Les supporters de l'USMH ont lancé un mot d'ordre pour tenter de rallier la commune de Kouba et s'adonner à des actes de vandalisme sous prétexte que la billetterie du stade Benhaddad de cette localité n'aurait vendu que deux cents billets d'entrée pour ces jeunes, décidés d'en découdre avec leurs adversaires : Les supporters du Raed Club de Kouba. L'enjeu est de taille : il s'agit de l'accession en Division 1 de football Les supporters de l'USMH ont lancé un mot d'ordre pour tenter de rallier la commune de Kouba et s'adonner à des actes de vandalisme sous prétexte que la billetterie du stade Benhaddad de cette localité n'aurait vendu que deux cents billets d'entrée pour ces jeunes, décidés d'en découdre avec leurs adversaires : Les supporters du Raed Club de Kouba. L'enjeu est de taille : il s'agit de l'accession en Division 1 de football Dans l'après-midi de mardi aux environs de 17 heures trente, les supporters de l'USMH se sont regroupés à la placette d'El Harrach, très remontés, du fait qu'ils n'ont obtenu que deux cents billets pour aller voir leur match qui revêt une importance capitale, puisqu'il s'agit de l'accession en Division 1. Ils ont lancé un mot d'ordre : « casser du Kouba ». C'est alors que des hordes sont venues des quartiers avoisinants tels que La Faïence, Dussolier, Boumaâti, Cité d'Urgence, PLM, Djenane Mabrouk , les Palmiers, qui ne sont, en fait, que des cités ghettos qui ont été dans un passé récent le berceau du terrorisme islamiste, proférant des menaces à l'encontre des Koubéens et saccageant tout ce qui se trouvait sur leur passage. A vingt heures ils étaient des centaines et des centaines à arracher poteaux électriques cabines téléphoniques, bordures de trottoirs en guise de projectiles sans parler de ceux armés de couteaux, de haches et de lance-fusées qu'utilisent les navires et dont les contenants (produits pyrotechniques) peuvent être dangereux quand ils sont dirigés droit sur la personne. Au fur et à mesure que la marée humaine se dirigeait vers Badjarah, d'autres groupes de Diar Djamâa et des Palmiers, venaient grossir les rangs avec une hargne indescriptible. Les forces de sécurité sont arrivées dès les premières minutes qui ont suivi la marche de ces hooligans pour tenter, en vain, de les contenir. Difficile travail pour ces policiers qui dans un premier temps n'ont pu venir à bout de cette horde qui leur balançait les projectiles ramassés ici et là. Il est déjà vingt-deux heures et les émeutes gagnent en intensité, les manifestants sont au corps à corps avec les policiers. Les renforts arrivent. Et la brigade anti- émeute prend place. Mais les jeunes sont de plus en plus enragés et arrachent les poteaux électriques, les cabines téléphoniques « Houria » bordures de trottoirs et procède à des jets de pierres pour avancer coûte que coûte. Au gaz lacrymogène, la riposte se faisait par des lance-fusées qui en ont blessé plus d'un. Cependant les jeunes déterminés sont arrivés à hauteur de Badjarah . Il est minuit, les pneus flambent et les projectiles volent de toutes parts, la bataille de rue a commencé. Deux camions de police seront endommagés, d'autres renforts arrivent avec le camion à canon à eau pour refroidir les esprits. C'est alors qu'arrive une autre « compagnie » venant de Boubsila et La Montagne scandant « La Montagne El Qaïda ». A hauteur du commissariat des échauffourées ont lieu avec les forces de l'ordre. La caserne du jalonnement sort la grosse artillerie et se dirige vers le lotissement Michel route menant vers Kouba pour stopper une fois pour toutes ces jeunes en furie. L'horloge tourne ; il est 1 heures trente du matin. Les renforts de la BMPJ qui sont arrivés ont pris position aux endroits stratégiques et sont parvenus à remettre de l'ordre. Ils ont procédé à de nombreuses arrestations. 150 personnes ont été interpellés et répartis dans les différents commissariat relevant de la sûreté de daïra d'El Harrach. A deux heures du matin le calme est revenu, seuls les agents de la voirie réquisitionnés de nuit par les APC, ramassent et nettoient pour faire place nette sous l'œil vigilant du secrétaire général de la mairie de Bourouba. Au petit matin tout était clean et rien ne laisser transparaître qu'une bataille rangée avait eu lieu. Dans l'après-midi de mardi aux environs de 17 heures trente, les supporters de l'USMH se sont regroupés à la placette d'El Harrach, très remontés, du fait qu'ils n'ont obtenu que deux cents billets pour aller voir leur match qui revêt une importance capitale, puisqu'il s'agit de l'accession en Division 1. Ils ont lancé un mot d'ordre : « casser du Kouba ». C'est alors que des hordes sont venues des quartiers avoisinants tels que La Faïence, Dussolier, Boumaâti, Cité d'Urgence, PLM, Djenane Mabrouk , les Palmiers, qui ne sont, en fait, que des cités ghettos qui ont été dans un passé récent le berceau du terrorisme islamiste, proférant des menaces à l'encontre des Koubéens et saccageant tout ce qui se trouvait sur leur passage. A vingt heures ils étaient des centaines et des centaines à arracher poteaux électriques cabines téléphoniques, bordures de trottoirs en guise de projectiles sans parler de ceux armés de couteaux, de haches et de lance-fusées qu'utilisent les navires et dont les contenants (produits pyrotechniques) peuvent être dangereux quand ils sont dirigés droit sur la personne. Au fur et à mesure que la marée humaine se dirigeait vers Badjarah, d'autres groupes de Diar Djamâa et des Palmiers, venaient grossir les rangs avec une hargne indescriptible. Les forces de sécurité sont arrivées dès les premières minutes qui ont suivi la marche de ces hooligans pour tenter, en vain, de les contenir. Difficile travail pour ces policiers qui dans un premier temps n'ont pu venir à bout de cette horde qui leur balançait les projectiles ramassés ici et là. Il est déjà vingt-deux heures et les émeutes gagnent en intensité, les manifestants sont au corps à corps avec les policiers. Les renforts arrivent. Et la brigade anti- émeute prend place. Mais les jeunes sont de plus en plus enragés et arrachent les poteaux électriques, les cabines téléphoniques « Houria » bordures de trottoirs et procède à des jets de pierres pour avancer coûte que coûte. Au gaz lacrymogène, la riposte se faisait par des lance-fusées qui en ont blessé plus d'un. Cependant les jeunes déterminés sont arrivés à hauteur de Badjarah . Il est minuit, les pneus flambent et les projectiles volent de toutes parts, la bataille de rue a commencé. Deux camions de police seront endommagés, d'autres renforts arrivent avec le camion à canon à eau pour refroidir les esprits. C'est alors qu'arrive une autre « compagnie » venant de Boubsila et La Montagne scandant « La Montagne El Qaïda ». A hauteur du commissariat des échauffourées ont lieu avec les forces de l'ordre. La caserne du jalonnement sort la grosse artillerie et se dirige vers le lotissement Michel route menant vers Kouba pour stopper une fois pour toutes ces jeunes en furie. L'horloge tourne ; il est 1 heures trente du matin. Les renforts de la BMPJ qui sont arrivés ont pris position aux endroits stratégiques et sont parvenus à remettre de l'ordre. Ils ont procédé à de nombreuses arrestations. 150 personnes ont été interpellés et répartis dans les différents commissariat relevant de la sûreté de daïra d'El Harrach. A deux heures du matin le calme est revenu, seuls les agents de la voirie réquisitionnés de nuit par les APC, ramassent et nettoient pour faire place nette sous l'œil vigilant du secrétaire général de la mairie de Bourouba. Au petit matin tout était clean et rien ne laisser transparaître qu'une bataille rangée avait eu lieu.