Les opérations de pompage des eaux du barrage de Beni-Haroun via la station géante du Douar El Bidi, dans la wilaya de Mila, vers le barrage-réservoir de Oued El Athmania, ont repris, vendredi soir, et ce à titre d'essai, a-t- on appris samedi dernier auprès de la direction de l'hydraulique de la wilaya de Mila. Cette opération de pompage intervient, note-t-on, aprés l'achèvement des travaux de réparation des fuites enregistrées sur un périmètre de 6 km au niveau du tunnel de «Djebel Lakehal », sis entre Ain Ettine et le barrage-réservoir. A ce titre, il est à signaler que les travaux de réparation ont été confiés à des experts étrangers, et ce suivant les directives du président de la République. A ce propos, il est à noter que lors de la visite de travail et d'inspection du chef de l'Etat sur le site, et ayant relevé des insuffisances dans la réalisation du barrage, le Président a instruit les responsables de ce projet de tout mettre en œuvre pour mettre un terme aux insuffisances signalées, en faisant appel à des entreprises internationales expertes en la matière. Selon les même sources, cette reprise des opérations de pompage permettra, à coup sûr, le remplissage du barrage-réservoir qui est d'une capacité de 33 millions de metres cubes. D'autre part, il est à noter, selon les mêmes sources, que l'opération de pompage permettra, également, la remise en service de la station de traitement des eaux de Oued El Athmania qui assure l'alimentation en eau potable des agglomérations de Constantine et du sud de la wilaya de Mila. Par ailleurs, il convient de signaler que le barrage Beni-Haroun est considéré, signale-t-on, comme l'un des plus grands projets réalisés à ce jour au le plan national. Ce fleuron national, est situé au cœur d'un grand complexe hydraulique et il est conçu en BCR (Béton compact roulé), une nouvelle technique de réalisation des barrages mise au point en 1980. Dans le même registre, il est à souligner que sur le plan technique, le barrage atteint les 120 m de hauteur à partir de la fondation, une longueur de 710 m en crête avec une capacité de retenue normale de 960 millions de m3 l'an. Son bassin versant est estimé à 7.725 km2 et sera d'un apport annuel moyen d'environ 730 m3/an avec un volume régularisé de 435 millions de m3/an. Ce site stratégique, dont le coût avoisine les 3 milliards de dollars, est un atout maître pour le Constantinois et les Aurès, dans la mesure où les infrastructures complémentaires programmées dans une perspective à venir, prolongeront leurs tentacules vers les wilayas de Mila, Constantine, Jijel, Oum El Bouaghi, Batna et Khenchela, appelant ainsi d'autres projets. A cet effet, la station de pompage de Beni-Haroun constituera, prochainement, selon les responsables du site, le premier maillon du transfert de Beni-Haroun vers les autres régions du pays. Les opérations de pompage des eaux du barrage de Beni-Haroun via la station géante du Douar El Bidi, dans la wilaya de Mila, vers le barrage-réservoir de Oued El Athmania, ont repris, vendredi soir, et ce à titre d'essai, a-t- on appris samedi dernier auprès de la direction de l'hydraulique de la wilaya de Mila. Cette opération de pompage intervient, note-t-on, aprés l'achèvement des travaux de réparation des fuites enregistrées sur un périmètre de 6 km au niveau du tunnel de «Djebel Lakehal », sis entre Ain Ettine et le barrage-réservoir. A ce titre, il est à signaler que les travaux de réparation ont été confiés à des experts étrangers, et ce suivant les directives du président de la République. A ce propos, il est à noter que lors de la visite de travail et d'inspection du chef de l'Etat sur le site, et ayant relevé des insuffisances dans la réalisation du barrage, le Président a instruit les responsables de ce projet de tout mettre en œuvre pour mettre un terme aux insuffisances signalées, en faisant appel à des entreprises internationales expertes en la matière. Selon les même sources, cette reprise des opérations de pompage permettra, à coup sûr, le remplissage du barrage-réservoir qui est d'une capacité de 33 millions de metres cubes. D'autre part, il est à noter, selon les mêmes sources, que l'opération de pompage permettra, également, la remise en service de la station de traitement des eaux de Oued El Athmania qui assure l'alimentation en eau potable des agglomérations de Constantine et du sud de la wilaya de Mila. Par ailleurs, il convient de signaler que le barrage Beni-Haroun est considéré, signale-t-on, comme l'un des plus grands projets réalisés à ce jour au le plan national. Ce fleuron national, est situé au cœur d'un grand complexe hydraulique et il est conçu en BCR (Béton compact roulé), une nouvelle technique de réalisation des barrages mise au point en 1980. Dans le même registre, il est à souligner que sur le plan technique, le barrage atteint les 120 m de hauteur à partir de la fondation, une longueur de 710 m en crête avec une capacité de retenue normale de 960 millions de m3 l'an. Son bassin versant est estimé à 7.725 km2 et sera d'un apport annuel moyen d'environ 730 m3/an avec un volume régularisé de 435 millions de m3/an. Ce site stratégique, dont le coût avoisine les 3 milliards de dollars, est un atout maître pour le Constantinois et les Aurès, dans la mesure où les infrastructures complémentaires programmées dans une perspective à venir, prolongeront leurs tentacules vers les wilayas de Mila, Constantine, Jijel, Oum El Bouaghi, Batna et Khenchela, appelant ainsi d'autres projets. A cet effet, la station de pompage de Beni-Haroun constituera, prochainement, selon les responsables du site, le premier maillon du transfert de Beni-Haroun vers les autres régions du pays.