Le rideau est tombé dimanche dernier sur le cinquième festival international du cinéma organisé au camp des réfugiés sahraouis à Dakhla et marqué par la participation de près de 320 cinéastes représentant 14 pays d'Afrique, d'Europe et d'Amérique latine. La cérémonie de clôture, rehaussée par la présence du président de la RASD, M. Mohamed Abdelaziz, de membres du gouvernement sahraoui et de représentants des délégations participantes, a vu la distribution de prix aux trois films primés: "dans un monde libre" et "le Sahara n'est pas à vendre" réalisés par deux cinéastes espagnols, ainsi que "l'avenir d'hier", signé par un cinéaste vénézuélien. Cette manifestation, qui a connu la projection de 40 films dont 09 algériens, a permis au Centre national de l'audiovisuel de consolider la solidarité du peuple algérien avec le peuple en lutte de la RASD. Les participants ont été unanimes à reconnaître que ce festival a constitué, d'une part, une bonne opportunité pour sensibiliser l'opinion internationale sur les souffrances du peuple sahraoui et, d'une autre part, à créer un espace d'expression et de revendication de son droit à l'autodétermination. Plusieurs cinéastes ont exprimé leur disponibilité à mettre sur pied, dans les camps de réfugiés, en collaboration avec les autorités sahraouies, une école de cinéma qui permettra d'exploiter le talent des jeunes de la RASD. Le secrétaire général du ministère sahraoui de la Culture a qualifié de positive la large participation à ce festival, "qui est le fruit d'une expérience acquise tout au long des précédentes éditions et d'une grande mobilisation des moyens humains et matériels", a-t-il indiqué. Ce festival a enregistré la projection d'un grand nombre de films en compétition et la participation du cinéaste espagnol Javier Barden, détenteur d'un oscar et son compatriote le chanteur Manu Chao, a souligné la même source. Le rideau est tombé dimanche dernier sur le cinquième festival international du cinéma organisé au camp des réfugiés sahraouis à Dakhla et marqué par la participation de près de 320 cinéastes représentant 14 pays d'Afrique, d'Europe et d'Amérique latine. La cérémonie de clôture, rehaussée par la présence du président de la RASD, M. Mohamed Abdelaziz, de membres du gouvernement sahraoui et de représentants des délégations participantes, a vu la distribution de prix aux trois films primés: "dans un monde libre" et "le Sahara n'est pas à vendre" réalisés par deux cinéastes espagnols, ainsi que "l'avenir d'hier", signé par un cinéaste vénézuélien. Cette manifestation, qui a connu la projection de 40 films dont 09 algériens, a permis au Centre national de l'audiovisuel de consolider la solidarité du peuple algérien avec le peuple en lutte de la RASD. Les participants ont été unanimes à reconnaître que ce festival a constitué, d'une part, une bonne opportunité pour sensibiliser l'opinion internationale sur les souffrances du peuple sahraoui et, d'une autre part, à créer un espace d'expression et de revendication de son droit à l'autodétermination. Plusieurs cinéastes ont exprimé leur disponibilité à mettre sur pied, dans les camps de réfugiés, en collaboration avec les autorités sahraouies, une école de cinéma qui permettra d'exploiter le talent des jeunes de la RASD. Le secrétaire général du ministère sahraoui de la Culture a qualifié de positive la large participation à ce festival, "qui est le fruit d'une expérience acquise tout au long des précédentes éditions et d'une grande mobilisation des moyens humains et matériels", a-t-il indiqué. Ce festival a enregistré la projection d'un grand nombre de films en compétition et la participation du cinéaste espagnol Javier Barden, détenteur d'un oscar et son compatriote le chanteur Manu Chao, a souligné la même source.