Cette importante manifestation économique et commerciale, qui s'étalera jusqu'au 13 juin, sera un véritable rendez- vous des professionnels et représentants des firmes étrangères pour tisser des relations de partenariat et de joint venture avec des entreprises algériennes. Cette importante manifestation économique et commerciale, qui s'étalera jusqu'au 13 juin, sera un véritable rendez- vous des professionnels et représentants des firmes étrangères pour tisser des relations de partenariat et de joint venture avec des entreprises algériennes. Etant l'événement économique le plus marquant et le plus médiatisé, la 41e édition de la Foire internationale d'Alger (FIA) débutera aujourd'hui dans les différents pavillons de la Société algérienne des foires et exportations (Safex). Cette importante manifestation économique et commerciale, qui s'étalera jusqu'au 13 juin, sera un véritable rendez- vous des professionnels et représentants des firmes étrangères pour tisser des relations de partenariat et de joint venture avec des entreprises algériennes. D'autres participants chercheront notamment à décrocher des contrats de vente d'équipements et matériels technologiques avec des sociétés algériennes publiques et privées. Certains participants ou opérateurs économiques nationaux auront, comme tâche principale, de nouer des rapports avec des entreprises internationales en vue de devenir leurs représentants locaux, au niveau du territoire national. Comparativement à l'année 2007 où il y a eu la participation de 37 pays, l'année en cours verra, donc, la présence de 1.066 entreprises issues de 40 pays (dont 34 à titre officiel) des cinq continents qui se partageont une superficie de 20.057 m2 et fédérant 811 entreprises. Après l'Italie, invitée d'honneur durant la précédente édition, c'est au tour du Portugal d'avoir cet honneur présentement, et ce, durant sept jours. Par rapport à l'édition 2007, de nouveaux pays participants s'activeront pendant cette foire. Il s'agit notamment du retour des firmes et consortiums des Etats-Unis d'Amérique (581 m2), le Venezuela (30 m2), l'Iran (210 m2) et la Suède (90 m2). Pas moins de 49 entreprises étrangères prennent part à cette 41e FIA à titre individuel. C'est le cas de la France, Taiwan, Pakistan, Turquie, Syrie, Tunisie, Suisse, Brésil, Iran, Allemagne, Russie et Tchéquie. S'agissant des entreprises algériennes dont l'objectif essentiel consiste à intensifier leur coopération multilatérale avec des firmes internationales et ce, dans l'optique de l'acquisition du transfert technologique et de leur mise à niveau, elles sont plus de 449 cette année (contre 526 en 2007) à occuper 45.298 m2, selon la Safex. Le secteur public sera fort de 75 entreprises tandis que les sociétés en partenariat sont au nombre de 134 spécialisées notamment dans l'agroalimentaire, l'énergie, la chimie et la pétrochimie, les grands travaux et le bâtiment et matériaux de construction. Mais d'autres secteurs, non moins importants, seront présents, tels que les industries électriques et électroniques, la mécanique, métallurgie et la sidérurgie, ainsi que les services, le textile et l'ameublement… Selon les responsables de la Safex, organisateurs de cet événement, la «FIA demeure, un baromètre et un espace de mise valeur des capacités des uns et des autres à répondre aux exigences et aux impératifs, ainsi qu'à la rigueur dont le programme de développement conçu et mis en œuvre par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a permis d'asseoir les règles incontournables et nécessaires». Il est clair que les opérateurs économiques algériens ne cherchent pas seulement à conclure des accords commerciaux avec des firmes étrangères, mais ils envisageront également de décrocher des conventions et des contrats d'investissement avec de grandes entreprises internationales. Rappelons que la ministre des Relations internationales du Québec et ministre responsable de la Francophonie, Monique Gagnant-Tremblay, a d'ores et déjà annoncé sa présence à Alger auprès des entreprises canadiennes afin de les soutenir et mieux connaître les opportunités offertes par l'Algérie en matière d'investissement. Les sociétés du Canada pourront également établir des contacts et identifier d'éventuels partenaires potentiels. Le chargé d'affaires de l'ambassade du Canada à Alger, Gilles Poirier, estime que «L'Algérie est le premier partenaire commercial du Canada, tant sur le continent africain qu'au Moyen-Orient, avec des échanges bilatéraux de près de 5,2 milliards de dollars canadiens en 2006 et le Canada y jouit d'une excellente image. Etant l'événement économique le plus marquant et le plus médiatisé, la 41e édition de la Foire internationale d'Alger (FIA) débutera aujourd'hui dans les différents pavillons de la Société algérienne des foires et exportations (Safex). Cette importante manifestation économique et commerciale, qui s'étalera jusqu'au 13 juin, sera un véritable rendez- vous des professionnels et représentants des firmes étrangères pour tisser des relations de partenariat et de joint venture avec des entreprises algériennes. D'autres participants chercheront notamment à décrocher des contrats de vente d'équipements et matériels technologiques avec des sociétés algériennes publiques et privées. Certains participants ou opérateurs économiques nationaux auront, comme tâche principale, de nouer des rapports avec des entreprises internationales en vue de devenir leurs représentants locaux, au niveau du territoire national. Comparativement à l'année 2007 où il y a eu la participation de 37 pays, l'année en cours verra, donc, la présence de 1.066 entreprises issues de 40 pays (dont 34 à titre officiel) des cinq continents qui se partageont une superficie de 20.057 m2 et fédérant 811 entreprises. Après l'Italie, invitée d'honneur durant la précédente édition, c'est au tour du Portugal d'avoir cet honneur présentement, et ce, durant sept jours. Par rapport à l'édition 2007, de nouveaux pays participants s'activeront pendant cette foire. Il s'agit notamment du retour des firmes et consortiums des Etats-Unis d'Amérique (581 m2), le Venezuela (30 m2), l'Iran (210 m2) et la Suède (90 m2). Pas moins de 49 entreprises étrangères prennent part à cette 41e FIA à titre individuel. C'est le cas de la France, Taiwan, Pakistan, Turquie, Syrie, Tunisie, Suisse, Brésil, Iran, Allemagne, Russie et Tchéquie. S'agissant des entreprises algériennes dont l'objectif essentiel consiste à intensifier leur coopération multilatérale avec des firmes internationales et ce, dans l'optique de l'acquisition du transfert technologique et de leur mise à niveau, elles sont plus de 449 cette année (contre 526 en 2007) à occuper 45.298 m2, selon la Safex. Le secteur public sera fort de 75 entreprises tandis que les sociétés en partenariat sont au nombre de 134 spécialisées notamment dans l'agroalimentaire, l'énergie, la chimie et la pétrochimie, les grands travaux et le bâtiment et matériaux de construction. Mais d'autres secteurs, non moins importants, seront présents, tels que les industries électriques et électroniques, la mécanique, métallurgie et la sidérurgie, ainsi que les services, le textile et l'ameublement… Selon les responsables de la Safex, organisateurs de cet événement, la «FIA demeure, un baromètre et un espace de mise valeur des capacités des uns et des autres à répondre aux exigences et aux impératifs, ainsi qu'à la rigueur dont le programme de développement conçu et mis en œuvre par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a permis d'asseoir les règles incontournables et nécessaires». Il est clair que les opérateurs économiques algériens ne cherchent pas seulement à conclure des accords commerciaux avec des firmes étrangères, mais ils envisageront également de décrocher des conventions et des contrats d'investissement avec de grandes entreprises internationales. Rappelons que la ministre des Relations internationales du Québec et ministre responsable de la Francophonie, Monique Gagnant-Tremblay, a d'ores et déjà annoncé sa présence à Alger auprès des entreprises canadiennes afin de les soutenir et mieux connaître les opportunités offertes par l'Algérie en matière d'investissement. Les sociétés du Canada pourront également établir des contacts et identifier d'éventuels partenaires potentiels. Le chargé d'affaires de l'ambassade du Canada à Alger, Gilles Poirier, estime que «L'Algérie est le premier partenaire commercial du Canada, tant sur le continent africain qu'au Moyen-Orient, avec des échanges bilatéraux de près de 5,2 milliards de dollars canadiens en 2006 et le Canada y jouit d'une excellente image.