A partir du 3 mai, les candidats à l'examen d'obtention du permis de conduire seront soumis à de nouvelles mesures. Le candidat devra attendre un mois d'ajournement avant de passer son prochain examen en cas de réussite et d'échec (code, créneau…). Les candidats à la catégorie poids lourd seront eux aussi obligés de passer l'examen du créneau, ce qui n'était pas le cas avant. Une autre mesure signalée appliquée déjà depuis le 1er mars dernier, concerne l'examen du créneau sans la présence de l'examinateur à l'intérieur du véhicule. D'autre part, les auto-écoles se voient imposer un nombre limité de dossiers de candidatures à raison de 60 à déposer auprès de la Direction des transports, contrairement au passé. En réaction à cela, une conférence de presse ainsi qu'une réunion sont prévues pour demain 1er mai, nous indique A.Z. Aoudia, président de la commission nationale des auto-écoles. Cette réunion regroupera les 13 membres que compte la commission ainsi que les directeurs des auto-écoles de l'ensemble des wilayas du pays, pour débattre de la situation. «Nous allons nous réunir et décider s'il y a nécessité d'appeler à une grève nationale ou tout simplement d'interpeller par correspondance la tutelle», précise-t-il. En effet, la Direction des transports a adressé, récemment, une note de service à l'ensemble des auto-écoles portant sur ces nouvelles directives. D'après M. Aoudia, président de la commission nationale des auto-écoles, ces nouvelles mesures sont inacceptables vu qu'elles ont été prises sans le consentement de cette commission. Il ajoutera que les directeurs des auto-écoles se sentent marginalisés alors que leur accord est indispensable. «Nous ne pourrons pas accueillir ces décisions qui surviennent alors que la direction des transports ne nous a pas contacté», affirme-t-il, ajoutant que la note exigeant au candidat de passer son créneau sans l'examinateur à l'intérieur du véhicule relève de la folie. «Pensez-vous que ce soit sensé de donner un véhicule au candidat pour le garer tout seul sachant que d'autres voitures circulent sur le même trajet ? » s'interroge-t-il. Concernant l'examen du créneau pour les poids lourd M. Aoudia, nous dira : «Il est impossible d'appliquer cette procédure à la catégorie poids lourd vu que nous ne disposons pas de circuits aménagés pour cela». Et d'ajouter que la commission qu'il préside réagira en conséquence. A partir du 3 mai, les candidats à l'examen d'obtention du permis de conduire seront soumis à de nouvelles mesures. Le candidat devra attendre un mois d'ajournement avant de passer son prochain examen en cas de réussite et d'échec (code, créneau…). Les candidats à la catégorie poids lourd seront eux aussi obligés de passer l'examen du créneau, ce qui n'était pas le cas avant. Une autre mesure signalée appliquée déjà depuis le 1er mars dernier, concerne l'examen du créneau sans la présence de l'examinateur à l'intérieur du véhicule. D'autre part, les auto-écoles se voient imposer un nombre limité de dossiers de candidatures à raison de 60 à déposer auprès de la Direction des transports, contrairement au passé. En réaction à cela, une conférence de presse ainsi qu'une réunion sont prévues pour demain 1er mai, nous indique A.Z. Aoudia, président de la commission nationale des auto-écoles. Cette réunion regroupera les 13 membres que compte la commission ainsi que les directeurs des auto-écoles de l'ensemble des wilayas du pays, pour débattre de la situation. «Nous allons nous réunir et décider s'il y a nécessité d'appeler à une grève nationale ou tout simplement d'interpeller par correspondance la tutelle», précise-t-il. En effet, la Direction des transports a adressé, récemment, une note de service à l'ensemble des auto-écoles portant sur ces nouvelles directives. D'après M. Aoudia, président de la commission nationale des auto-écoles, ces nouvelles mesures sont inacceptables vu qu'elles ont été prises sans le consentement de cette commission. Il ajoutera que les directeurs des auto-écoles se sentent marginalisés alors que leur accord est indispensable. «Nous ne pourrons pas accueillir ces décisions qui surviennent alors que la direction des transports ne nous a pas contacté», affirme-t-il, ajoutant que la note exigeant au candidat de passer son créneau sans l'examinateur à l'intérieur du véhicule relève de la folie. «Pensez-vous que ce soit sensé de donner un véhicule au candidat pour le garer tout seul sachant que d'autres voitures circulent sur le même trajet ? » s'interroge-t-il. Concernant l'examen du créneau pour les poids lourd M. Aoudia, nous dira : «Il est impossible d'appliquer cette procédure à la catégorie poids lourd vu que nous ne disposons pas de circuits aménagés pour cela». Et d'ajouter que la commission qu'il préside réagira en conséquence.