Les travaux de la 9è session de la commission mixte de coopération algéro-nigérienne ont débuté, hier, à Niamey sous la présidence du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et son homologue du Niger, Mme Aichatou Mindaourou. Cette session qui intervient après la tenue de la 2è session du comité bilatéral frontalier en avril 2006 à Tamanrasset, "traduit à nouveau la volonté des gouvernements des deux pays à redynamiser les mécanismes de la coopération bilatérale", selon les termes du communiqué rendu public par le ministère des Affaires étrangères. Lors de cette session, il sera également procédé à la signature de plusieurs accords en vue d'enrichir davantage le cadre législatif régissant cette coopération. Les deux parties devront examiner la situation sécuritaire, notamment la stabilité dans la région du Sahel. Ceci d'autant que le Niger est confronté à un mouvement de rébellion déclenché par le "Mouvement du Niger pour la justice" qui menace de déstabiliser la région. Cette session devrait, en outre, "ouvrir de nouvelles perspectives aux relations entre les deux pays frères", comme l'a si bien souligné le département de M. Medelci, afin de donner un "saut qualitatif" à ces relations et traduire, dans les faits, "le souci affiché de part et d'autres par les Présidents Abdelaziz Bouteflika et Mamadou Tandja" pour que la coopération bilatérale soit à la hauteur des aspirations des deux peuples algérien et nigérien. Les travaux de la 9è session de la commission mixte de coopération algéro-nigérienne ont débuté, hier, à Niamey sous la présidence du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et son homologue du Niger, Mme Aichatou Mindaourou. Cette session qui intervient après la tenue de la 2è session du comité bilatéral frontalier en avril 2006 à Tamanrasset, "traduit à nouveau la volonté des gouvernements des deux pays à redynamiser les mécanismes de la coopération bilatérale", selon les termes du communiqué rendu public par le ministère des Affaires étrangères. Lors de cette session, il sera également procédé à la signature de plusieurs accords en vue d'enrichir davantage le cadre législatif régissant cette coopération. Les deux parties devront examiner la situation sécuritaire, notamment la stabilité dans la région du Sahel. Ceci d'autant que le Niger est confronté à un mouvement de rébellion déclenché par le "Mouvement du Niger pour la justice" qui menace de déstabiliser la région. Cette session devrait, en outre, "ouvrir de nouvelles perspectives aux relations entre les deux pays frères", comme l'a si bien souligné le département de M. Medelci, afin de donner un "saut qualitatif" à ces relations et traduire, dans les faits, "le souci affiché de part et d'autres par les Présidents Abdelaziz Bouteflika et Mamadou Tandja" pour que la coopération bilatérale soit à la hauteur des aspirations des deux peuples algérien et nigérien.