Patrons et syndicalistes restent optimistes sur la portée et les objectifs du pacte économique et social. Un début d'application par le gouvernement rassure, en effet, les partenaires sociaux pour la prise en charge des dossiers prioritaires. Aux dernières nouvelles, la feuille de route du pacte économique et social est bien tracée. Le gouvernement a pris des engagements fermes pour consolider la flexibilité de l'emploi, la mise à niveau de l'économie, l'appui aux entreprises pour être compétitives et surtout la baisse des charges fiscales des entreprises pour booster l'emploi. Dans une déclaration au Midi Libre, Mohand Saïd Nait Abdelaziz, président du CNPA, souligne que « le gouvernement reste toujours à l'écoute du patronat pour appliquer certaines de ses propositions dont celle qui touche à l'éradication des marchés informels, la baisse des charges fiscales pour plus de création d'emplois ». Le président du CNPA, sur un ton optimiste, nous rassure que « le comité technique de suivi sous les auspices du gouvernement est en train de travailler sur les différents dossiers en attendant de procéder à une évaluation prochaine ». Il faut savoir que ce comité de suivi que le ministre du Travail préside actuellement se penche sur le dossier de l'emploi à travers une série de mesures qu'il compte mettre au point dans le cadre du nouveau code du travail. Dans ce chapitre, il y a lieu de citer les mesures incitatives pour la création d'emplois dans différents secteurs, la flexibilité et le réaménagement des postes d'emplois dans certaines branches d'activités industrielles et la mise en place d'une nouvelle grille de rémunération sous forme de mesures d'accompagnement pour les jeunes universitaires diplômés. Sur le front social, le plus important pour les partenaires est « de procéder à un dialogue social dans un climat de sérénité sans turbulence », affirme Nait Abdelaziz. C'est également le point de vue de la Centrale syndicale qui, selon une source proche, « trouve dans le pacte économique et social une raison pour une passerelle avec les pouvoirs publics autour de certaines priorités ». A rappeler que l'UGTA a toujours considéré dans ce sens « l'importance de l'amélioration des conditions socioprofessionnelles des travailleurs, la revalorisation des salaires et l'amélioration du pouvoir d'achat des catégories les plus démunies ». L'UGTA exige en outre la création d'un outil de statistiques moderne et efficace sous forme d'une institution viable et indépendante. Ensuite, il y a l'autre exigence de « réhabiliter la commission générale de planification et de prospection en la dotant de moyens matériels et humains pour la réussite de ses missions ». La Centrale ne badine pas également avec le maintien du service public qui reste l'une de ses recommandations essentielles. Côté patronat, le pacte économique et social doit favoriser d'avantage « d'ouverture du monde de l'entreprise vers l'efficacité entrepreneuriale et sa mise à niveau ». Boualem M'rakech de la Confédération nationale du patronat (CAP) appuie l'idée «de créer une instance permanente de suivi des travaux de la tripartite». Le président de la CAP considère qu'«il faut lever tous les obstacles sur le secteur privé». Un point où tout le patronat semble d'accord, d'autant que ce secteur reste le mieux placé en termes de croissance et de création d'emplois. Il est à signaler que le CNES s'est également intéressé par le passé dans une analyse sur le pacte économique et social. Dans un document qui remonte à 2003, il souligne le caractère impérieux «de mettre l'entreprise, la qualification de l'emploi et la mise à niveau de l'outil de production en conformité avec l'évolution du cadre mondial des changements». En termes réels, le pacte économique est un cadre de stabilisation économique à long terme. Patrons et syndicalistes restent optimistes sur la portée et les objectifs du pacte économique et social. Un début d'application par le gouvernement rassure, en effet, les partenaires sociaux pour la prise en charge des dossiers prioritaires. Aux dernières nouvelles, la feuille de route du pacte économique et social est bien tracée. Le gouvernement a pris des engagements fermes pour consolider la flexibilité de l'emploi, la mise à niveau de l'économie, l'appui aux entreprises pour être compétitives et surtout la baisse des charges fiscales des entreprises pour booster l'emploi. Dans une déclaration au Midi Libre, Mohand Saïd Nait Abdelaziz, président du CNPA, souligne que « le gouvernement reste toujours à l'écoute du patronat pour appliquer certaines de ses propositions dont celle qui touche à l'éradication des marchés informels, la baisse des charges fiscales pour plus de création d'emplois ». Le président du CNPA, sur un ton optimiste, nous rassure que « le comité technique de suivi sous les auspices du gouvernement est en train de travailler sur les différents dossiers en attendant de procéder à une évaluation prochaine ». Il faut savoir que ce comité de suivi que le ministre du Travail préside actuellement se penche sur le dossier de l'emploi à travers une série de mesures qu'il compte mettre au point dans le cadre du nouveau code du travail. Dans ce chapitre, il y a lieu de citer les mesures incitatives pour la création d'emplois dans différents secteurs, la flexibilité et le réaménagement des postes d'emplois dans certaines branches d'activités industrielles et la mise en place d'une nouvelle grille de rémunération sous forme de mesures d'accompagnement pour les jeunes universitaires diplômés. Sur le front social, le plus important pour les partenaires est « de procéder à un dialogue social dans un climat de sérénité sans turbulence », affirme Nait Abdelaziz. C'est également le point de vue de la Centrale syndicale qui, selon une source proche, « trouve dans le pacte économique et social une raison pour une passerelle avec les pouvoirs publics autour de certaines priorités ». A rappeler que l'UGTA a toujours considéré dans ce sens « l'importance de l'amélioration des conditions socioprofessionnelles des travailleurs, la revalorisation des salaires et l'amélioration du pouvoir d'achat des catégories les plus démunies ». L'UGTA exige en outre la création d'un outil de statistiques moderne et efficace sous forme d'une institution viable et indépendante. Ensuite, il y a l'autre exigence de « réhabiliter la commission générale de planification et de prospection en la dotant de moyens matériels et humains pour la réussite de ses missions ». La Centrale ne badine pas également avec le maintien du service public qui reste l'une de ses recommandations essentielles. Côté patronat, le pacte économique et social doit favoriser d'avantage « d'ouverture du monde de l'entreprise vers l'efficacité entrepreneuriale et sa mise à niveau ». Boualem M'rakech de la Confédération nationale du patronat (CAP) appuie l'idée «de créer une instance permanente de suivi des travaux de la tripartite». Le président de la CAP considère qu'«il faut lever tous les obstacles sur le secteur privé». Un point où tout le patronat semble d'accord, d'autant que ce secteur reste le mieux placé en termes de croissance et de création d'emplois. Il est à signaler que le CNES s'est également intéressé par le passé dans une analyse sur le pacte économique et social. Dans un document qui remonte à 2003, il souligne le caractère impérieux «de mettre l'entreprise, la qualification de l'emploi et la mise à niveau de l'outil de production en conformité avec l'évolution du cadre mondial des changements». En termes réels, le pacte économique est un cadre de stabilisation économique à long terme.