La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, poursuit son périple à travers le territoire national dans le cadre des activités ordinaires de sa formation politique. Jeudi, elle était à Jijel où elle a animé un meeting devant un nombreux public composé de militants et de sympathisants adhérents à son parti. En préambule, actualité locale oblige, Louisa Hanoune a fait part de sa satisfaction quant à la décision prise par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales d'éponger les dettes des communes. A l'entame de leurs mandats, les édiles locaux ne traineront plus les casseroles laissées par leurs prédécesseurs et orienteront leurs efforts sur les préoccupations immédiates de leurs populations qui les a élus. Les dettes accumulées au fil des années ne seront plus donc un goulet d'étranglement pour les ressources, déjà bien faibles pour bon nombre de communes enclavées ou déficitaires. La première responsable du PT a par la suite longuement abordé la situation sociale et tout ce qui touche de près ou de loin la vie quotidienne des citoyens, notamment le cadre de vie, le pouvoir d'achat, les fléaux sociaux qui se propagent dangereusement tels que la criminalité, la drogue, la hausse des prix des produits alimentaires et des matériaux de construction. Profitant de l'opportunité que lui offre cette rencontre avec ses partisans, Louisa Hanoune revient sur la date symbole du 8 mars, journée internationale de la femme et indique que c'est «un moment propice pour évaluer ce qui a été fait en faveur des femmes», à la lumière de la législation nationale, notamment le code de la famille et celui de la nationalité, soulignant que «beaucoup reste à faire pour que la femme puisse prétendre occuper la place qui lui revient» Abordant la situation sociale, la secrétaire générale du PT s'est élevée une nouvelle fois contre «le bradage et la fermeture des entreprises nationales performantes créatrices de richesses» que rien ne justifie, signalant que «l'embellie financière du pays atteinte grâce aux recettes des hydrocarbures nous permet de nous passer du bradage et la privatisation des entreprises nationales.» Elle affirme dans ce cadre que l'Etat devrait «recouvrer sa mission et sa fonction de contrôle». Trouvant des vertus au programme de soutien à la relance économique, initié par le président de la République, la secrétaire générale du PT plaide néanmoins pour un «développement conséquent du tissu industriel et du secteur agricole pour répondre à la demande nationale». L'actualité internationale a été également le thème sur lequel elle s'est attardée et l'accent a été mis sur les conflits et les tensions persistants dans de nombreux points du globe, fustigeant certaines puissances étrangères qui en sont à l'origine., La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, poursuit son périple à travers le territoire national dans le cadre des activités ordinaires de sa formation politique. Jeudi, elle était à Jijel où elle a animé un meeting devant un nombreux public composé de militants et de sympathisants adhérents à son parti. En préambule, actualité locale oblige, Louisa Hanoune a fait part de sa satisfaction quant à la décision prise par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales d'éponger les dettes des communes. A l'entame de leurs mandats, les édiles locaux ne traineront plus les casseroles laissées par leurs prédécesseurs et orienteront leurs efforts sur les préoccupations immédiates de leurs populations qui les a élus. Les dettes accumulées au fil des années ne seront plus donc un goulet d'étranglement pour les ressources, déjà bien faibles pour bon nombre de communes enclavées ou déficitaires. La première responsable du PT a par la suite longuement abordé la situation sociale et tout ce qui touche de près ou de loin la vie quotidienne des citoyens, notamment le cadre de vie, le pouvoir d'achat, les fléaux sociaux qui se propagent dangereusement tels que la criminalité, la drogue, la hausse des prix des produits alimentaires et des matériaux de construction. Profitant de l'opportunité que lui offre cette rencontre avec ses partisans, Louisa Hanoune revient sur la date symbole du 8 mars, journée internationale de la femme et indique que c'est «un moment propice pour évaluer ce qui a été fait en faveur des femmes», à la lumière de la législation nationale, notamment le code de la famille et celui de la nationalité, soulignant que «beaucoup reste à faire pour que la femme puisse prétendre occuper la place qui lui revient» Abordant la situation sociale, la secrétaire générale du PT s'est élevée une nouvelle fois contre «le bradage et la fermeture des entreprises nationales performantes créatrices de richesses» que rien ne justifie, signalant que «l'embellie financière du pays atteinte grâce aux recettes des hydrocarbures nous permet de nous passer du bradage et la privatisation des entreprises nationales.» Elle affirme dans ce cadre que l'Etat devrait «recouvrer sa mission et sa fonction de contrôle». Trouvant des vertus au programme de soutien à la relance économique, initié par le président de la République, la secrétaire générale du PT plaide néanmoins pour un «développement conséquent du tissu industriel et du secteur agricole pour répondre à la demande nationale». L'actualité internationale a été également le thème sur lequel elle s'est attardée et l'accent a été mis sur les conflits et les tensions persistants dans de nombreux points du globe, fustigeant certaines puissances étrangères qui en sont à l'origine.,