Après avoir pris leur mal en patience pendant des mois, les travailleurs des résidences universitaires de l'université d'Alger, affiliés à l'UGTA, ont décidé de passer à l'action. Ils comptent organiser une grève de trois jours, prévue pour les 1er, 2 et 3 avril prochain, afin d'exprimer leur ras-le-bol devant le laisser-aller et le laxisme affiché à leur égard par l'Office national des œuvres universitaires (ONOU), affirment des syndicalistes, contactés par nos soins. A ce propos, l'on apprend que cette grève de trois jours n'a été décidée, selon certains délégués syndicaux, que suite à l'échec des pourparlers, entamés dimanche dernier, avec le directeur général de l'ONOU, M. Salah Belouessif, fraîchement installé par la tutelle. Les pourparlers se sont concentrés autour d'une plate-forme de revendications, soulevant, entre autre, les conditions dont lesquelles évolue l'ensemble des travailleurs au sein des résidences universitaires, le non-paiement des salaires des vacataires depuis trois mois et également des services assurés durant les Jeux africains, organisés par l'Algérie l'été dernier, en plus du blocage des postes budgétaires au niveau de la tutelle et la décision du DG de l'ONOU ordonnant l'évacuation des travailleurs résidant en famille à l'intérieur des résidences universitaires. Pour rappel, les sections syndicales, affiliées à l'UGTA dans les deux directions régionales du Centre, à savoir les régions sud et centre d'Alger, ont observé mercredi dernier une grève générale, suivie d'un rassemblement devant l'ONOU, au cours duquel une copie de la plate-forme de revendication a été remise au DG et une autre adressée au ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Par ailleurs, selon une source proche de la direction générale de l'ONOU, l'on apprend que l'accumulation des problèmes enregistrés par les employés du secteur en question est due, en premier lieu, aux dysfonctionnements administratifs que connaît le secteur des œuvres universitaires. Après avoir pris leur mal en patience pendant des mois, les travailleurs des résidences universitaires de l'université d'Alger, affiliés à l'UGTA, ont décidé de passer à l'action. Ils comptent organiser une grève de trois jours, prévue pour les 1er, 2 et 3 avril prochain, afin d'exprimer leur ras-le-bol devant le laisser-aller et le laxisme affiché à leur égard par l'Office national des œuvres universitaires (ONOU), affirment des syndicalistes, contactés par nos soins. A ce propos, l'on apprend que cette grève de trois jours n'a été décidée, selon certains délégués syndicaux, que suite à l'échec des pourparlers, entamés dimanche dernier, avec le directeur général de l'ONOU, M. Salah Belouessif, fraîchement installé par la tutelle. Les pourparlers se sont concentrés autour d'une plate-forme de revendications, soulevant, entre autre, les conditions dont lesquelles évolue l'ensemble des travailleurs au sein des résidences universitaires, le non-paiement des salaires des vacataires depuis trois mois et également des services assurés durant les Jeux africains, organisés par l'Algérie l'été dernier, en plus du blocage des postes budgétaires au niveau de la tutelle et la décision du DG de l'ONOU ordonnant l'évacuation des travailleurs résidant en famille à l'intérieur des résidences universitaires. Pour rappel, les sections syndicales, affiliées à l'UGTA dans les deux directions régionales du Centre, à savoir les régions sud et centre d'Alger, ont observé mercredi dernier une grève générale, suivie d'un rassemblement devant l'ONOU, au cours duquel une copie de la plate-forme de revendication a été remise au DG et une autre adressée au ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Par ailleurs, selon une source proche de la direction générale de l'ONOU, l'on apprend que l'accumulation des problèmes enregistrés par les employés du secteur en question est due, en premier lieu, aux dysfonctionnements administratifs que connaît le secteur des œuvres universitaires.