Le système comptable financier algérien (SCF) et les principes du plan comptable national ont été les thèmes abordés, hier à l'Institut supérieur de gestion et de planification, par des experts comptables et des financiers, où il était surtout question de vulgariser les techniques et la nécessaire adéquation du SCF national aux normes internationales universellement reconnues. Le SCF est défini comme étant une adaptation véritable d'une opportunité pour favoriser les relations avec les investisseurs et développer la bonne gouvernance des entreprises. Dans un message du ministre des Finances, Karim Djoudi, lu par le secrétaire général du ministère, Mohamed Djahdou, le représentant du gouvernement a relevé l'importance de la formation et de la sensibilisation aux nouvelles techniques comptables contenues dans le SCF. Ce séminaire a pour ambition essentielle de sensibiliser et préparer les praticiens et utilisateurs de la comptabilité financière en vue de la mise en œuvre prochaine d'un nouveau système comptable financier ayant pour base conceptuelle les normes comptables internationales et les normes d'information financières dénommées IAS/IFRS. Voulant s'adapter au contexte mondial de la mondialisation et aux normes financières internationales, l'Etat algérien a donc envisagé de mener à bien les réformes économiques avec comme point d'ancrage les pratiques et les procédures de gestion comptable et financière des différents secteurs. Prévue le 1er janvier 2009, l'entrée en vigueur de ce système doit s'accompagner, selon Djoudi, d'un surcroît de travail pour adapter et former le personnel en charge de la comptabilité financière. Etant en retard sur le plan international pour ce qui est des standards de comptabilité et de finance en raison des lenteurs dans la mise en place d'un système financier national, l'Algérie s'apprête, selon le ministre, « à adapter la volonté des pouvoirs publics au développement des services de l'Etat afin d'adopter les exigences et les impératifs de la bonne gouvernance à un moment où le phénomène de la mondialisation s'amplifie, exigeant outre la libéralisation des économies et le développement des échanges, la refonte de tout l'environnement économique et juridique des différents secteurs de l'Etat et notamment des entités économiques ». Il estime également que « les normes de comptabilité doivent prendre en compte aussi la dimension internationale et les exigences des investisseurs étrangers et des marchés financiers en général, et non seulement les besoins des partenaires économiques et sociaux nationaux ». L'importance de l'information et de la formation a été mise en relief durant ce séminaire dont l'objectif essentiel consiste à cerner le sens, la signification et la portée des avantages de la l'application du SCF, aussi bien pour les dirigeants des institutions concernées que pour les responsables de comptabilité financière au niveau des banques et des assurances. L'ISGP est donc le pilote qui concrétisera l'ambitieux programme de formation sur ce nouveau système et sur les normes IAS/IFRS. Par ailleurs, le ministre a insisté sur le rôle des banques et des sociétés d'assurance qui constituent le noyau dur du SCF et de toute l'activité économique de l'Etat et tout ce que cela implique en termes d'épargne et de prudence. « Elles ont plus que jamais besoin d'informations financières reflétant une image fidèle et transparente des comptes et de la situation patrimoniale et de trésorerie des entreprises », a t-il précisé. Pour sa part, le directeur général de la comptabilité a indiqué que le SCF vise à produire des informations sur les entreprises orientées vers les besoins des investisseurs actuels et potentiels. Il permet également la prise en charge d'opérations, telles que le leasing, les concessions et les opérations libellées en monnaies étrangères non prévues par le plan comptable national actuel. Le système comptable financier algérien (SCF) et les principes du plan comptable national ont été les thèmes abordés, hier à l'Institut supérieur de gestion et de planification, par des experts comptables et des financiers, où il était surtout question de vulgariser les techniques et la nécessaire adéquation du SCF national aux normes internationales universellement reconnues. Le SCF est défini comme étant une adaptation véritable d'une opportunité pour favoriser les relations avec les investisseurs et développer la bonne gouvernance des entreprises. Dans un message du ministre des Finances, Karim Djoudi, lu par le secrétaire général du ministère, Mohamed Djahdou, le représentant du gouvernement a relevé l'importance de la formation et de la sensibilisation aux nouvelles techniques comptables contenues dans le SCF. Ce séminaire a pour ambition essentielle de sensibiliser et préparer les praticiens et utilisateurs de la comptabilité financière en vue de la mise en œuvre prochaine d'un nouveau système comptable financier ayant pour base conceptuelle les normes comptables internationales et les normes d'information financières dénommées IAS/IFRS. Voulant s'adapter au contexte mondial de la mondialisation et aux normes financières internationales, l'Etat algérien a donc envisagé de mener à bien les réformes économiques avec comme point d'ancrage les pratiques et les procédures de gestion comptable et financière des différents secteurs. Prévue le 1er janvier 2009, l'entrée en vigueur de ce système doit s'accompagner, selon Djoudi, d'un surcroît de travail pour adapter et former le personnel en charge de la comptabilité financière. Etant en retard sur le plan international pour ce qui est des standards de comptabilité et de finance en raison des lenteurs dans la mise en place d'un système financier national, l'Algérie s'apprête, selon le ministre, « à adapter la volonté des pouvoirs publics au développement des services de l'Etat afin d'adopter les exigences et les impératifs de la bonne gouvernance à un moment où le phénomène de la mondialisation s'amplifie, exigeant outre la libéralisation des économies et le développement des échanges, la refonte de tout l'environnement économique et juridique des différents secteurs de l'Etat et notamment des entités économiques ». Il estime également que « les normes de comptabilité doivent prendre en compte aussi la dimension internationale et les exigences des investisseurs étrangers et des marchés financiers en général, et non seulement les besoins des partenaires économiques et sociaux nationaux ». L'importance de l'information et de la formation a été mise en relief durant ce séminaire dont l'objectif essentiel consiste à cerner le sens, la signification et la portée des avantages de la l'application du SCF, aussi bien pour les dirigeants des institutions concernées que pour les responsables de comptabilité financière au niveau des banques et des assurances. L'ISGP est donc le pilote qui concrétisera l'ambitieux programme de formation sur ce nouveau système et sur les normes IAS/IFRS. Par ailleurs, le ministre a insisté sur le rôle des banques et des sociétés d'assurance qui constituent le noyau dur du SCF et de toute l'activité économique de l'Etat et tout ce que cela implique en termes d'épargne et de prudence. « Elles ont plus que jamais besoin d'informations financières reflétant une image fidèle et transparente des comptes et de la situation patrimoniale et de trésorerie des entreprises », a t-il précisé. Pour sa part, le directeur général de la comptabilité a indiqué que le SCF vise à produire des informations sur les entreprises orientées vers les besoins des investisseurs actuels et potentiels. Il permet également la prise en charge d'opérations, telles que le leasing, les concessions et les opérations libellées en monnaies étrangères non prévues par le plan comptable national actuel.