Aujourd'hui, verra la mise en application, après son adoption par le gouvernement, du document portant « Régime spécifique du journaliste algérien», qui est, selon l'avis des journalistes, un jalon important dans le processus de mise en œuvre d'une meilleure organisation de la profession. Aujourd'hui, verra la mise en application, après son adoption par le gouvernement, du document portant « Régime spécifique du journaliste algérien», qui est, selon l'avis des journalistes, un jalon important dans le processus de mise en œuvre d'une meilleure organisation de la profession. C'est aujourd'hui que la profession célèbre la journée internationale de la presse. A l'instar d'autres pays du monde, les journalistes algériens ne vont pas faillir à cette tradition bien ancrée dans les esprits. L'heure n'est pas aux festivités mais à la continuité du combat que mène la profession pour consacrer la liberté d'expression pleine et entière. Un combat qui s'avère difficile, plein d'embûches et qui est de longue haleine. Mettre fin à la précarité professionnelle des journalistes, sur les plans social et juridique est un impératif pour un meilleur exercice du métier. C'est ce combat qui accapare tous les efforts des professionnels de la plume. Une bataille vient d'être gagnée. Aujourd'hui, verra la mise en application, après son adoption par le gouvernement, du document portant « Régime spécifique du journaliste algérien», qui est, selon l'avis des journalistes, un jalon important dans le processus de mise en œuvre d'une meilleure organisation de la profession. Il reste cependant une autre bataille tout aussi importante à poursuivre. Faire changer les mesures du dispositif législatif, à la fois coercitive et contraignante au libre exercice du métier de journaliste. D'autres acquis, à coup sûr, vont suivre, face à la détermination de la presse indépendante. Qui mieux que le patron du vieux parti pour résumer le rôle de la presse dans le processus de l'édification nationale. Intervenant, mercredi, à l'ouverture de la conférence sur le rôle de la presse dans la dynamisation de l'action politique organisée par le FLN à l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse et d'expression, le secrétaire général du FLN, Belkhadem, a déclaré qu' « il n'est pas exagéré de dire que la presse algérienne a joué un rôle remarquable dans l'ancrage de la démocratie et la consécration du pluralisme politique dans le pays », se disant convaincu du rôle de la presse nationale dans la dynamisation de la vie politique. De ce fait, dit-il «elle constitue le trait d'union entre les pouvoirs publics et le citoyen » et en permettant à ce dernier d' « exercer son droit à une information objective et responsable et aux hommes politiques de faire parvenir leurs messages, positions et vues». L'édification nationale en Algérie, souligne-t-il «a besoin en permanence de plumes sincères qui estiment que le journalisme est une profession et une responsabilité». La scène médiatique nationale forte de plus de 4.000 journalistes compte aujourd'hui plus de 60 quotidiens, et des dizaines d'hebdomadaires et de périodiques pour un tirage global de 2 millions d'exemplaires par jour. C'est aujourd'hui que la profession célèbre la journée internationale de la presse. A l'instar d'autres pays du monde, les journalistes algériens ne vont pas faillir à cette tradition bien ancrée dans les esprits. L'heure n'est pas aux festivités mais à la continuité du combat que mène la profession pour consacrer la liberté d'expression pleine et entière. Un combat qui s'avère difficile, plein d'embûches et qui est de longue haleine. Mettre fin à la précarité professionnelle des journalistes, sur les plans social et juridique est un impératif pour un meilleur exercice du métier. C'est ce combat qui accapare tous les efforts des professionnels de la plume. Une bataille vient d'être gagnée. Aujourd'hui, verra la mise en application, après son adoption par le gouvernement, du document portant « Régime spécifique du journaliste algérien», qui est, selon l'avis des journalistes, un jalon important dans le processus de mise en œuvre d'une meilleure organisation de la profession. Il reste cependant une autre bataille tout aussi importante à poursuivre. Faire changer les mesures du dispositif législatif, à la fois coercitive et contraignante au libre exercice du métier de journaliste. D'autres acquis, à coup sûr, vont suivre, face à la détermination de la presse indépendante. Qui mieux que le patron du vieux parti pour résumer le rôle de la presse dans le processus de l'édification nationale. Intervenant, mercredi, à l'ouverture de la conférence sur le rôle de la presse dans la dynamisation de l'action politique organisée par le FLN à l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse et d'expression, le secrétaire général du FLN, Belkhadem, a déclaré qu' « il n'est pas exagéré de dire que la presse algérienne a joué un rôle remarquable dans l'ancrage de la démocratie et la consécration du pluralisme politique dans le pays », se disant convaincu du rôle de la presse nationale dans la dynamisation de la vie politique. De ce fait, dit-il «elle constitue le trait d'union entre les pouvoirs publics et le citoyen » et en permettant à ce dernier d' « exercer son droit à une information objective et responsable et aux hommes politiques de faire parvenir leurs messages, positions et vues». L'édification nationale en Algérie, souligne-t-il «a besoin en permanence de plumes sincères qui estiment que le journalisme est une profession et une responsabilité». La scène médiatique nationale forte de plus de 4.000 journalistes compte aujourd'hui plus de 60 quotidiens, et des dizaines d'hebdomadaires et de périodiques pour un tirage global de 2 millions d'exemplaires par jour.