Interrogées sur les nouvelles mesures régissant l'obtention du permis de conduire, plusieurs autos écoles de la région de Blida nous indiquent ignorer cette loi qui devrais rentrer en vigueur a partir du mois de août prochain selon les déclarations des médias. « Nous a pas été notifier officiellement par notre tutelle. Selon, auto-école, Rahmani, «même le citoyen ne nous pose aucune question dans se sens, sa démontre que lui aussi n'est pas informer, y a un manque d'information. Les gérant d'autos-écoles, préfèrent parler du système de fonctionnement et d'obtention du permis de conduire qui connaît, selon, eux une crise sans précédent. Il faut compter plusieurs semaines entre deux passages. » Avec un délai moyen de vingt-cinq semaines, le délai moyen avoisine plutôt les quatre mois », tout en admettant l'existence de « réels problèmes ». « On a créé 10 postes à l'époque. Il faudrait au moins 50 à 100 postes supplémentaires », estime, secrétaire général du syndicats des autos écoles de Blida. Depuis qu'une directive a prolongé la durée de l'examen pratique de treize minutes, un inspecteur ne reçoit plus que 6 candidats par jour au lieu de 12 auparavant. Autre sujet d'inquiétude, le nouveau mode d'attribution des places d'examen. Désormais fondé sur le nombre de candidats ayant réussi leur code plutôt que sur le nombre total d'inscrits, il ne prend plus en compte les postulants malheureux. Lesquels sont de plus en plus nombreux : seule une personne sur deux obtient son examen du premier coup. Presque plus dur que de décrocher le bac ! Par ailleurs, le coût des leçons s'envole. La plupart des auto-écoles offrent des forfaits de vingt heures, sans lien avec la durée réelle de l'apprentissage qui avoisine désormais les trente heures. Des voix s'élèvent pour réclamer une refonte complète du système. Le taux de réussite ne dépend pas que de l'auto-école. Il dépend fortement de l'inspecteur et de son jugement. Interrogées sur les nouvelles mesures régissant l'obtention du permis de conduire, plusieurs autos écoles de la région de Blida nous indiquent ignorer cette loi qui devrais rentrer en vigueur a partir du mois de août prochain selon les déclarations des médias. « Nous a pas été notifier officiellement par notre tutelle. Selon, auto-école, Rahmani, «même le citoyen ne nous pose aucune question dans se sens, sa démontre que lui aussi n'est pas informer, y a un manque d'information. Les gérant d'autos-écoles, préfèrent parler du système de fonctionnement et d'obtention du permis de conduire qui connaît, selon, eux une crise sans précédent. Il faut compter plusieurs semaines entre deux passages. » Avec un délai moyen de vingt-cinq semaines, le délai moyen avoisine plutôt les quatre mois », tout en admettant l'existence de « réels problèmes ». « On a créé 10 postes à l'époque. Il faudrait au moins 50 à 100 postes supplémentaires », estime, secrétaire général du syndicats des autos écoles de Blida. Depuis qu'une directive a prolongé la durée de l'examen pratique de treize minutes, un inspecteur ne reçoit plus que 6 candidats par jour au lieu de 12 auparavant. Autre sujet d'inquiétude, le nouveau mode d'attribution des places d'examen. Désormais fondé sur le nombre de candidats ayant réussi leur code plutôt que sur le nombre total d'inscrits, il ne prend plus en compte les postulants malheureux. Lesquels sont de plus en plus nombreux : seule une personne sur deux obtient son examen du premier coup. Presque plus dur que de décrocher le bac ! Par ailleurs, le coût des leçons s'envole. La plupart des auto-écoles offrent des forfaits de vingt heures, sans lien avec la durée réelle de l'apprentissage qui avoisine désormais les trente heures. Des voix s'élèvent pour réclamer une refonte complète du système. Le taux de réussite ne dépend pas que de l'auto-école. Il dépend fortement de l'inspecteur et de son jugement.