La tension qui a régné pendant des mois sur le marché du ciment au niveau de la région est du pays continue d'avoir des répercussions négatives sur l'activité des entreprises algériennes. La forte spéculation qui a touché ce produit a fait grimper les prix à des niveaux inimaginables. Le sac de ciment de 50kg, sorti de l'usine à 220 dinars, a été cédé à hauteur de 800 dinars. Les mises en garde des hautes instances n'étaient pas vraiment efficaces, au goût des entrepreneurs. Le prix du sac de ciment a certes baissé, mais il n'a pu atteindre les normes. Les entreprises nationales continuent toujours de payer des marges non justifiables. Les projets publics et les chantiers de l'auto-construction n'ont pas tardé à subir les effets de ce déséquilibre. «Briefé» sur ce phénomène lors de son passage à Constantine, le ministre du commerce n'a pas tardé à donner des instructions fermes afin de circonscrire cette spéculation. Sur le terrain, la DCP a décidé de mettre sur pied des brigades de contrôle chargées de collecter toutes les informations sur le marché du ciment ; de la sortie d'usine à la livraison aux chantiers publics et de l'auto construction. Ces brigades sont déjà à pied d'œuvre et assurent le suivi de l'ensemble de la chaîne de distribution. Le DCP nous a affirmé que toute quantité de ciment dont le propriétaire ne détient pas de facture sera saisie. D'ailleurs, ajoute notre interlocuteur, des quantités industrielles de ciment sans document justifiant leur présence chez des commerçants ont été déjà saisies. Des investigations et des enquêtes ont été récemment lancées par les services de la gendarmerie nationale pour lutter contre cette spéculation, a-t-on indiqué. Ces opérations pourront sûrement atténuer le phénomène, mais arriveront-elles à le circonscrire définitivement? Au grand jour, au vu et au su de tout le monde, des commerçants clandestins investissent des terrains, non loin de la cimenterie de Hamma Bouziane pour y vendre du ciment. En plein crise, le marché parallèle bat son plein, avons-nous constaté. Comment peut-on expliquer cet état de fait ? La question reste posée. La tension qui a régné pendant des mois sur le marché du ciment au niveau de la région est du pays continue d'avoir des répercussions négatives sur l'activité des entreprises algériennes. La forte spéculation qui a touché ce produit a fait grimper les prix à des niveaux inimaginables. Le sac de ciment de 50kg, sorti de l'usine à 220 dinars, a été cédé à hauteur de 800 dinars. Les mises en garde des hautes instances n'étaient pas vraiment efficaces, au goût des entrepreneurs. Le prix du sac de ciment a certes baissé, mais il n'a pu atteindre les normes. Les entreprises nationales continuent toujours de payer des marges non justifiables. Les projets publics et les chantiers de l'auto-construction n'ont pas tardé à subir les effets de ce déséquilibre. «Briefé» sur ce phénomène lors de son passage à Constantine, le ministre du commerce n'a pas tardé à donner des instructions fermes afin de circonscrire cette spéculation. Sur le terrain, la DCP a décidé de mettre sur pied des brigades de contrôle chargées de collecter toutes les informations sur le marché du ciment ; de la sortie d'usine à la livraison aux chantiers publics et de l'auto construction. Ces brigades sont déjà à pied d'œuvre et assurent le suivi de l'ensemble de la chaîne de distribution. Le DCP nous a affirmé que toute quantité de ciment dont le propriétaire ne détient pas de facture sera saisie. D'ailleurs, ajoute notre interlocuteur, des quantités industrielles de ciment sans document justifiant leur présence chez des commerçants ont été déjà saisies. Des investigations et des enquêtes ont été récemment lancées par les services de la gendarmerie nationale pour lutter contre cette spéculation, a-t-on indiqué. Ces opérations pourront sûrement atténuer le phénomène, mais arriveront-elles à le circonscrire définitivement? Au grand jour, au vu et au su de tout le monde, des commerçants clandestins investissent des terrains, non loin de la cimenterie de Hamma Bouziane pour y vendre du ciment. En plein crise, le marché parallèle bat son plein, avons-nous constaté. Comment peut-on expliquer cet état de fait ? La question reste posée.