Cette journée de réflexion permettra, notamment, de mettre en exergue une plus grande proximité entre l'Etat , l'administration fiscale et le monde des entreprises afin d'en faciliter le rapprochement. Cette journée de réflexion permettra, notamment, de mettre en exergue une plus grande proximité entre l'Etat , l'administration fiscale et le monde des entreprises afin d'en faciliter le rapprochement. Des entrepreneurs du Forum des chefs d'entreprises (FCE) se sont rencontrés, hier à l'hôtel Hilton, avec la direction générale des impôts dans une conférence débats où il a été surtout question de discussions autour du système fiscal national et de la modernisation de l'administration fiscale, ainsi que des préoccupations majeures des entreprises. Pour le président du FCE, Réda Hamiani, cette journée de réflexion permettra, notamment, de mettre en exergue et au devant de la scène économique une plus grande proximité entre l'Etat , l'administration fiscale et le monde des entreprises afin d'en faciliter le rapprochement. Ainsi, un climat de convivialité est en mesure de rendre les relations entre le fisc et les opérateurs économiques plus humanistes. «Il s'agit de s'imprégner des nouvelles dispositions inhérentes à la modernisation et à la réglementation afin d'avoir un éclairage allant dans le sens de l'amélioration de l'environnement économique de l'entreprise», a affirmé Hamiani. Pour sa part, le directeur général des impôts, Abderrahmane Raouya, estime que «la transformation et le développement, ainsi que la modernisation de l'administration fiscale passe inéluctablement par la formation des cadres (contrôleurs, vérificateurs et inspecteurs), le perfectionnement des ressources humaines, ainsi que l'utilisation rationnelle de l'outil informatique». Autrement, il s'agit d'accompagner les changements économiques et sociaux et adapter l'administration fiscale au nouveau contexte économique et des affaires. C'est à dire se mettre en conformité avec les impératifs et les exigences de l'économie de marché et le libéralisme économique où la qualité de vie et l'esprit d'entreprendre devraient permettre aux initiatives de se libérer afin de favoriser la concurrence et la compétitivité. La nouvelle organisation fiscale prévoit des structures adéquates visant l'instauration d'un guichet unique dans l'administration fiscale, avec un accueil personnalisé et une procédure fiscale simplifiée, ainsi que la formation du personnel, condition sine qua none de la modernisation de l'administration fiscale, dont le coût s'élève à 50 milliards DA. Elle projette d'exploiter judicieusement les 250 centres de proximité à travers le territoire national. Mais l'action immédiate concerne l'utilisation efficace des 10.000 agents des impôts et la formation de 200 inspecteurs principaux à l'école supérieure des impôts de Koléa. Par ailleurs, pas moins de 18 formateurs seront formés afin d'encadrer et orienter les agents et employés des impôts. Raouya a insisté sur la nécessité d'assurer la gestion rigoureuse et le suivi du patrimoine de l'ensemble des agents des impôts et la lutte acharnée contre la corruption, ainsi que l'amélioration des relations avec les contribuables. Parmi les mesures fiscales d'encouragement des activités économiques mises en œuvre par la DG des Impôts, on peut notamment citer la réduction, de 15 % à 10 %, du taux de la retenue à la source applicable en matière d'IRG aux bénéfices distribués sous forme de dividendes aux personnes physiques. Il y a également la suppression du précompte de 4% pour les marchandises importées destinées exclusivement à la revente en l'état. Egalement, des chefs d'entreprises ont demandé l'allègement ou carrément la suppression de la TVA sachant que celle-ci est actuellement à 17 %. «Au moment où l'entreprise s'apprête a rentabiliser ses comptes et vendre ses produits, elle est sommée de s'acquitter de la TVA. Les industriels sont des gens qui souffrent terriblement. Cela est extrêmement lourd pour les finances de l'entreprise, car les prix des produits et des matières premières flambent alors que les taxes de la TVA sont astronomiques. C'est un impact fort sur la trésorerie de l'entreprise», a déclaré un opérateur économique. Des entrepreneurs du Forum des chefs d'entreprises (FCE) se sont rencontrés, hier à l'hôtel Hilton, avec la direction générale des impôts dans une conférence débats où il a été surtout question de discussions autour du système fiscal national et de la modernisation de l'administration fiscale, ainsi que des préoccupations majeures des entreprises. Pour le président du FCE, Réda Hamiani, cette journée de réflexion permettra, notamment, de mettre en exergue et au devant de la scène économique une plus grande proximité entre l'Etat , l'administration fiscale et le monde des entreprises afin d'en faciliter le rapprochement. Ainsi, un climat de convivialité est en mesure de rendre les relations entre le fisc et les opérateurs économiques plus humanistes. «Il s'agit de s'imprégner des nouvelles dispositions inhérentes à la modernisation et à la réglementation afin d'avoir un éclairage allant dans le sens de l'amélioration de l'environnement économique de l'entreprise», a affirmé Hamiani. Pour sa part, le directeur général des impôts, Abderrahmane Raouya, estime que «la transformation et le développement, ainsi que la modernisation de l'administration fiscale passe inéluctablement par la formation des cadres (contrôleurs, vérificateurs et inspecteurs), le perfectionnement des ressources humaines, ainsi que l'utilisation rationnelle de l'outil informatique». Autrement, il s'agit d'accompagner les changements économiques et sociaux et adapter l'administration fiscale au nouveau contexte économique et des affaires. C'est à dire se mettre en conformité avec les impératifs et les exigences de l'économie de marché et le libéralisme économique où la qualité de vie et l'esprit d'entreprendre devraient permettre aux initiatives de se libérer afin de favoriser la concurrence et la compétitivité. La nouvelle organisation fiscale prévoit des structures adéquates visant l'instauration d'un guichet unique dans l'administration fiscale, avec un accueil personnalisé et une procédure fiscale simplifiée, ainsi que la formation du personnel, condition sine qua none de la modernisation de l'administration fiscale, dont le coût s'élève à 50 milliards DA. Elle projette d'exploiter judicieusement les 250 centres de proximité à travers le territoire national. Mais l'action immédiate concerne l'utilisation efficace des 10.000 agents des impôts et la formation de 200 inspecteurs principaux à l'école supérieure des impôts de Koléa. Par ailleurs, pas moins de 18 formateurs seront formés afin d'encadrer et orienter les agents et employés des impôts. Raouya a insisté sur la nécessité d'assurer la gestion rigoureuse et le suivi du patrimoine de l'ensemble des agents des impôts et la lutte acharnée contre la corruption, ainsi que l'amélioration des relations avec les contribuables. Parmi les mesures fiscales d'encouragement des activités économiques mises en œuvre par la DG des Impôts, on peut notamment citer la réduction, de 15 % à 10 %, du taux de la retenue à la source applicable en matière d'IRG aux bénéfices distribués sous forme de dividendes aux personnes physiques. Il y a également la suppression du précompte de 4% pour les marchandises importées destinées exclusivement à la revente en l'état. Egalement, des chefs d'entreprises ont demandé l'allègement ou carrément la suppression de la TVA sachant que celle-ci est actuellement à 17 %. «Au moment où l'entreprise s'apprête a rentabiliser ses comptes et vendre ses produits, elle est sommée de s'acquitter de la TVA. Les industriels sont des gens qui souffrent terriblement. Cela est extrêmement lourd pour les finances de l'entreprise, car les prix des produits et des matières premières flambent alors que les taxes de la TVA sont astronomiques. C'est un impact fort sur la trésorerie de l'entreprise», a déclaré un opérateur économique.