La visite du ministre français des Affaires étrangères en Algérie entre dans le cadre de la poursuite des entrevues concernant le projet de l'Union pour la Méditerranée, proposé par Nicholas Sarkozy lors de sa dernière visite en Algérie La visite du ministre français des Affaires étrangères en Algérie entre dans le cadre de la poursuite des entrevues concernant le projet de l'Union pour la Méditerranée, proposé par Nicholas Sarkozy lors de sa dernière visite en Algérie Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, se rendra lundi à Alger afin d'aborder avec les responsables algériens le dossier de l'Union pour la Méditerranée. « Le principal objectif de ce déplacement est d'aborder avec nos partenaires algériens le dossier de l'Union pour la Méditerranée dont l'Algérie doit être un acteur majeur », a déclaré, hier, la porte-parole du ministère, Pascale Andréani. A l'ordre du jour de cette visite qui survient quelques jours seulement après la venue en Algérie de la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, figurent les questions régionales et internationales dans le cadre de la relation bilatérale, a indiqué la représentante du Quai d'Orsay. «Kouchner sera porteur d'un message du Président Nicolas Sarkozy et la relation bilatérale franco-algérienne sera également à l'ordre du jour six mois après la visite d'Etat du président français », a-t-elle ajouté. Donc, la visite du ministre français des Affaires étrangères en Algérie entre dans le cadre de la poursuite des entrevues concernant le projet de l'Union pour la Méditerranée, proposé par Nicholas Sarkozy lors de sa dernière visite en Algérie, il y a six mois. En effet, ledit projet initié par le président français se veut un palliatif au Processus de Barcelone institué depuis 1995, dont les résultats sont peu appréciés par les pays de la rive sud de la Méditerranée, dont l'Algérie. D'ailleurs, l'Egypte a annoncé, jeudi dernier, la tenue, le 24 mai prochain au Caire, d'une réunion ministérielle des pays arabes concernés par le Processus de Barcelone, afin de se concerter sur l'initiative française de créer l'Union pour la Méditerranée. Outre les Palestiniens, neuf pays arabes sont concernés par le dialogue euro-méditerranéen de Barcelone, lancé par l'Union européenne en direction des pays du Sud : Egypte, Libye, Tunisie, Algérie, Maroc, Mauritanie, Syrie, Jordanie et Liban. Le Président Sarkozy veut lancer le 13 juillet l'Union pour la Méditerranée, un projet de partenariat entre l'UE et ses voisins du sud de la Méditerranée. Il avait proposé, début mars, que l'Union pour la Méditerranée soit co-présidée par un président de la rive nord et un président de la rive sud et son Premier ministre, François Fillon, a proposé récemment à Rabat que le siège soit situé dans un pays du Sud. Ceci dit, la visite de Bernard Kouchner en Algérie s'apparente à un forcing afin de convaincre les autorités algériennes à souscrire au projet de l'Union pour la Méditerranée. Cependant, les questions de la sécurité et de la circulation des personnes restent en suspens entre les partenaires des rives nord et sud de la Méditerranée, d'où les contraintes qui pourraient sérieusement compromettre la concrétisation d'une telle entreprise. Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, se rendra lundi à Alger afin d'aborder avec les responsables algériens le dossier de l'Union pour la Méditerranée. « Le principal objectif de ce déplacement est d'aborder avec nos partenaires algériens le dossier de l'Union pour la Méditerranée dont l'Algérie doit être un acteur majeur », a déclaré, hier, la porte-parole du ministère, Pascale Andréani. A l'ordre du jour de cette visite qui survient quelques jours seulement après la venue en Algérie de la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, figurent les questions régionales et internationales dans le cadre de la relation bilatérale, a indiqué la représentante du Quai d'Orsay. «Kouchner sera porteur d'un message du Président Nicolas Sarkozy et la relation bilatérale franco-algérienne sera également à l'ordre du jour six mois après la visite d'Etat du président français », a-t-elle ajouté. Donc, la visite du ministre français des Affaires étrangères en Algérie entre dans le cadre de la poursuite des entrevues concernant le projet de l'Union pour la Méditerranée, proposé par Nicholas Sarkozy lors de sa dernière visite en Algérie, il y a six mois. En effet, ledit projet initié par le président français se veut un palliatif au Processus de Barcelone institué depuis 1995, dont les résultats sont peu appréciés par les pays de la rive sud de la Méditerranée, dont l'Algérie. D'ailleurs, l'Egypte a annoncé, jeudi dernier, la tenue, le 24 mai prochain au Caire, d'une réunion ministérielle des pays arabes concernés par le Processus de Barcelone, afin de se concerter sur l'initiative française de créer l'Union pour la Méditerranée. Outre les Palestiniens, neuf pays arabes sont concernés par le dialogue euro-méditerranéen de Barcelone, lancé par l'Union européenne en direction des pays du Sud : Egypte, Libye, Tunisie, Algérie, Maroc, Mauritanie, Syrie, Jordanie et Liban. Le Président Sarkozy veut lancer le 13 juillet l'Union pour la Méditerranée, un projet de partenariat entre l'UE et ses voisins du sud de la Méditerranée. Il avait proposé, début mars, que l'Union pour la Méditerranée soit co-présidée par un président de la rive nord et un président de la rive sud et son Premier ministre, François Fillon, a proposé récemment à Rabat que le siège soit situé dans un pays du Sud. Ceci dit, la visite de Bernard Kouchner en Algérie s'apparente à un forcing afin de convaincre les autorités algériennes à souscrire au projet de l'Union pour la Méditerranée. Cependant, les questions de la sécurité et de la circulation des personnes restent en suspens entre les partenaires des rives nord et sud de la Méditerranée, d'où les contraintes qui pourraient sérieusement compromettre la concrétisation d'une telle entreprise.