S'achemine-t-on vers le soutien du Mouvement pour la société de la paix (MSP) de Bouguerra Soltani au projet de révision de la Constitution et à un 3e mandat au président de la République, Abdelaziz Bouteflika ? Tout porte à le croire, selon les déclarations du porte-parole du MSP qui nous a affirmé, hier, au cours d'un bref entretien téléphonique, que «le MSP à une appréciation positive sur le mandat passé et actuel du chef de l'Etat», citant la réduction à un seuil très acceptable de la dette extérieure du pays, le programme de développement initié par le président de la République d'une valeur de 150 milliards de dollars, la réconciliation nationale qui est un gage au retour de la paix et de la stabilité à travers l'ensemble du territoire national. Le responsable du MSP estime que cette démarche « obéit à une logique instaurée depuis 1994 par le MSP, date où le parti a contacté une première alliance avec le pouvoir en rejoignant le CNT (Conseil national de transition) avec 5 membres ». Toutefois, évanescent de livrer le fond de sa pensée, le porte-parole de la formation politique de Bouguerra Soltani souligne que son parti « attend de voir pour se prononcer sur pièces», du moment que «le projet de révision de la Constitution va concerner, à se fier à des informations qui circulent, plusieurs articles». Concernant la mouture de projet de révision de la Constitution que le FLN a élaborée et transmise pour appréciation au président de la République, Mohamed Djemmaa déclaré a qu' «on entend cela depuis plus de deux ans et ce n'est qu'un point de vue du partenaire de l'Alliance présidentielle», soulignant que «seul le chef de l'Etat ou les trois quarts des deux Chambres du Parlement ont les prérogatives d'amender la Constitution par voie parlementaire ou par référendum». Concernant la position du parti par rapport à cette question, le responsable du MSP affirme que «l'instance habilitée à trancher est le Majliss Ech Chourra », notant que «si le président de la République se prononce dans les jours qui viennent sur le sujet, le MSP réunira son instance en session extraordinaire pour prendre position sur cette délicate question qui intéresse toute la vie du pays ». Revenant aux préparatifs du Congrès national du parti qui doit se tenir les 29, 30 avril et le 1er mai et qui réunira quelque 1.400 congressistes, désignés au prorata de la densité des militants pour chaque wilaya, le porte-parole du MSP souligne que «c'est en bonne voie» et que le parti sera prêt au jour J, niant par ailleurs que des divergences sont apparues entre les principaux responsables du parti sur les grandes questions de l'heure. «En vérité, ce sont des problèmes internes au parti», déclare-t-il, précisant que «Bouguerra Soltani et Abdelmadjid Menasra sont en compétition ou en concurrence pour le poste de président du Mouvement». Et c'est de bonne guerre, selon lui. S'achemine-t-on vers le soutien du Mouvement pour la société de la paix (MSP) de Bouguerra Soltani au projet de révision de la Constitution et à un 3e mandat au président de la République, Abdelaziz Bouteflika ? Tout porte à le croire, selon les déclarations du porte-parole du MSP qui nous a affirmé, hier, au cours d'un bref entretien téléphonique, que «le MSP à une appréciation positive sur le mandat passé et actuel du chef de l'Etat», citant la réduction à un seuil très acceptable de la dette extérieure du pays, le programme de développement initié par le président de la République d'une valeur de 150 milliards de dollars, la réconciliation nationale qui est un gage au retour de la paix et de la stabilité à travers l'ensemble du territoire national. Le responsable du MSP estime que cette démarche « obéit à une logique instaurée depuis 1994 par le MSP, date où le parti a contacté une première alliance avec le pouvoir en rejoignant le CNT (Conseil national de transition) avec 5 membres ». Toutefois, évanescent de livrer le fond de sa pensée, le porte-parole de la formation politique de Bouguerra Soltani souligne que son parti « attend de voir pour se prononcer sur pièces», du moment que «le projet de révision de la Constitution va concerner, à se fier à des informations qui circulent, plusieurs articles». Concernant la mouture de projet de révision de la Constitution que le FLN a élaborée et transmise pour appréciation au président de la République, Mohamed Djemmaa déclaré a qu' «on entend cela depuis plus de deux ans et ce n'est qu'un point de vue du partenaire de l'Alliance présidentielle», soulignant que «seul le chef de l'Etat ou les trois quarts des deux Chambres du Parlement ont les prérogatives d'amender la Constitution par voie parlementaire ou par référendum». Concernant la position du parti par rapport à cette question, le responsable du MSP affirme que «l'instance habilitée à trancher est le Majliss Ech Chourra », notant que «si le président de la République se prononce dans les jours qui viennent sur le sujet, le MSP réunira son instance en session extraordinaire pour prendre position sur cette délicate question qui intéresse toute la vie du pays ». Revenant aux préparatifs du Congrès national du parti qui doit se tenir les 29, 30 avril et le 1er mai et qui réunira quelque 1.400 congressistes, désignés au prorata de la densité des militants pour chaque wilaya, le porte-parole du MSP souligne que «c'est en bonne voie» et que le parti sera prêt au jour J, niant par ailleurs que des divergences sont apparues entre les principaux responsables du parti sur les grandes questions de l'heure. «En vérité, ce sont des problèmes internes au parti», déclare-t-il, précisant que «Bouguerra Soltani et Abdelmadjid Menasra sont en compétition ou en concurrence pour le poste de président du Mouvement». Et c'est de bonne guerre, selon lui.