Aux yeux de Tounsi, l'aide apportée par les citoyens aux forces de sécurité est une preuve du changement du regard porté par la société sur la police et de la réussite des réformes structurelles apportées à ce corps de sécurité. Aux yeux de Tounsi, l'aide apportée par les citoyens aux forces de sécurité est une preuve du changement du regard porté par la société sur la police et de la réussite des réformes structurelles apportées à ce corps de sécurité. Selon le directeur général de la Sûreté nationale, la situation sécuritaire s'est considérablement améliorée. Outre les efforts des services de sécurité, les succès remportés sur le terrorisme sont obtenus, a-t-il dit, grâce aux informations fournies par les citoyens. Aux yeux de Tounsi, l'aide apportée par les citoyens aux forces de sécurité est une preuve du changement du regard porté par la société sur la police et de la réussite des réformes structurelles apportées à ce corps de sécurité, perçu par le passé comme une force au service de la répression. Et de s'attarder longuement sur les « bienfaits » de la police de proximité qui « commence à donner ses fruits ». Réussite due à l'« engouement » de la population qui exige, a-t-il dit, la présence des institutions de police dans les quartiers. « Nous avons constaté lors des derniers attentats terroristes qui ont eu lieu dans la capitale que les citoyens se sont précipités dans les commissariats pour nous demander ce qu'ils peuvent faire pour nous aider », a relevé le DG de la Sûreté nationale. Il a qualifié cet acte d'« élan populaire antiterroriste spontané ». Pour Tounsi, la confiance qui s'est tissée entre le citoyen et les policiers atteste aussi que «la police a réussi sa révolution interne et qu'elle est au service exclusif du citoyen qui est la base de la sécurité». Et au titre des réformes engagées pour moderniser les services de la police, il a signalé, entre autres, une profonde réadaptation des formations basées sur le respect des droits du citoyen, la réorganisation du corps sur le terrain, la création de la police de proximité, l'intensification du travail de contrôle, du travail des policiers et l'adoption d'un nouveau système de sanctions. Les effectifs de la police, estimés actuellement à 140.000, suffisent-ils pour assurer la sécurité des citoyens ? Le DGSN pense que ce n'est pas assez. Et de citer le nombre de 23.000 policiers qui exercent dans la capitale. « Notre objectif est d'en atteindre 40.000 ». La concrétisation de cet objectif s'inscrit dans le cadre du déploiement de la DGSN visant à doter toutes les daïras de structures sécuritaires, « dans le souci de sécuriser les biens et les personnes à travers l'ensemble du pays", a encore indiqué Tounsi. Lui emboîtant le pas, un cadre de la police a indiqué, dans ce contexte, que « l'Algérie n'a pas encore atteint les normes internationales dans le domaine de la couverture sécuritaire. Elle est de l'ordre, actuellement, d'un policier pour 413 citoyens, alors que les normes internationales prévoient un policier pour 300 citoyens », a-t-il précisé. « La couverture sécuritaire à titre d'exemple à Alger est d'un policier pour 283 citoyens, à Mostaganem elle est d'un policier pour 600 citoyens », a-t-il indiqué, précisant que l'inauguration des sûretés de daïra et urbaines a pour objectif, entre autres, d'atteindre les normes internationales en matière sécuritaire, en augmentant le nombre de policiers, et en se rapprochant du citoyen par le biais de la police de proximité. Rappelant que l'objectif de la DGSN est d'arriver à 200.000 policiers d'ici fin 2009, la même source a indiqué que « 70% des daïras ont été couvertes ». Selon le directeur général de la Sûreté nationale, la situation sécuritaire s'est considérablement améliorée. Outre les efforts des services de sécurité, les succès remportés sur le terrorisme sont obtenus, a-t-il dit, grâce aux informations fournies par les citoyens. Aux yeux de Tounsi, l'aide apportée par les citoyens aux forces de sécurité est une preuve du changement du regard porté par la société sur la police et de la réussite des réformes structurelles apportées à ce corps de sécurité, perçu par le passé comme une force au service de la répression. Et de s'attarder longuement sur les « bienfaits » de la police de proximité qui « commence à donner ses fruits ». Réussite due à l'« engouement » de la population qui exige, a-t-il dit, la présence des institutions de police dans les quartiers. « Nous avons constaté lors des derniers attentats terroristes qui ont eu lieu dans la capitale que les citoyens se sont précipités dans les commissariats pour nous demander ce qu'ils peuvent faire pour nous aider », a relevé le DG de la Sûreté nationale. Il a qualifié cet acte d'« élan populaire antiterroriste spontané ». Pour Tounsi, la confiance qui s'est tissée entre le citoyen et les policiers atteste aussi que «la police a réussi sa révolution interne et qu'elle est au service exclusif du citoyen qui est la base de la sécurité». Et au titre des réformes engagées pour moderniser les services de la police, il a signalé, entre autres, une profonde réadaptation des formations basées sur le respect des droits du citoyen, la réorganisation du corps sur le terrain, la création de la police de proximité, l'intensification du travail de contrôle, du travail des policiers et l'adoption d'un nouveau système de sanctions. Les effectifs de la police, estimés actuellement à 140.000, suffisent-ils pour assurer la sécurité des citoyens ? Le DGSN pense que ce n'est pas assez. Et de citer le nombre de 23.000 policiers qui exercent dans la capitale. « Notre objectif est d'en atteindre 40.000 ». La concrétisation de cet objectif s'inscrit dans le cadre du déploiement de la DGSN visant à doter toutes les daïras de structures sécuritaires, « dans le souci de sécuriser les biens et les personnes à travers l'ensemble du pays", a encore indiqué Tounsi. Lui emboîtant le pas, un cadre de la police a indiqué, dans ce contexte, que « l'Algérie n'a pas encore atteint les normes internationales dans le domaine de la couverture sécuritaire. Elle est de l'ordre, actuellement, d'un policier pour 413 citoyens, alors que les normes internationales prévoient un policier pour 300 citoyens », a-t-il précisé. « La couverture sécuritaire à titre d'exemple à Alger est d'un policier pour 283 citoyens, à Mostaganem elle est d'un policier pour 600 citoyens », a-t-il indiqué, précisant que l'inauguration des sûretés de daïra et urbaines a pour objectif, entre autres, d'atteindre les normes internationales en matière sécuritaire, en augmentant le nombre de policiers, et en se rapprochant du citoyen par le biais de la police de proximité. Rappelant que l'objectif de la DGSN est d'arriver à 200.000 policiers d'ici fin 2009, la même source a indiqué que « 70% des daïras ont été couvertes ».