'exprimant par la voix de son chef de la diplomatie, Masahiko Komura, «tous les pays ont le droit d'utiliser le nucléaire à des fins pacifiques, mais cela ne peut être accompli qu'après avoir convaincu la communauté internationale» demandant ainsi à l'Iran d'agir en ce sens.