Environ 25.000 cas de trisomie 21 sont recensés en Algérie, selon le ministre de la Solidarité. «Le nombre des trisomiques avoisine les 25.000 en Algérie, et chaque année on enregistre près de 6.000 naissances vivantes de bébés trisomiques", a-t-il précisé hier, lors d'une rencontre d'information et de sensibilisation sur la trisomie 21. La rencontre, qui a regroupé 120 participants dont des psychologues, des psychopédagogues, orthophonistes, représentants d'associations et parents de trisomiques, a pour but de permettre une meilleure visibilité sur les préoccupations qui caractérisent les personnes atteintes par le syndrome de Down, ont indiqué les organisateurs. Trois ateliers ont été organisés, le premier a porté sur le dépistage précoce et la prise en charge préscolaire, le deuxième sur l'évaluation de la prise en charge institutionnelle des trisomiques et le troisième a concerné l'insertion socioprofessionnelle des trisomiques. 2.500 enfants trisomiques sont, d'après M. Ould Abbès, pris en charge dans 92 centres médico-pédagogiques pour inadaptés mentaux ainsi que plus de 1.200 autres qui sont dans des centres gérés par le mouvement associatif. «Nous avons très peu de données qualitatives chiffrées sur la trisomie en Algérie. A cet effet, une enquête nationale sur l'état exhaustif de l'ensemble des handicapés sera lancée cette année", a affirmé le ministre. Ajoutant que l'espérance de vie d'un enfant trisomique a augmenté, il précisera, par ailleurs, que les personnes atteintes de trisomie 21 arrivent, actuellement, à vivre jusqu'à l'âge de 60 ans, tandis qu'elles ne dépassaient pas les 20 ans durant les années 50. Il soulignera, entre autres, que le nombre de personnes atteintes par ce syndrome est de huit millions dans le monde. Un large programme, annoncé par le ministre, sera lancé dans les jours à venir afin de mettre en place une stratégie de prise en charge de cette frange de la société. Abordant la probabilité d'avoir un enfant trisomique, les spécialistes expliqueront qu'elle s'accroît avec l'âge de la mère. «Un trisomique peut être enregistré sur 2.000 naissances pour les mères âgées de 20 ans, 1 sur 400 pour celles âgées de 38 ans et 1 sur 100 pour celles âgées de 40 ans » indiquent-ils. Pour rappel, ces enfants, trisomiques étaient appelés «mongoliens», reconnus comme étant «victimes du syndrome de Down». La trisomie est principalement due à une irrégularité chromosomique, pouvant se produire dans n'importe quelle grossesse, en particulier chez les femmes avoisinant les 40 ans, affirment les spécialistes. Environ 25.000 cas de trisomie 21 sont recensés en Algérie, selon le ministre de la Solidarité. «Le nombre des trisomiques avoisine les 25.000 en Algérie, et chaque année on enregistre près de 6.000 naissances vivantes de bébés trisomiques", a-t-il précisé hier, lors d'une rencontre d'information et de sensibilisation sur la trisomie 21. La rencontre, qui a regroupé 120 participants dont des psychologues, des psychopédagogues, orthophonistes, représentants d'associations et parents de trisomiques, a pour but de permettre une meilleure visibilité sur les préoccupations qui caractérisent les personnes atteintes par le syndrome de Down, ont indiqué les organisateurs. Trois ateliers ont été organisés, le premier a porté sur le dépistage précoce et la prise en charge préscolaire, le deuxième sur l'évaluation de la prise en charge institutionnelle des trisomiques et le troisième a concerné l'insertion socioprofessionnelle des trisomiques. 2.500 enfants trisomiques sont, d'après M. Ould Abbès, pris en charge dans 92 centres médico-pédagogiques pour inadaptés mentaux ainsi que plus de 1.200 autres qui sont dans des centres gérés par le mouvement associatif. «Nous avons très peu de données qualitatives chiffrées sur la trisomie en Algérie. A cet effet, une enquête nationale sur l'état exhaustif de l'ensemble des handicapés sera lancée cette année", a affirmé le ministre. Ajoutant que l'espérance de vie d'un enfant trisomique a augmenté, il précisera, par ailleurs, que les personnes atteintes de trisomie 21 arrivent, actuellement, à vivre jusqu'à l'âge de 60 ans, tandis qu'elles ne dépassaient pas les 20 ans durant les années 50. Il soulignera, entre autres, que le nombre de personnes atteintes par ce syndrome est de huit millions dans le monde. Un large programme, annoncé par le ministre, sera lancé dans les jours à venir afin de mettre en place une stratégie de prise en charge de cette frange de la société. Abordant la probabilité d'avoir un enfant trisomique, les spécialistes expliqueront qu'elle s'accroît avec l'âge de la mère. «Un trisomique peut être enregistré sur 2.000 naissances pour les mères âgées de 20 ans, 1 sur 400 pour celles âgées de 38 ans et 1 sur 100 pour celles âgées de 40 ans » indiquent-ils. Pour rappel, ces enfants, trisomiques étaient appelés «mongoliens», reconnus comme étant «victimes du syndrome de Down». La trisomie est principalement due à une irrégularité chromosomique, pouvant se produire dans n'importe quelle grossesse, en particulier chez les femmes avoisinant les 40 ans, affirment les spécialistes.