La moitié des décès néonataux surviennent dans les 24 heures suivant la naissance, a-t-on relevé dans un rapport présenté lors des 3es journées internationales de pédiatrie de Constantine dont les travaux ont débuté jeudi. Consacrée aux pathologies périnatales, cette rencontre a réuni une pléiade de spécialistes et d'équipes de pédiatrie issus notamment des CHU d'Alger, de Constantine et de Annaba ainsi que de grandes figures de la pédiatrie en France comme les professeurs Y. Aujard de l'hôpital Robert Debré de Paris et J. Battin du CHU Pellegrin de Bordeaux. Le choix du thème des pathologies liées à la périnatalité est motivé, selon le Pr H. Allas, médecin chef de l'hôpital pédiatrique de Mansourah, par le fait que la réduction du taux de mortalité néonatale figure actuellement au top des priorités de la politique nationale de la santé. Selon la même source, ce taux estimé actuellement à 24,7 pour mille, demeure élevé notamment à Constantine où il figure parmi les plus hauts du pays. En plus des communications scientifiques, le Pr Djamil Lebane, chef de service de néonatologie du CHU Mustapha (Alger) et coordinateur de la commission de périnatalogie au ministère de la Santé et de la population et de la réforme hospitalière (MSP/RH), devait présenter un exposé sur "l'organisation des soins néonatales en Algérie". Selon cet exposé, les différents programmes et actions mis en place par le ministère de la santé en matière de soins de périnatalité visent à réduire, entre 2006 et 2015, le taux de mortalité infantile des deux tiers pour le ramener à 19 pour mille. Soulignant que la moitié des décès surviennent dans les 24 heures suivant la naissance et 80 % dans la première semaine, le conférencier a préconisé, entre autres, une stratégie basée sur le "Continuum des soins postnatals" ou la prise en charge du nouveau né à proximité de la salle de naissance afin "d'éviter le périlleux transfert et le besoin des soins intensifs". La moitié des décès néonataux surviennent dans les 24 heures suivant la naissance, a-t-on relevé dans un rapport présenté lors des 3es journées internationales de pédiatrie de Constantine dont les travaux ont débuté jeudi. Consacrée aux pathologies périnatales, cette rencontre a réuni une pléiade de spécialistes et d'équipes de pédiatrie issus notamment des CHU d'Alger, de Constantine et de Annaba ainsi que de grandes figures de la pédiatrie en France comme les professeurs Y. Aujard de l'hôpital Robert Debré de Paris et J. Battin du CHU Pellegrin de Bordeaux. Le choix du thème des pathologies liées à la périnatalité est motivé, selon le Pr H. Allas, médecin chef de l'hôpital pédiatrique de Mansourah, par le fait que la réduction du taux de mortalité néonatale figure actuellement au top des priorités de la politique nationale de la santé. Selon la même source, ce taux estimé actuellement à 24,7 pour mille, demeure élevé notamment à Constantine où il figure parmi les plus hauts du pays. En plus des communications scientifiques, le Pr Djamil Lebane, chef de service de néonatologie du CHU Mustapha (Alger) et coordinateur de la commission de périnatalogie au ministère de la Santé et de la population et de la réforme hospitalière (MSP/RH), devait présenter un exposé sur "l'organisation des soins néonatales en Algérie". Selon cet exposé, les différents programmes et actions mis en place par le ministère de la santé en matière de soins de périnatalité visent à réduire, entre 2006 et 2015, le taux de mortalité infantile des deux tiers pour le ramener à 19 pour mille. Soulignant que la moitié des décès surviennent dans les 24 heures suivant la naissance et 80 % dans la première semaine, le conférencier a préconisé, entre autres, une stratégie basée sur le "Continuum des soins postnatals" ou la prise en charge du nouveau né à proximité de la salle de naissance afin "d'éviter le périlleux transfert et le besoin des soins intensifs".