La décision d'étendre les colonies de peuplement juif, a suscité les critiques et les mises en garde de la communauté internationale, soulignant qu'un tel projet ne fera que compliquer les discussions de paix, dont le processus patine toujours à cause notamment du non respect par Israël de ses engagements. La décision d'étendre les colonies de peuplement juif, a suscité les critiques et les mises en garde de la communauté internationale, soulignant qu'un tel projet ne fera que compliquer les discussions de paix, dont le processus patine toujours à cause notamment du non respect par Israël de ses engagements. L'autorisation d'extension de la colonisation juive, par la construction de 884 nouveaux logements dans la partie orientale d'al-Qods occupée, a été donnée par le Premier ministre israélien Ehud Olmert, une décision fermement condamnée par la communauté internationale qui appelle Israël à respecter ses engagements. Le projet de construction de nouveaux logements de peuplement juif a été approuvé par Olmert avant son départ pour les Etats-Unis, où il a entamé hier une visite de trois jours. «Le Premier ministre a été tenu au courant et il a donné son autorisation à la construction de ces logements», a indiqué le ministère israélien de l'Habitat, qui a publié dimanche deux appels d'offres pour la construction de 121 logements à Har Homa, et 763 autres à Pisgat Zeev, deux quartiers de colonisation érigés à al Qods-Est occupée. La décision d'étendre les colonies de peuplement juif, a suscité les critiques et les mises en garde de la communauté internationale, soulignant qu'un tel projet ne fera que compliquer les discussions de paix, dont le processus patine toujours à cause notamment du non respect par Israël de ses engagements. Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, est «profondément préoccupé» par l'annonce par Israël de nouveaux projets de construction à al-Qods occupée, qui vont «à l'encontre du droit international». «La poursuite par Israël des constructions de logements dans le territoire palestinien occupé va à l'encontre du droit international et de ses engagements aux termes de la Feuille de route et du processus d'Annapolis, tels que soulignés par le Quartette lors de sa réunion de Londres le 2 mai», a-t-il fait savoir. Refusant toujours de faire pression sur Israël, la Maison Blanche, qui dit œuvrer pour la conclusion d'un accord de paix avant la fin de l'année, a mis en garde contre la décision israélienne d'étendre ses colonies. «Notre position sur les colonies est que nous ne pensons pas que de nouvelles colonies doivent être construites. Et nous savons que cela exacerbe les tensions quand il s'agit des négociations avec les Palestiniens», a déclaré sa porte-parole, Dana Perino «Le temps presse si l'on s'en tient au projet ambitieux de parvenir à un accord cadre d'ici novembre», a prévenu le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, lundi lors d'une visite dans la région. «Je souhaite que l'on s'abstienne de tout ce qui pourrait aller à l'encontre» de ce projet, a-t-il dit, affirmant qu'«il faut bien reconnaître que les discussions sont dans une mauvaise passe». La France a condamné également la «poursuite de la colonisation» israélienne de la Palestine occupée, indiquant que «cette décision porte atteinte à la viabilité du futur Etat palestinien et au processus diplomatique en cours». Le gouvernement jordanien considère les projets israéliens comme un «obstacle» aux négociations et de violation des lois internationales. «La construction de nouvelles colonies viole les lois internationales et constitue un obstacle aux négociations israélo-palestiniennes», a déclaré dimanche le ministre d'Etat pour l'Information, Nasser Jawdeh. L'autorisation d'extension de la colonisation juive, par la construction de 884 nouveaux logements dans la partie orientale d'al-Qods occupée, a été donnée par le Premier ministre israélien Ehud Olmert, une décision fermement condamnée par la communauté internationale qui appelle Israël à respecter ses engagements. Le projet de construction de nouveaux logements de peuplement juif a été approuvé par Olmert avant son départ pour les Etats-Unis, où il a entamé hier une visite de trois jours. «Le Premier ministre a été tenu au courant et il a donné son autorisation à la construction de ces logements», a indiqué le ministère israélien de l'Habitat, qui a publié dimanche deux appels d'offres pour la construction de 121 logements à Har Homa, et 763 autres à Pisgat Zeev, deux quartiers de colonisation érigés à al Qods-Est occupée. La décision d'étendre les colonies de peuplement juif, a suscité les critiques et les mises en garde de la communauté internationale, soulignant qu'un tel projet ne fera que compliquer les discussions de paix, dont le processus patine toujours à cause notamment du non respect par Israël de ses engagements. Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, est «profondément préoccupé» par l'annonce par Israël de nouveaux projets de construction à al-Qods occupée, qui vont «à l'encontre du droit international». «La poursuite par Israël des constructions de logements dans le territoire palestinien occupé va à l'encontre du droit international et de ses engagements aux termes de la Feuille de route et du processus d'Annapolis, tels que soulignés par le Quartette lors de sa réunion de Londres le 2 mai», a-t-il fait savoir. Refusant toujours de faire pression sur Israël, la Maison Blanche, qui dit œuvrer pour la conclusion d'un accord de paix avant la fin de l'année, a mis en garde contre la décision israélienne d'étendre ses colonies. «Notre position sur les colonies est que nous ne pensons pas que de nouvelles colonies doivent être construites. Et nous savons que cela exacerbe les tensions quand il s'agit des négociations avec les Palestiniens», a déclaré sa porte-parole, Dana Perino «Le temps presse si l'on s'en tient au projet ambitieux de parvenir à un accord cadre d'ici novembre», a prévenu le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, lundi lors d'une visite dans la région. «Je souhaite que l'on s'abstienne de tout ce qui pourrait aller à l'encontre» de ce projet, a-t-il dit, affirmant qu'«il faut bien reconnaître que les discussions sont dans une mauvaise passe». La France a condamné également la «poursuite de la colonisation» israélienne de la Palestine occupée, indiquant que «cette décision porte atteinte à la viabilité du futur Etat palestinien et au processus diplomatique en cours». Le gouvernement jordanien considère les projets israéliens comme un «obstacle» aux négociations et de violation des lois internationales. «La construction de nouvelles colonies viole les lois internationales et constitue un obstacle aux négociations israélo-palestiniennes», a déclaré dimanche le ministre d'Etat pour l'Information, Nasser Jawdeh.